AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,47

sur 30 notes
5
1 avis
4
8 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
0 avis
Nouveauté des éditions Vega le mois dernier The Red Rat in Hollywood est un récit assez dur, qui se place dans un contexte difficile puisque l'histoire se place juste après la seconde Guerre Mondiale et tout ce qui en découle. Nous sommes aux Etats-Unis, et le gouvernement doit faire face à des espions soviétiques, qui essaient par tous les moyens de se frayer un chemin vers les plus hautes sphères du pays, mais aussi de rallier bon nombre d personne à leur cause, et passant notamment par le cinéma.

Le récit est donc très ancrée dans un contexte historique, puisque l'un des principaux protagoniste est Edgar Hoover, le directeur du FBI. Ce dernier traque les communistes, les « rouges » comme il les appelle, et plus particulièrement dans le milieu du cinéma. Il se concentre en effet sur d'anciens sympathisants communistes et il soupçonne que ces derniers véhiculent des messages communiste au sein même de leur film.

L'idée est plutôt bonne, il y a un petit coté The Americans, la série TV, même si l'époque n'est pas la même. C'est par contre assez lourd à lire, car il y a beaucoup de dialogues, avec des réunions dans tel ou tel camp. Vu de l'extérieur, on a du mal à s'attacher à un quelconque personnage, et les dessins n'aident vraiment pas. Loin du style manga traditionnel, on a ici des visages assez carrés, qui, surtout lorsque ce sont des hommes, se ressemblent quand même pas mal.

Il faut le dire clairement, ce manga n'est pas destiné à un grand public. D'une part il faut aimer la période Hollywoodienne des années 1940-1950, et d'une autre il faut aimer les récits de complots et d'espionnage dont les américains raffolent. C'est assez original de trouver cela en manga, habituellement je m'attends plus à avoir ce genre de récit en BD ou comics, mais le pari est réussi.

Personnellement, je n'irais pas au-delà, car je pensais que ce serait plus accessible. J'ai eu du mal à me situer dans une époque et un pays que je ne maitrise pas. Je tenais malgré tout à vous donner mon avis, car je pense souvent qu'en manga, on arrive à s'intéresser à tout, comme par exemple avec Peleliu (également chez Vega) qui m'a surpris par sa capacité à me passionner, alors qu'au départ, l'histoire ne m'attirait pas plus que cela.

The Red Rat in Hollywood est donc un très bon manga, mais qui se réserve a un public initié et friand de cette époque et de l'espionnage Américano-Soviétique post 2nd Guerre Mondiale.
Commenter  J’apprécie          130
Fans d'histoire américaine, des années 50, de cinéma et d'enquête, ce livre est fait pour vous !
Même si vous n'avez pas l'habitude des mangas, se lancer sur une histoire vraie est une bonne alternative.

On est d' emblée plongé dans l'histoire avec la convocation des 19 d'Hollywood, scénaristes et réalisateurs en tête, accusés de contribuer à l'expansion du communisme à travers leurs films.
De l'enquête, menée avec subjectivité et rage par Edgar J.Hoover, aux interrogatoires, orientés, en passant par les dénonciations, les menaces et le soutien aux deux camps par des acteurs célèbres, on suit cette "chasse aux sorcières" aux USA avec beaucoup d'intérêt. Il faut parfois se plonger dans un dico pour se rafraîchir la mémoire ! Et se concentrer car il y a de nombreux personnages qui, bien que bien dessinés et reconnaissables, sont facilement interchangeables ! Les décors sont bien dessinés, les personnages connus également, et le côté grande bouche qui hurle qu' on retrouve dans de nombreux mangas, n'est pas gênant ici.
Peut-être un petit bémol sur le déroulement, parfois un peu répétitif, mais qui permet de fixer le cadre. Et puis ce n'est rien face à l'intérêt du propos.

En bref, vivement la suite début juillet 2019, et un grand merci à Babelio pour cette masse critique et aux Editions Vega Manga pour la découverte de ce manga que je vous conseille vivement.

Lien : https://m.facebook.com/guila..
Commenter  J’apprécie          110
Je vais commencer par vous faire une confession : il s'agit ici de ma toute première lecture de manga. Je n'ai jamais été très attirée, même enfant, par les BD, préférant de loin la série des Martine ou des J'aime Lire. Quant aux dessins animés de mon enfance, dont certains sont issus de mangas, je n'en étais pas très fan non plus, préférant, de loin aussi, Princesse Sarah à Dragon Ball ou Ken le Survivant.

Grâce à cette lecture, qui m'a fait sortir de ma zone de confort, j'ai aussi appris certains mots, comme seinen qui désigne les mangas dont la cible principale, à la base, sont les hommes jeunes puisque prépubliés au Japon dans des magazines destinés aux jeunes adultes de sexe masculin (merci Wikipédia).

Mais rentrons dans le vif du sujet.
Il s'agit ici du premier tome de The Red Rat in Hollywood qui dépeint l'Amérique post-deuxième guerre mondiale dans sa rivalité avec l'URSS qui atteindra plusieurs points paroxystiques durant cette longue période de guerre froide (1945 – 1991). Ici, l'auteur nous parle de la chasse aux sorcières, dont le point culminant sera le Maccarthysme, à ses débuts, mise en pratique par J. Edgar Hoover, le patron du FBI, et s'attache plus particulièrement à ce que l'on appellera plus tard l'affaire des « 10 d'Hollywood » (ou des 19 d'Hollywood), une liste d'acteurs, de scénaristes, de réalisateurs connus pour avoir ou avoir eu des liens plus ou moins étroits avec le parti communiste américain. Plusieurs d'entre eux, se croyant protégés par la Constitution américaine, ont refusé de parler, évoquant le premier amendement, et se sont retrouvés boycottés par leur milieu, les empêchant de travailler, ce qui pour certains a sonné le glas de leur carrière.

Leur crime ? Avoir, peut-être, des idées communistes et en faire la propagande dans leurs films.
Car, à cette époque, seuls les États-Unis étaient possesseurs de la bombe atomique – dont ils avaient tristement fait usage, par deux fois, en 1945 - et craignaient que leur hégémonie soit atteinte si leur ennemi juré, l'URSS, la possédait également. Alors tout acte subversif, soit avoir même seulement une vague connaissance ou un voisin ayant fricoté de près ou de loin avec le parti communiste, était jugé suspect. Des slogans « Better dead than Red » étaient légions et la dénonciation encouragée.

Le sujet de ce manga m'a beaucoup intéressé, étant un sujet que je connais plutôt très bien pour l'avoir étudié lors de mon année de Maîtrise (l'ancêtre du Master), mon mémoire portant sur cette période, plus particulièrement sur les « espions atomiques », les époux Ethel et Julius Rosenberg, condamnés à mort lors d'un procès à charge, et finalement exécutés le 19 juin 1953. Donc, cette période, dont les « 10 d'hollywood », je peux dire que je l'ai potassée et potassée. J'attendais beaucoup de cette lecture et de voir aussi comment l'auteur allait traiter le sujet, difficile point historique aussi pour les Japonais qui sortaient à peine de la tragédie atomique.

Et bien j'ai trouvé que le sujet était plutôt bien traité, bien documenté et relativement bien expliqué même si pour quelqu'un ne connaissant pas beaucoup cette période de l'histoire interne des États-Unis, certaines données pourraient être difficiles à assimiler (quand on parle de chasse aux sorcières il faut presque le prendre au sens littéral du terme, du temps de l'Inquisition et des procès farfelus en sorcellerie).
J'ai bien aimé aussi la mise en perspective avec le contexte de l'époque, et le parallèle avec le nazisme qui prenait vraiment sens ici. On se rend alors compte – même si on le sait déjà – que l'histoire n'est qu'un éternel recommencement, que les délateurs ont toujours existé, que les espions aussi. Aujourd'hui, votre smartphone joue ce rôle. Mais je m'égare, je m'égare.

S'agissant du livre objet en lui-même, j'ai trouvé la forme plaisante et la couverture jolie et sobre. J'ai par contre été surprise : les dessins sur la couverture étant en couleurs, j'ai cru qu'il en serait de même dans le corps du livre, mais non c'était en noir et blanc. Vous excuserez la néophyte que je suis en la matière, les mangas sont peut-être toujours en noir et blanc.
J'ai trouvé que les dessins étaient bien exécutés et réalistes quant à la période évoquée (fin des années 40 – début des années 50).

Avant cette lecture, tout ce que je savais sur les mangas était que ça se lisait « à l'envers », donc de droite à gauche, en partant de la dernière page. Et c'est à peu près tout.
Bon, en réalité, je n'en sais pas beaucoup plus (sauf le seinen qu'on oppose au josei) mais j'ai trouvé cette façon de lire, inhabituelle chez moi, amusante.

Est-ce que les maisons d'éditions de mangas ont trouvé une nouvelle lectrice ? Je ne crois pas. Je pourrais en lire un ponctuellement mais ce n'est quand même pas le type de lecture que je préfère (et je mets aussi dans le sac les BD et romans graphiques).

Est-ce que je lirai le tome 2 de The Red Rat in Hollywood ? Et bien je ne dis pas non, j'ai quand même globalement bien aimé cet opus, ses dessins et le sujet historique était bien traité.


Merci à Babelio et à la masse critique d'avril
Merci aux éditions Vega et à Osamu Yamamoto
Commenter  J’apprécie          80
C'est une sombre histoire de l'Amérique qui nous est contée à travers ce manga. Il s'agit en fait de la période de la fameuse chasse aux sorcières qui a trouvé son point culminant avec le maccarthysme ou peur rouge.

Les sorcières étaient communistes et pullulaient soi-disant à Hollywood. Les scénaristes, réalisateurs et acteurs furent dûment touchés par cette vague paranoïaque d'arrestations. La commission parlementaire sur les activités anti-américaines (HUAC) ne faisait pas dans la dentelle. L'enquête fut menée avec subjectivité par Edgar J.Hoover qu'on ne présente plus.

Le manga décrit comment le milieu du cinéma a combattu l'impitoyable oppression du pouvoir. On se rend compte que des figures assez célèbres comme Walt Disney par exemple étaient du côté des oppresseurs bien loin de la bonne image aux yeux du public.

Malheureusement, la plupart de ces personnalités hollywoodiennes qui se croyaient protégées par l'article 1er de la Constitution se sont retrouvées boycottées et ont perdu leur emploi et leur influence. Certains délateurs comme Ronald Reagan, médiocre acteur, ont trouvé un tremplin politique.

Je trouve que le sujet est plutôt bien traité et bien documenté. Je regrette juste certains passages où l'on passe du coq à l'âne. C'est parfois difficile à lire et dans la compréhension d'où ma note à 3,5 étoiles. Cela reste pas mal. Voici un manga qui est réservé à un public passionné par ce sujet historique.
Commenter  J’apprécie          60
L'histoire commence en 1947 lorsque la commission sur les activités américaines décide de s'intéresser au milieu du cinéma en convoquant à tour de bras acteurs, réalisateurs et scénaristes pour débusquer les communistes ayant infiltrés Hollywood.

Ayant récemment lu un roman (Broadway Limited de Malika Ferdjoukh) qui aborde la question de la chasse aux sorcières communistes dans les années 40/50 dans le milieu de l'entertainment américain je me suis tournée vers ce manga dont le sujet est similaire mais qui à la base ne m'intéressait pas vraiment.

Après une lecture très laborieuse, je pense m'en tenir à ce tome 1, le propos ne m'intéressant pas suffisamment et son traitement étant bien trop indigeste pour moi. le manga est très didactique, avec un nombre trop élevé de personnages, ce qui rend la lecture assez peu captivante.
Commenter  J’apprécie          60
L'histoire est très intéressante et semble bien traitée. Elle n'est pas sans rappeler la chasse aux sorcières, la nazisme etc. Et certaines personnes ont vécu le nazisme, ce qui les a profondément marqué. Comme cette actrice, belle et à succès, mais hantée par son passé, avec une enfance difficile en plein nazisme.

Le majeur problème est que c'est très lourd à lire, moi j'ai de la volonté, mais j'ai vraiment peur qu'on perde beaucoup de gens en route, puis bon se motiver à l'achat à 8€ c'est un peu dur dans ses conditions là aussi. le dessin est typé seinen, assez réaliste. Les thèmes abordés sont très bons, le manga présente beaucoup de situations, de cas, de personnes, de réflexions, mais je vous avouerai quand même que même moi j'ai soupiré en le lisant, par contre rien ne se dégage, nous ne nous attachons pas aux personnages.

Nous sourions en retrouvant des films, des acteurs … très connus de nom. Par contre, c'est plutôt un rire jaune quand nous sentons que telle la chasse aux sorcières, ils pourraient discriminer, se débarrasser des gens qui les gênent. Comme au temps de l'inquisition où les gens criaient aux sorcières, dénonçaient, ici au temps de la guerre froide où la bombe atomique laisse peser une certaine menace entre autre, ils vont crier aux communistes.

Mais les gens recrutaient par le FBI ne le sont pas forcément tous de plein gré, ou encore ils ont vu leurs espoirs déçus, des promesses brisées. Comme bien souvent, ce n'est pas si simple.

Il y a également l'utilisation du droit, de jouer sur les mots.

En bref c'est très intéressant, mais c'est dense, il manque quelque chose pour mieux fluidifier le texte, mieux rentrer dans l'histoire et que les sentiments passent mieux.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
Commenter  J’apprécie          60
Vega est un jeune éditeur dont le choix des titres m'interpelle très souvent. Ici avec un seinen dont le thème est la chasse des communistes pendant la Guerre froide aux Etats-Unis, dans le milieu du cinéma, ils ne pouvaient que me rendre curieuse. C'est en effet un sujet qui m'intéresse et que j'ai déjà croisé dans plusieurs films. Qu'en est-il sous la plume d'Osamu Yamamoto, auteur prolifique connu depuis les années 80 dans son pays ?
Osamu Yamamoto est un artiste qui a déjà été publié chez nous en 2006-2007, chez un éditeur désormais disparu (Milan) avec l'Orchestre des doigts où il raconte la vie d'une école d'aveugles et de sourds-muets, un sujet déjà assez ciblé. On le retrouve ici avec son titre le plus récent : The Red Rat in Hollywood, dont le sujet est tout aussi précis puisqu'il évoque un point sensible de l'Histoire contemporaine américaine.
Je ne vais pas vous le cacher, j'ai trouvé le sujet très intéressant et bien traité, là-dessus rien à redire. On sent que c'est documenté. C'est raconté de façon très pédagogique pour ne pas nous perdre au milieu de tous ces personnages. Comme ce sont des personnes ayant vraiment existé, les noms ne nous sont pas inconnus : on a des acteurs célèbres (Lauren Bacall, Katharine Hepburn, Audrey Hepburn, Gregory Peck, Humphrey Bogart...), des scénaristes très connus (Dalton Trumbo, William Wyler, Lester Cole...) et même des figures politiques (Hoover, Reagan...). Les événements contés sont également connus comme certains tournages de films, certaines réunions de soutien ou la commission sénatoriale. Cet aspect réaliste est très réussi.
Là où cela a péché pour moi, c'est du côté de la narration et de l'enrobage, si je peux dire. C'est trouvé l'ensemble très classique et ampoulé dans la forme. Cela donne l'impression d'un titre carré, qui manque de folie et de surprise. Tout est assez rigide et ça m'a vraiment empêché de ressentir quelque chose pour les personnages qui étaient de fait en danger avec cette chasse aux sorcières lancée dans le milieu du cinéma. Après, ce n'est qu'un tome d'exposition, alors peut-être que le mangaka parviendra à installer un meilleur rythme par la suite et une intrigue plus tendue, prenante, où on aura peur pour les personnages clés, mais c'est absent pour le moment pour moi.
Les dessins sont à l'aune de cela, très carrés et très figés. Il y a également un côté grandiloquent qui peut agacer à la longue, à l'image des Américains qui parlent toujours avec la bouche grande ouverte et quand je dis grande, je n'exagère pas. Ça fait un peu trop insistant. Pour autant, le portrait fait des personnes connues est réussi, on les reconnait vraiment, de même que les scènes de certains films reproduites ici. Et c'est, c'est un vrai plus si vous êtes cinéphiles et que vous aimez les films de cette période comme moi.
The Red Rat in Hollywood fut donc une bonne lecture mais pas une lecture coup de coeur comme je l'aurais souhaité. Je voulais lire un thriller politique bien ficelé et ce n'est pas ce que j'ai pour le moment. Je reste un peu sur la réserve parce que l'auteur s'appuie peut-être un peu trop sur sa documentation et que pour raconter une vraie bonne histoire, il faut savoir s'en éloigner pour tisser sa propre ambiance. Affaire à suivre.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          60
Attirée par la couverture sobre de ce manga, je m'y suis attelée avec le désir de découvrir un nouveau seinen thriller sans même lire le résumé. C'est un premier volume très dense avec son lot d'actions. Intimidations, rébellions et chasses aux sorcières, l'Amérique se bat contre les communistes et le gouvernement s'attaque à Hollywood. Il semblerait que des films mondialement connus soient réalisés et scénarisés pour glorifier les rouges. Les dessins atypiques avec des personnages aux visages carrés représentent les stars américaines et on y retrouvera de nombreuses scènes de films des 50s. Pas cinéphile pour un clou, j'ai tout de même apprécié découvrir l'histoire derrière L Histoire. Par contre, il se passe beaucoup de choses avec beaucoup de personnages, j'espère que les prochains seront moins denses et avec un rythme moins soutenu de lecture.
Commenter  J’apprécie          40
Une belle surprise ce tome 1 de “The red rat in Hollywood”.

Je ne connaissais pas l'auteur, Osamu Yamamoto, je découvre donc son style graphique et ses images fortes et très communicatives accompagnées de textes bien adaptés qui nous plongent dans la dénonciation par le gouvernement américain des personnalités hollywoodiennes parmi les plus connues et appréciées, dans la chasse aux sorcières de Hoover qui engendrera le maccarthysme de façon plus globale.

Un récit historique bien documenté qui décrit parfaitement le climat et l'époque. Un manga éclairé et inventif.

Incroyable mais vrai en 1960 encore, le président Kennedy, nouvellement élu, et son frère Robert, doivent forcer la main à l'American Legion pour voir le film “Spartacus” : Dalton Trumbo (auteur de Johnny Got his Gun) a le tort d'en être le scénariste, et il est toujours dans la « liste noire ». Il faut attendre 1968 pour qu'un scénariste à l'index reçoive en son nom propre un Oscar : Waldo Salt, pour “Midnight Cowboy” (Macadam cow-boy).

Je vous recommande de voir le magnifique film “Trumbo” en complément de cette lecture.

Le éditions Vega vont publier la suite de « The red rat in Hollywood » avec un tome 2 que j'ai hâte de le lire.

Je vous conseille ce manga intéressant et atypique.
Lien : https://blog.lhorizonetlinfi..
Commenter  J’apprécie          40
Je ne suis pas un lecteur de mangas.

Mais une amie, pour me faire découvrir cet univers, vient de me prêter quelques titres selon elle intéressants.

Et parmi ceux-ci, il y a cette série: "The red rat in Hollywood.

Et j'avoue que j'ai plutôt été séduit.

Car ce manga nous plonge dans l'Amérique du Macarthysme et de la traque des militants communistes, jusque dans le milieu du cinéma et Hollywood.

C'est surprenant. On y apprend plein de chose.

Et bien que le dessin de certains mangas me laisse parfois dubitatif, j'ai trouvé là que le dessin, hyperréaliste, était très agréable et esthétique.

Cela me donne clairement envie de poursuivre ma découverte de cet univers des mangas.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (44) Voir plus



Quiz Voir plus

Livres et Films

Quel livre a inspiré le film "La piel que habito" de Pedro Almodovar ?

'Double peau'
'La mygale'
'La mue du serpent'
'Peau à peau'

10 questions
7101 lecteurs ont répondu
Thèmes : Cinéma et littérature , films , adaptation , littérature , cinemaCréer un quiz sur ce livre

{* *}