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Voilà une bonne découverte que ce roman qui marque le début d'un nouveau cycle de fantasy intitulé « Les Seigneurs des runes » signé D. Farland. Si au premier abord l'univers élaboré par l'auteur peut sembler ici un peu classique (une forteresse à l'allure médiévale, un fonctionnement proche du système féodal...), ne vous fiez toutefois pas à cette première impression car derrière cela se cache un monde très riche et bourré d'originalité. de même si certains personnages peuvent au départ sembler quelque peu stéréotypés (Gaborn, le protagoniste, en tête), l'auteur parvient là encore à nous surprendre si bien que l'on se prend à s'y attacher plus vite qu'on ne l'aurait cru. L'intrigue quant à elle nous embarque aisément et nul doute qu'elle ne manquera pas de s'étoffer dans les tomes à venir.

Le plus grand atout de ce premier tome se trouve toutefois du côté du système de « magie » élaboré par l'auteur qui se distingue par son originalité. D. Farland nous propose en effet un concept novateur consistant en l'accumulation de « pouvoirs » par un même individu grâce aux dons de puissance, vitesse, beauté ou autre de « dédiés » qui consentent (librement ou non) au sacrifice de l'une de ces habilités au profit d'une autre personne. L'auteur dispose également d'une imagination fertile en ce qui concerne le bestiaire de son univers qui compte parmi ses membres des créatures fantastiques fascinantes et extrêmement bien décrites comme les ondines ou encore les wyldes. Un premier tome à découvrir pour les idées originales de l'auteur et une série qui vaut vraiment le coup sur le long terme.
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Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'entamai ce tome 1 du cycle Les Seigneurs des Runes.
Dès les premières lignes, les premières pages, un univers riche et fascinant vous est promis. L'accroche est immédiate et vous emporte, vous happe sans que plus rien ne compte autour de vous.
Dès les premiers mots, l'auteur vous interpelle par son talent de conteur et vous transporte immanquablement dans son monde.
Les descriptions sont riches et détaillées, de manière à provoquer ou faciliter l'immersion, et abondante sans jamais être lourdes ou trop présentes, mais juste suffisantes pour que le lecteur puisse se représenter mentalement les scènes, les décors.
Même constat concernant les personnages. Immédiatement, on identifie les acteurs principaux, et cela provoquera d'ailleurs un certain malaise, comme l'impression de se trouver déjà en terrain connu tant ces personnages sont dressés comme des archétypes de la fantasy.
Malgré tout, on ne sait pas pourquoi on est là mais on y est et on a envie d'en savoir plus.
Car sous ses descriptions abondantes et ses airs de déjà vu, effleurent quelques éléments discrets mais importants, qui esquissent les premiers enjeux, et les premières briques de l'intrigue.
On prend le temps d'installer l'ambaince, on s'assure que le lecteur est bien calé dans son fauteuil car on est parti pour un long récit conté au coin du feu... et de la tasse de tisane.
Une fois installé, les clichés disparaissent très vite au profit d'une profondeur et d'une complexité, notamment concernant les personnages.
Non seulement ceux ci apparaissent beaucoup plus ambivalents et complexes qu'ils n'y paraissent, l'auteur caractérisant leur personnalité avec beaucoup plus d'ambiguïté (par exemple le méchant de service,Raj Ahten, nous apparaît ainsi beaucoup plus attachant dans ses doutes, ses réflexions, ses tourments, et le héros n'est pas aussi lisse et blanc qu'il ne le suppose), révélant des personnages plus stratifiés au fil du récit. Mais également, il donne une véritable place aux personnages dits secondaires, qui se révèlent beaucoup plus importants au fil de l'histoire, apportant ainsi leur pierre à l'édifice.
L'intrigue également surprend par sa banalité au début, puis par la direction qu'elle prend, jusqu'à une résolution finale loin de la conformité qu'on pouvait en attendre dans le genre.
À l'image des personnages, l'auteur offre au lecteur un récit original, avec lequel on est en droit de ne pas être d'accord, ou qu'on peut ne pas apprécier, mais qui a le mérite de proposer quelque chose de différent.
C'est d'ailleurs amusant de noter que tout tourne autour des deux antagonistes principaux, que l'auteur développe cette sorte de dualité dont naît toute la tension dramatique, mais également toutes les interrogations que se posent les personnages (on a un méchant qui doute de lui et qui a peur!!). Et en fin de compte, l'auteur esquive et nous redirige ailleurs...
Le système de magie inventé par l'auteur finit d'enfoncer le clou et ravira tous les fans de super héros car en plus de leur dimension épique, les combats seront rythmés (parfois j'ai l'impression de lire Brandon Sanderson!) au son de cette magie si particulière, donnant l'impression de se trouver dans un X Men médiéval. Ça plaira ou ça ravira... Moi j'adore, car l'auteur a l'intelligence de ne pas en faire trop, de ne pas donner plus d'importance au côté super héros qu'il ne faut. Il a la bienveillance de ne pas noyer ses personnages et son histoire sous les super pouvoirs.
Mais même si cette magie n'est finalement qu'un "outil", l'auteur en a fait quelque chose de dangereux, autant pour le bénéficiaire que pour les victimes. Il est à noter également qu'il "réserve" cette magie aux nobles (et encore pas tous), le peuple ne constituant qu'un énorme réservoir d'âmes bien dociles et d'attributs (la magie permet à certains d'acquérir les attributs (métabolisme, agilité, endurance...) d'autres personnes) offrant ainsi une autre grille de lecture. Et nul doute que cet aspect prendra de l'importance par suite.
En conclusion, je découvre là un auteur que je ne connaissais pas, et un cycle que je vais prendre plaisir à dévorer.
Attention si vous n'aimez pas les longues descriptions (bon, on n'est quand même pas chez Tolkien!), ce roman risque de vous paraître ennuyeux par moment, j'avoue avoir moi même décroché une fois ou deux.
Dans tous les cas, vous ne serez pas déçu(e)s...
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Gagné lors d'un concours organisé par Elbakin.net, ce livre trainait dans ma PAL depuis quelques mois déjà. Non pas que je n'avais pas envie de le lire, mais que j'attendais le bon moment. Et un petit besoin de fantasy me l'a fait choisir dernièrement.
Aujourd'hui, après avoir suivi les aventures de Gaborn pendant deux semaines, et en lecture du tome 2, je ne peux qu'être admirative du travail de l'auteur qui nous fait voyager avec talent dans son monde mi-réel, mi-imaginaire. Car si l'on est bien dans une fantasy pure (héros aux pouvoirs incroyables, monstres, etc..), on retrouve des éléments du monde médiéval tel qu'on le connait. Contrairement aux histoires standards, La douleur de la terre débute tout de suite avec son élément perturbateur. Très peu de situation initiale donc, qui permet de se plonger directement dans l'action et d'être captivé immédiatement.

On voit dans le texte de David Farland, de nombreuses références à un grand du genre: Tolkien. Consciemment ou pas, l'auteur s'en est inspiré pour ses fameux « Invincibles » rappelant les cavaliers Nazgûls du papa du Seigneur des Anneaux. Malheureusement, ces redoutables personnages ne font pas le poids. Présentés de manière intimidante, les « Invincibles » sont trop facilement liquidables. Dommage quand on sait qu'ils auraient pu faire des adversaires de choix.
Néanmoins, plus l'on avance dans le récit, et plus on se rend compte que le vrai méchant n'est pas celui qu'on croit.
Si Rahj Ahten est cruel, assassin, on ne peut s'empêcher de penser qu'il n'est pas si mauvais que ça. Car en regardant bien, il est autant une victime que les autres. Obsédé par sa soif de pouvoir pour détruire les maraudeurs, il finit par se convaincre lui-même du bien fondé de ses actions. Il en devient un personnage pour lequel on compatit, même si l'on sait que l'on ne devrait pas. Mais on espère, tout comme Binnesman qu'il retournera sa veste et qu'il se rendra compte de ses erreurs, en vain.

Les Seigneurs des Runes est un pavé, mais un pavé qui se lit vite. Si le premier tome a son lot d'actions héroïques, de dangers et de combats d'anthologie, on sent en fin de tome, que ce n'est là qu'un début. Deux volumes issus de la réedition sont encore à savourer, en attendant la publication inédite de la suite (déjà 8 tomes aux USA, la série devrait en compter 9 au total).
Lien : https://parole2libraire.word..
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Les seigneurs des runes tome 1 : La douleur de la terre... Ou le bouquin que t'attrape avec un oeil dubitatif, vu la daube que t'as lu avant, le côté est-ce une bonne idée de continuer dans la fantasy ?

— Et ?
— Au début j'ai eu comme un frisson, froid... le frisson... Et pi c'est passé.
— Ah ouais ?
— Ouais !

Pitch :
Le prince Gaborn, Seigneur des runes se ballade incognito en Heredon. Il attend son paternel le Roi de Mystarria ( putain de nom de bled) le Roi Orden et le début la grande chasse dans les bois de Dunn organisé par le Roi Sylvarresta (putain de nom !) pour célébrer Hostenfest et le Roi de la terre. Cette occasion, il le sait, sera aussi la demande en mariage de la princesse Iomé de Sylvarresta.
L'heure est donc à la réjouissance.
C'est ce que se dit le prince Gaborn, une fête, une chasse, une future épousaille avec une princesse qu'il apprécie, des liens d'amitié entre leur deux pays encore consolidés par ce mariage...

Enfin il espère que la princesse dira oui, il n'a pas beaucoup de dons pour un prince et un Seigneur des runes. Il n'est pas fan du système, il a juste ce qu'il faut à son sens, mais cela fera peut-être pencher la balance en sa défaveur... Il doute un peu, et se pose beaucoup de questions... Il aimerait bien les partager avec son Diem, mais il sait que cela ne servira à rien...

— Mais n'est-ce pas choupi tout ça... et heu c'est tout ?
— Tu te doutes bien que non !
— Pourquoi ?
— Parce que au sud ouest, dans le royaume d'Indhopal vit un Seigneur-Loup, avide de conquête, voilà pourquoi !

Nous revoilà dans de la fantasy médiévale mais sans bondieuserie, (ouf !) Châteaux, donjons, armures, chevaliers, rois, prince et princesse...
Nous voilà aussi dans des magies, oui des.
Tout d'abord un système magique celui des Seigneurs des runes.
Et ce système magique est plutôt intéressant, bien foutu, voire drôle. Ou horrible suivant ce qui se passe, ou comment on prend la chose.
Et puis de la magie élémentaire (eau/feu/terre pour ce tome-là on verra sans doute l'air dans les suivants), avec donc des magiciens élémentaires... y sont cool !

Alors bien sûr, on est dans de la fantasy assez classique, avec quelques questionnements sous-jacents ( un peu bateau, mais pas si pire, genre la bonté = vertu, ou non ? la responsabilité, la beauté, la vanité... des trucs comme ça.) Questionnement découlant de la magie en place et de son utilisation, comment peut-on être un seigneur des runes bon, quand le système est déjà biaisé à la base, ou si facile à pervertir ?
Et oui c'est pas simple...

Nous somme dans l'épique, batailles épiques, fuites épiques, environnements épiques, bestiaires épiques, violences épiques ( y a des morts en masses, avec tripes qui pendouillent, et de tout, même les enfants sont pas épargnés)... Nous sommes dans le grand, dans le gros, dans le plus grand que soit.
David Farland s'amuse bien, et par la même occasion nous aussi.

La narration est fluide, visuelle, sans être indigeste niveau description, des chapitres courts, plusieurs points de vue, interne externe nous permettant d'être au coeur de l'action et de bien des personnages. La magie est là, paf dans ta gueule ! Enfin des mages qui font des trucs de mages (Yeah ! Ça fait plusieurs bouquin que je lis où y a des mages mais que franchement j'étais sur ma faim à ce niveau-là, là non pas du tout ! Yeah!).. Ouais magie de feu, d'eau, de terre.. Yeah !

Alors certes, nous sommes aussi un peu dans le cliché, surtout au niveau des persos, le héros Gaborn est le jeune gentil prince choupi... un peu bêta malgré ses runes d'intelligence et son séjour dans la maison de la compréhension, un peu big boss... (ou futur big boss.. le côté élu.. ça bon ouais c'est super cliché.. hou voilà l'élu !).
Pourtant même si les perso sont dans leurs clichés, Rois, Prince, Princesse, ami garde du corps, méchants, traîtres (ou futurs traîtres), magiciens, piétailles... et bien ils évoluent, doutent, changent (en bien ou en mal d'ailleurs) suivant les actions, le contexte et les autres... et ça c'est bien...

Ce premier tome amène plein de questions, tant au lecteur sur le monde, le système en place, les magies, les persos qu'au persos eux-même.. Et ça aussi c'est bien.
Il donne envie d'en savoir plus, d'en voir plus... car il reste bien des mystères, de prendre part à d'autres batailles (épiques de folie), de voir comment Gaborn va se dépatouiller avec tout ça...

Oui ce premier tome m'a donné envie de lire la suite... ça tombe bien j'ai le deux. ^^
J'enchaîne...

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J'ai bien aimé cette histoire dont le principal atout est l'originalité des systèmes de magie même si l'un d'eux est discutable sur le plan moral- les Seigneurs affaiblissent leurs sujets en s'appropriant certains de leurs attributs les réduisant à l'état de légumes- mais la perversion de ce système étant abordée dans le livre on peut espérer une évolution de ce côté... J'ai principalement aimé la magie liée aux 4 éléments et le pouvoir de la Terre se dévoilant tout au long du roman...
Quelques personnages intéressants (le Seigneur-Loup, Borenson, Binnesman) même si l'on regrette le côté un peu "lisse" du héros principal et de sa dulcinée... Mais là aussi, la fin donne à penser que ça va changer.... Une atmosphère sombre et apocalyptique(La bataille de Longmot)...
Beaucoup de rythme avec une histoire se déroulant sur 5 jours et des chapitres courts qui rendent bien le mouvement et le sentiment d'urgence...
Le dénouement est très prometteur avec une quête (Borenson) qui s'annonce difficile, des "maraudeurs" que l'on n'a jusque là qu'entraperçus mais que l'on devine plus dangereux que la menace initiale dont il a été question dans ce 1er tome....
Donc en route pour la suite....
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Ce livre, cela fait au moins 4 ans que je l'ai dans mes livres à lire... Mais bizarrement, si le 4ème de couverture me faisait envie, le premier chapitre à chaque fois me faisait abandonné en cours de route car il semblait exiger un engagement et une implication trop importante.
Mais ça y est ! C'est fait !
Et ce fut un régal !
Le concept de magie ici est vraiment génial ! Que l'on donne ses aptitudes naturelles, comme la force, la beauté ou le charisme, a qui l'on souhaite contre se que l'on souhaite ! C'est vraiment intéressant ! Surtout avec le concept de dépendance qui en résulte ! Une vrai bonne idée !
Le monde est réaliste, et même le premier tome achevé, encore plein de mystère à découvrir !
Les personnages, bien qu'un peu stéréotypés, finissent par devenir attachants assez rapidement et l'on voit aussi très vite les qualités et défauts de chacun !
La politique présente, bien que faible, aurait pu être largement plus aboutie. L'on ne nous présente qu'un agresseur ultra balèze contre des défenseurs moins... préparés.
Les combats et scène de guerre sont bien présentés.
Le "méchant" est un personnage très intéressant mais à vouloir le rendre ambigu, il manque quelque chose pour le rendre vraiment vraiment cohérent.
En conclusion, vite ! Ouvrons le deuxième tome !!
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Subjugué, bouleversé, conquis.
Lire "Les seigneurs des runes", c'est rêver éveillé la vie des rois et des chevaliers.
Un tel échos résonne encore en moi après avoir tourné la dernière page que j'ai du mal à m'exprimer et à retourner à la platitude de la journée de boulot qui m'attend.
Comme après un voyage aux frontières du monde, on en revient transformé.
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Afin de ne pas ennuyer les personnes qui ne voudraient connaître que mes impressions sans avoir envie de connaître plus de détails de l'histoire, j'ai décidé de faire deux "critiques", une plus courte et résumée, et l'autre plus développée qui explique mieux l'histoire pour ceux qui seraient plus intéressés. Vous trouverez la plus complète sur mon blog (lien en fin de critique)

J'ai donc mis pas mal de temps pour lire ce livre, non pas par manque de motivation, mais par manque de temps (pour changer !). Parce que j'ai vraiment beaucoup aimé ce livre, malgré quelques petits défauts. Avant de parler des points négatifs, commençons par les plus de ce livre.

Tout d'abord, ce qui fait la particularité de ce livre (et certainement de toute la série), c'est le système de magie qui est très original. Il s'agit d'un système de Dons faits d'un individu à l'autre (plus de détails sur mon blog). Non seulement c'est une magie que l'on n'a pas l'habitude de voir dans d'autres sagas, mais en plus elle est très bien expliquée, organisée et mine de rien très complexe.
En plus de cette originalité, Farland présente beaucoup les magies élémentaires (eau, feu et terre principalement) utilisées par des magiciens.
On trouve aussi plein de créatures imaginaires et originales. Un autre plus est qu'il y a beaucoup d'action, sans vraiment de temps morts. Ces 628 pages ne représentent que 5 jours de la vie de nos personnages. Et l'action commence dès le premier chapitre !

Un autre point positif, c'est la manière dont est narrée l'histoire. Chaque chapitre (ou presque) nous montre le point de vue d'un personnage différent, ce qui nous permet de découvrir un même évènement de plusieurs points de vue.

Passons au coté plus négatif. Ce qui me dérange le plus, c'est Gaborn. En effet, on voit vite que ce sera le jeune qui devra sauver le monde, qui devient de plus en plus puissant au fil du temps et ce malgré lui... On voit que sa part de responsabilité va être cruciale dans la lutte contre le mal. Et il est trop "trop bon", ses pensées sont toutes positives, il n'a aucune mauvais intention, tout ce qu'il veut c'est le bien des gens qui l'entourent. En gros, il est une sorte d'"Elu", ce qui fait un peu trop fantasy cliché à mon goût.

Malgré ce petit défaut, j'ai beaucoup aimé ce premier tome et c'est sans hésitation que je me lancerai dans la suite.

Je répète donc, vous trouverez une plus grande critique sur mon blog.
Lien : http://iani.over-blog.com/ar..
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Une saga de fantasy épique où la magie, traitée de façon très originale, tient une grande place. le prince héritier du royaume Gaborn von Orden, est déjà considéré comme un grand maître des runes malgré son jeune âge. Les nobles peuvent en effet recevoir les dons des gens de leur peuple, des capacités physiques ou mentales. Ils leur doivent en retour sécurité et assistance. Et la mission du jeune prince va très vite s'avérer très complexe, face au Seigneur-loup, qui s'est approprié les dons de certains animaux.
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Très bon livre, les personnages sont bien exploités, attachants et charismatiques. Ce qui m'a beaucoup plus est l'univers de l'histoire, le système de magie est vraiment cool et bien mis en avant, cet univers possèdent également ses propres créatures comme les géants de glaces, les graaks, les spectres de la forêt de Dunn, les salamandres des limbes, les terribles maraudeurs... cela nous changent des orcs, elfes ou nains qui ont été déjà très exploités dans beaucoup d'autres oeuvres.
Pour finir, je trouve les batailles très bien expliquées et très prenantes, et réaliste d'un certain point de vue.
En gros très bon livres, hâte de lire les prochains
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