Dans
Demain la tempête, la Révolution n'est présente qu'à travers des échos lointains et feutrés. Marqué par l'empreinte de Joyce, et, au niveau de l'écriture, par le surréalisme, le livre s'attache à dépeindre la vie intérieure d'un village mexicain. La survivance de phantasmes, de superstitions, de fanatismes fébriles, de frustrations sexuelles, d'interdits religieux, finit par donner l'impression angoissante d'un monde mort, à la dérive, et, en même temps, curieusement haletant, parcouru de frissons et de soubresauts. La vie n'est ici que la représentation de la mort. –
Claude Fell
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