Malgré cette « adaptation », nous trouvons toujours, à notre époque, le génome de nos ancêtres du paléolithique porteurs du groupe O (O comme originel). Ce sont ceux là qui « s’encrassent le plus facilement » avec les céréales et les produits laitiers, alors que les « A » (comme agriculteurs) s’y adaptent mieux, que les « B » nomades arrivent à gérer en fonction de leur territoire mais que les « AB » nouveaux venus essayent, souvent avec beaucoup de difficultés de s’adapter à leur complexité.
Interview du Dr Dominique Rueff - Congrès international de la santé naturelle