Auparavant, lorsque nous nous intéressions aux fluides de la chair, nous pensions, à tort, que la vanité et l’égoïsme étaient le fait des hommes incarnés. La théologie, malgré le ministère respectable de sa charge, nous a limité l’esprit par des conceptions fantaisistes du royaume de la vérité. Nous attendions un paradis facile à conquérir par la faiblesse humaine et nous craignions un enfer qui aurait des difficultés à nous régénérer. Notre idée de la mort se conformait à ces limitations ridicules. Aujourd’hui, cependant, nous savons qu’après le tombeau, il y a simplement continuation de la vie. Ciel et enfer résident en nous-mêmes.