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La première aventure de Dortmunder et de ses camarades.

On y trouve déjà l'humour à froid caractéristique de la série.
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Je suis passée à côté de ce roman que j'ai lu par petits bouts, sans vraiment me sentir concernée par ce qui s'y passait. L'écriture prend parfois une teinte humoristique et la rencontre entre Dortmunder et un chien m'a fait éclater de rire. Sinon, ça ne m'a fait ni chaud ni froid. C'est comme ça ! J'ai l'impression que ce n'est pas du tout le sentiment partagé par les lecteurs des aventures de Dortmunder, alors peut-être aimerez-vous ?
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Malfrat : (nom masculin) malfaiteur. J'ai toujours eu un faible pour ces bandits en col blanc qui prodiguent des casses alambiqués sans user de violence, que ce soit en littérature ou en cinéma. Réussir un casse sans armes, ni haine, ni violence n'est pas donné à tout le monde et demande un certain flegme, voire même une certaine élégance.

Les gangsters du début du XXe siècle m'ont toujours fascinés. Pas que je veuille embrasser une carrière de hors la loi, même si avec ma tête à chapeau, les borsalinos me vont à ravir. Tirés à quatre épingles, il y avait dans leur manière une élégance polie malgré tout, un code de l'honneur à respecter. Peut être cela était il totalement faux, mais c'est l'image que j'en ai. de voyous de luxe si je puis m'exprimer ainsi.

Des voyous de luxe, ce sont Dany Ocean et Ryan Rusty. Des cols blancs, qui fomentent des coups fumeux, basés sur le trompe l'oeil et l'arnaque, et ce à peine sortis de prison. Des voyous de luxe, ce sont Dortmunder et Kelp, les anti héros de Donald Westlake, considéré comme mâitre du polar humoristique et qui manquait à ma culture. C'est ainsi que je me suis retrouvée à chercher une émeraude en leur compagnie, avec Pierre qui roule: « À peine sorti de prison, Dortmunder retrouve son vieux pote Andy Kelp qui le met aussitôt sur un coup fumant : subtiliser une grosse émeraude au beau milieu d'une exposition d'art en plein New York. Ce joyau est la propriété d'un petit pays africain qui y tient comme à la prunelle de ses yeux. Pour mener à bien cette entreprise, Dortmunder doit réunir une équipe. On ne conseillerait à aucun directeur des ressources humaines de recruter selon les méthodes dortmundériennes, mais le résultat est là. Une fois l'équipe constituée et le plan fignolé au quart de poil, Dormunder part à l'assaut ; impossible d'échouer.«

Pierre qui roule n'amasse pas mousse, comme le dit l'adage. Je ne suis pas certaine que cela s'applique aux pierres précieuses. Et pourtant. Un braquage aurait dû suffire à subtiliser une émeraude. Il en faudra pas moins de cinq. Les situations sont rocambolesques et les personnalités du genre pugnace. L'intrigue part dans tous les sens, mais chaque phases de chaque plan sont minutieusement préparées et huilées. C'est grotesque et subtile, l'humour à froid fait parfois éclater de rire sans prévenir.

« J'aime quand un plan se déroule sans accroc » n'aurait pas pu être la phrase fétiche de notre héros Dortmunder. le parfait casse se révèle émaillé de d'impartis exogènes, qui nous entraine d'un musée à un aéroport en passant par les cases banques, prisons, et asile. Et ce pour notre plus grand plaisir. Si l'envie de vous évader par le rire se fait sentir, je vous invite à suivre cette Pierre qui roule de Donald Westlake.

Bonne lecture à vous !
Lien : https://lesjolismotsdeclem.c..
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Un jour sans fin ? oui mais avec Dormunder... Savoureux
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Alors, je ne sais plus par quel biais je suis parvenu Donald Westlake mais j'ai bien été inspiré. du coup, je commence avec le premier de la série, Pierre qui roule. Autant vous prévenir tout de suite, ce n'est pas de la grande littérature mais un vrai bon roman noir. Une histoire de braqueurs comme je n'en ai jamais lu avant. le résumé annonce le départ. La suite, c'est une surenchère de plaisir d'écriture à travers de nombreux revirements de situations.

Je me suis régalé. En toute simplicité, sans se prendre la tête, Donald Westlake va jusqu'au bout des mésaventures de cette bande éminemment sympathique. Dans un style très oral au dialogue parfois drôle, décalé, Pierre qui roule ballade de phase en phase avec une montée crescendo des moyens mis en oeuvre pour que l'équipe arrive à son but.
La suite sur le blog…
Lien : http://livrepoche.fr/pierre-..
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Après avoir replongé dans les aventures de Parker le cambrioleur, je continue de (re)lire l'oeuvre du maître Donald Westalke dans sa série avec Dortmunder cette fois-ci, un bandit qui a le don d'attirer les emmerdes. A peine sorti de prison au début du roman, le personnage est approché par un de ses anciens compères pour participer au vol d'une émeraude. Une fois son équipe recomposée, les joyeux lascars se lancent dans l'affaire et les évènements vont sérieusement se compliqués. C'est le début d'une longue série dans laquelle l'émeraude ne va pas être si simple à subtiliser pour Dortmunder et sa bande. "Pierre qui roule" est un roman noir qui allie humour noir, sens du rythme et dialogues d'enfer avec brio. On n'en demande pas plus, c'est très bien ficelé. Une valeur sûre encore une fois et un réel plaisir de lecture du début à la fin.
Lien : https://lesmafieuses.wordpre..
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Je n'avais lu que "Un jumeau singulier" de Dolnald Westlake, et avais trouvé ce "Pierre qui roule", avec Robert Redford sur la couverture, lors d'un passage dans l'une des librairies du village du livre de Montolieu.
D'après les notes, il s'agit de la première enquête du voleur nommé "Dortmunder". le style est fluide, drôle, vif, et nos "pieds nickelés" qui constituent la bande qui doit dérober une émeraude au profit d'un état africain -mais ils ne savent pas qu'il ne s'agit que de la première étape d'une longue série- sont attachants, chacun à sa manière.
Certes, vouloir écrire un polar avec autant d'humour et d'extravagances dans le récit, était peut-être un risque -calculé, irréfléchi?-, mais après tout pourquoi pas. Et Westlake s'en sort très bien. Polar des années 1970, qui tranche avec ce que l'on pouvait nous proposer à l'époque, moins "noir" également, mais très plaisant à lire. Et quasiment d'une traite.
Il m'a rappelé l'un des premiers romans de Thierry Joncquet -Le bal des débris-, l'un de mes auteurs de romans noirs préférés, un peu "vert", certes, mais agréable à lire.
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Une lecture légère qui donne le sourire. le premier Dortmunder que j'avais déjà découvert en BD, le roman est plus drôle, les réparties aux p'tits oignons, mais bon, on n'apprend rien sur rien, on passe tout de même un bon moment. Me reste à voir le film.
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En effet, si Donald E. Westlake jongle avec ses personnages placés dans des situations critiques qui deviennent immanquablement absurdes, il n'en est pas moins un conteur du tonnerre et un dialoguiste hors-pair. On se marre, c'est guilleret et agréablement frappadingue, ça dépote, on va s'en faire un autre.

La suite sur : http://bobpolarexpress.over-blog.com/2015/08/tut-tut.html
Lien : http://bobpolarexpress.over-..
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John Dortmunder sort de prison. Pour fêter sa liberté retrouvée, son vieil ami Kelp lui propose un coup magistral : le vol d'émeraude d'une grande valeur, enjeu diplomatique entre deux pays pauvres d'Afrique. Pour monter ce vol, Dortmunder réunit une équipe de professionnels autour de lui : Murch le conducteur, Chefwick le spécialiste des serrures et Greenwood. Mais, si la conception du vol du bijou est excellente, son exécution pose plus de problèmes. Et à chaque fois que la pierre semble à portée de main, les imprévus se succèdent pour Dortmunder et sa bande, qui finissent par penser que ce caillou est maudit…

C'est ma première rencontre avec Westlake et son héros cambrioleur Dortmunder, et l'aspect le plus remarquable du roman est l'humour avec lequel Westlake raconte cette histoire. Ce qui n'est tout de même pas évident de prime abord : une affaire de cambriolage, avec des voleurs aguerris,… Mais Westlake raconte et présente cette magouille de telle manière qu'il est impossible de na pas sourire.
Lien : http://livres-et-cin.over-bl..
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