De son séjour même à Buchenwald, le « bois des morts », Wiechert a ramené une âme apaisée, une conscience forte et claire, et c'est pourquoi son témoignage mérite d'être écouté et médité par tous.
« Ce témoignage, écrit-il dans un bref prologue au Bois des Morts, ne sera qu'une introduction à la grande symphonie de la mort que des plumes plus autorisées écriront un jour. Je suis demeuré à la porte, le regard sur la scène obscure, et je me suis attaché à écri... >Voir plus