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3,9

sur 2664 notes
Doucement mais surement ... Je complète ma lecture du cycle des Rougon-Macquart avec ce tome 2, "La Curée".

Ici le thème principal est la folle spéculation immobilière qui eut lieu à Paris durant le Second Empire, qui marqua un tournant historique pour la capitale et changea son visage à jamais. On suit l'un des fils de Pierre Rougon, Aristide qui n'a aucun, mais alors vraiment aucun scrupules, tous les moyens sont bons pour assouvir ses désirs de richesses : il change d'abord son nom, n'attend même pas que sa femme meurt pour en trouver une autre à la dot intéressante ... Bref il est sans pitié !

Je dois avouer avoir eu moins de plaisir à lire ce tome que les autres. Les passages sur les spéculations d'Aristide, ses manoeuvres ... m'ont laissé un peu sur le côté, trop longs et alambiqués parfois. J'ai plus aimé l'histoire de sa femme Renée, bourgeoise qui s'ennuie et qui "trompe" son ennui avec son beau-fils, Maxime.
Après, on assiste à la naissance du Paris Haussmannien, celui des Grands Boulevards et ça reste malgré tout intéressant de voir la vision (plutôt négative) de Zola, sur les changements de son époque.
Je crois aussi que j'ai moins aimé ce volume parce qu'il traite de la grande bourgeoisie, j'avoue être moins captivée par ce milieu que par les milieux plus populaires décris par Zola dans d'autres de ses livres (Germinal, L'Assommoir...).

Je poursuis mon exploration des Rougon-Macquart avec "Le ventre de Paris"...

CHALLENGE MULTI-DEFIS 2016 - Un classique du 19ème
CHALLENGE ABC 2015/2016
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J'ai terminé ce roman depuis quelques jours et mon esprit fermente à l'idée d'écrire une deux millième et quelque note qui ait un brin d'allure, une acuité vicieuse sinon, un pesant d'or.
Difficile retour s'il en est un, après une lecture jouissive et l'impression d'avoir vécu avec Zola, un pan de vie à Paris.

Ce roman est d'un tel réalisme que mon cerveau imaginait les décors et quasiment les odeurs. Et que dire des robes et costumes, si bien décrits, avec des détails si fins, que les pages des catalogues défilent sous mes yeux.
« Les toilettes ont certainement une odeur propre; la soie, le satin, le velours, les dentelles, avaient marié leurs arômes légers à ceux des chevelures et des épaules ambrées;…»

Aristide Rougon, devenu Saccard est un enfant de la meute des Rougon, fils de Pierre et Félicité. Il flaire la bonne affaire, la curée, lors des spéculations véreuses et effrénées du Second Empire. Il réalise alors une immense fortune et s'offre une femme qui sera sa poupée parisienne, sa chair fraîche. Renée, au cheveux blonds comme l'or, qui aime le faste et le luxe, se détraquera au contact des manigances et du tempérament sans scrupule de son mari. Renée est une victime de son époux et de son époque de folie et de honte.
Renée, s'offre une relation intime avec son beau-fils Maxime, « le sang appauvri de Saccard.»
Cette relation immorale la chamboule et en même temps, trompe son ennui. La transgression de l'interdit l'allume comme la spéculation attise son mari.
Et que dire de Sidonie, la soeur d'Aristide, cette femme entremetteuse et homme d'affaires en même temps, pâle et vague, habillée de noir, louche et venimeuse comme un serpent. Je l'ai trouvé fascinante…
Un très bon tome que j'ai lu avec langueur, au rythme d'un déshabillage progressif, profitant du spectacle merveilleux de l'illusion et de la réalité, du luxe et de la fête. Avec un ultime cotillon pour conquérir Paris!
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Peu de temps après le coup d'état de Décembre, Aristide Rougon quitte Plassans. le voilà à Paris, prêt à conquérir la capitale et surtout décidé à se remplir les poches.
Grâce à son frère Eugène il est nommé voyer à L'Hôtel de Ville, ce qui ne lui apportera pas la richesse escomptée. À force de fureter et de laisser traîner ses oreilles et ses pattes il réunira suffisamment d'informations pour prévoir les grands travaux et changements des routes de Paris. Commence alors une partie géante de Monopoly. Rebaptisé Saccard, il se lance dans une série d'arnaques à l'expropriation, montages financiers,  opérations immobilières douteuses etc. Malgré son habileté les caisses ne se remplissent pas durablement et son train de vie tout en paraître le laisse continuellement sur la brèche.
Ce personnage odieux se réjouira du décès brutal de son épouse, l'effacée Angèle. En effet il est libre d'épouser une jeune demoiselle dans la tourmente, mais surtout riche : Renée Beraud du Châtel est enceinte de son amant marié, peu d'options lui permettraient d'éviter le scandale. L'intrigante Sidonie Rougon arrange l'affaire en faisant passer son frère pour l'amant, disposé à offrir un foyer confortable et un statut social respectable à la mère et l'enfant. La dot généreuse étant,  évidemment, leur seul moteur. La jeune épouse sera rapidement dépouillée à son tour.
Lui court Paris, achète, entremêle tellement ses affaires que les arnaques deviennent de plus en plus compliquées mais aussi fragiles. Pendant ce temps Renée se rapproche de son - à peine plus jeune qu'elle - beau-fils Maxime, dépense des sommes folles en bijoux et toilettes,  en restaurant et en plaisirs en tout genre. Les jeunes gens ne pensent qu'à s'amuser et sortir, semant allègrement les pièces de 20 francs.  Jusqu'à ce que la barrière morale soit franchie.

Ce roman est très riche et dense sans pourtant être un pavé, de sa formidable plume précise Zola y dépeint à merveille ses contemporains et leurs travers : la superficialité,  les excès, le paraître décomplexé, étalage de luxe et de maîtresses. Il nous transporte dans les soirées mondaines et " fines " de cette fin du XIXe siècle et grâce à ses superbes descriptions nous avons l'impression d'y être, de frôler les soieries ou de patauger dans la boue des grandes traversées en travaux.
Très beau roman témoignage de la pharaonique transformation de Paris et tranches de vie d'une époque peu différente d'aujourd'hui.
Ce roman pourrait tout à fait être transposé de nos jours tant les thèmes abordés sont universels.
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La Curée, deuxième volume de la saga Rougon-Macquart, se situe pour mon grand plaisir à Paris, l'histoire débute et se termine au Bois de Boulogne avec l'héroïne Renée, épouse d'Aristide Saccard ( Aristide Rougon, frère d'Eugène Rougon ministre et fils de Pierre Rougon , Aristide père de Maxime, Aristide frère de Sidonie - ne vous inquiétez pas, on s'y retrouve très vite-).
Paris à l'époque de grands bouleversements architecturaux, destructions d'immeubles, percée de grands boulevards, constructions, rachats d'immeubles à bas prix avant négociations d'indemnisation pour destruction...
Paris dans un monde bourgeois, monde de luxe, de fêtes, qui vit au-dessus de ses moyens, qui bâtit une fortune sur rien... Argent et chair prennent beaucoup d'importance dans la famille Rougon avec ce deuxième volume.

Zola nous entraîne dans un style parfait et à un rythme soutenu dans l'aventure, la conquête de fortune, la passion, la spéculation, la débauche et les débordements de la bourgeoisie sous le Second Empire.
Ce que j'ai préféré ? le beau témoignage sur la construction de Paris.
Le personnage le plus attachant ? Renée.
Pourquoi ce titre ? Terme de chasse qui évoque le tourbillon de la meute à qui l'on abandonne la bête mise en pièce.
La dernière phrase ? " La note de Worms se montait à deux cent cinquante-sept mille francs."
Il ne vous reste plus qu'à vous plonger à votre tour dans la Curée pour comprendre.
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Changement d'ambiance, changement de couleur pour ce deuxième tome de la saga des Rougon-Macquart....

Aristide Rougon, devenu Saccart pour faire oublier de mauvais choix politiques précédents, a quitté Plassans, en Provence, pour gagner la capitale, où il espère bien faire fortune, avec l'aide de son frère ministre.
Et pour moi, c'est vraiment Paris, l'héroïne de la Curée, un Paris en pleine mutation, sous l'effet des grands travaux qui vont le redessiner complètement. Les nombreuses descriptions, si elles m'ont quand même demandé une attention plus soutenue qu'une lecture plus légère, m'ont beaucoup intéressée, même si je me suis fait la réflexion qu'elles m'auraient davantage plu et m'auraient semblé moins ardues, si j'avais mieux connu Paris.

A côté de cela, je n'ai trouvé aucun personnage sympathique dans cet épisode: que ce soit Aristide, sa soeur Sidonie, sa femme Renée ou son fils Maxime (jusqu'à la femme de chambre Céleste!), tous ne sont attirés et mus que par l'argent et l'appât du gain. Que ce soit en famille ou pas, tous les coups sont permis pour amasser un peu plus et, même en cherchant bien, je n'ai réussi à être attirée par aucun des personnages!

Au final, même si les descriptions, nombreuses ici, ne sont pas toujours ce que je préfère, l'écriture riche et imagée de Zola, dans un livre finalement relativement court, m'a permis de bien apprécier ma lecture, dans le sens où elle m'a plongée dans un Paris en effervescence qui m'a beaucoup intéressée.
Partante donc pour aborder prochainement le ventre de Paris!...
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"La Curée", m'a laissé une impression partagée.
J'admets que Zola ait écrit dans ce deuxième tome des "Rougon-Macquart", de forts beaux passages, qu'il y a de très belles descriptions. Zola rédige des passages où il montre un grand talent, avec des descriptions d'une grande richesse, où il montre sa maîtrise du verbe.
Je dois aussi admettre que la peinture des classes bourgeoises pendant le Second Empire n'est pas inintéressante.
Cependant, plusieurs points m'ont déplu.
Entre autres, le personnage d'Aristide Saccard m'a peu accroché. Je l'ai trouvé trop arriviste et pas assez humain. Qui plus est, je trouve que, parmi les grands héros ambitieux du XIXème siècle, Saccard est une figure de second plan. On est loin d'un Rastignac ou d'un Georges Duroy.
J'ai aussi eu l'impression que les relations entre les personnages passaient au second plan, que la peinture de ce que furent les classes bourgeoises durant le Second Empire, prend trop de place. Cela ne se suffit pas à lui-même, à mon sens. Il faut une intrigue un peu plus consistante.
Je dois aussi avouer que ce que j'espère d'un Zola, c'est être emporté pendant plusieurs heures, par le souffle zolien. Cela ne fut pas tout à fait le cas ici, au contraire, je me suis parfois ennuyé.
Je préfère d'autres opus des "Rougon-Macquart", tels que "La faute de l'abbé Mouret".
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Après un premier tome consacré à "l'établissement" des Rougon dans leur ville natale, Plassans, nous voici à Paris, avec un fils Rougon qui se fait surnommer Saccard. Son frère étant ministre, il récupère un poste intéressant qui lui permet de trafiquer dans le cadre des grands travaux de Paris. Rachat de terrains, montage de sociétés bidon, petits trafics divers, tout est étalé dans une société mondaine qui se nourrit de pâtés, de tapis persans, de spectacles érotiques et de soieries. Au milieu de tout cela, Renée, la jeune épouse, et Maxime, fils d'un premier lit...

Voilà un tome percutant sur l'enrichissement, mais aussi sur la vie bourgeoise et noble qui vomit littéralement de l'argent qui n'existe parfois même pas. Les descriptions de Zola ont l'opulence des tables de ses protagonistes. Les sentiments sont salis par le gras des pâtisseries, tâchées par le champagne et les petits fours. Tout est large, gras, mensonge. Quel talent !

Mais le meilleur tour de force reste l'ultime paragraphe, trois phrases que l'on prend comme un uppercut. Un véritable maître de la peinture sociale et humaine !
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Encore un autre Zola, quand on aime on ne compte pas. C'est donc du second tome des Rougon-Macquart dont je vais vous parler aujourd'hui. Nous sommes dans le Paris du Second Empire, celui des grands travaux haussmanniens et des grands bouleversements. Des spéculateurs malhonnêtes érigent d'immenses fortunes grâce à la démolition des anciens logements. Les toilettes des femmes sont toujours plus élaborées, les fêtes toujours plus grandioses, et l'adultère plus que jamais présent.
Aristide Saccard arrive à Paris avec sa femme Angèle. L'homme rêve de fortune rapide et d'ascension fulgurante, il est aidé par son frère Eugène Rougon qui occupe un haut poste d'Etat aux côtés de l'Empereur. A la mort d'Angèle, Mme Sidonie qui est la soeur de Saccard, lui fait aussitôt conclure un nouveau mariage. Une jeune femme du nom de Renée a été violée et est désormais enceinte, et Saccard accepte de l'épouser et donc de se faire passer pour le père de l'enfant (qui ne verra pas le jour). Renée est fortunée, elle et son mari vont rapidement mener grand train chacun de leur côté. Lorsque le fils d'Angèle et d'Aristide, Maxime, arrive de province une relation fusionnelle va se nouer entre le garçon de 13 ans et Renée.
Toujours la même rengaine mais que voulez-vous, j'ai adoré ce roman ! J'y ai trouvé une critique violente de cette époque et de ces grandes fortunes qui naissent en même temps que les grands boulevards. le ton est particulièrement cynique et acerbe. Certaines descriptions ont comme à l'habitude retenu mon attention : celles des premières et des dernières pages, notamment. On découvre un monde impitoyable, où les relations servent les intérêts particuliers. Tout au long du roman on assiste à l'inexorable décadence de Renée et à sa fin. J'ai pensé à ces quelques vers de Baudelaire, mon poète préféré : "II en est un plus laid, plus méchant, plus immonde!Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde;
C'est l'Ennui!"
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris"
En effet c'est l'Ennui qui pousse Renée toujours plus loin dans le vice. Quel couple effroyable tout de même, qui ne se parle que d'argent. Aristide Saccard est détestable, accumulant les magouilles financières, vendant, achetant dans sa folie d'or. Son imagination est débordante pour extorquer de l'argent à l'Etat. Il n'y a pas un personnage pour rattraper l'autre, Maxime qui utilise sa belle-mère par ennui là encore, sans jamais s'attacher à elle... C'est un petit parvenu qui dilapide l'argent de ses parents avec les femmes. L'affreuse Mme Sidonie qui se complaît dans les malheurs des autres et qui en fait son beurre, les spéculateurs véreux... le seul personnage réellement bon, Angèle, meurt dès le début. Dès lors ce n'est que frénésie, débauche, vénalité la plus extrême.
Encore un très très bon roman, bien évidemment je vais continuer ma petite route parmi les tomes de ce fabuleux cycle.
Lien : http://lantredemesreves.blog..
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Zola nous décrit ici l'époque des grands travaux d'aménagement et d'urbanisation menés à Paris. C'est la Curée, c'est-à-dire le dépeçage de Paris par les spéculateurs, des bourgeois véreux prêt à tout pour leur gain. Et Aristide Rougon, qui prendra le nom de Saccard en sera le meilleur exemple.

Pour ce second tome des Rougon-Macquart, La Curée, Emile Zola met en scène la bourgeoisie parisienne du 19e siècle, plus particulièrement lors des grands travaux de Napoléon III. Et comment faire mieux que de tout détruire pour mieux reconstruire. Et évidemment ces travaux laisseront libre champs aux spéculateurs. Zola s'y attaque à cette classe de la société ne vivant que pour et par l'argent, en décrivant leur fascination du gain ainsi que leur vie scandaleuse. Et cela surtout autour du personnage de Aristide Saccard, ainsi que de sa compagne Renée, un personnage féminin très fort qui attache le lecteur d'un bout à l'autre du roman. D'ailleurs, comme à l'habitude chez Emile Zola, ce sont les personnages qui font le tout, sans compter cette incroyable reconstruction d'un Paris d'une époque durant laquelle le Paris moderne s'est forgé.

J'ai beaucoup aimé. Les descriptions des costumes de l'époque, des dîners, des aventures, de la vie un peu débauchée de la bourgeoisie. Mes copines ne comprennent pas que j'aime lire et relire Zola. Elles me disent que je me torture ! Mais ça n'est pas de la torture. C'est de la littérature classique. Et moi, j'adore.
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Aristide, en digne fils de Pierre Rougon est aux aguets depuis qu'il est arrivé à Paris. Dans La Fortune des Rougon, il s'était déjà montré ambitieux , dédaigneux et surtout obtus. Rattrapé par son frère, son père, sa mère, il s'est finalement rangé aux côtés de l'empereur, le but étant de rentrer dans ses bonnes grâces et d'y gagner une situation. Il veut s'enrichir et y prendre du plaisir. Rien de mieux pour cela que de manigancer des plans toujours plus complexes et de marcher sur la fortune (ou l'infortune) de ses compatriotes. le Paris du second Empire est parfait pour des hommes comme lui, des hommes prêts à dévorer le moindre butin de cette chasse à " l'expropriation pré-hausmanienne". Heureusement, on n'y trouve pas que des leçons de roublardise et d'économie : les amours incestueuses, adultères sont également de la partie dans cette curée. C'est d'ailleurs la partie la plus abordable, la plus théâtralisée.
Ce tome regorge de descriptions incroyables, qui ont fait la renommée de Zola (vous savez, ces passages qu'il faut savoir décrypter, annonciateurs de la tragédie à venir... ). Malgré tout, même si l'on ne peut en rien critiquer son talent à évoquer en des dizaines de lignes les fleurs d'une serre, les robes d'une soirée mondaine, les véhicules des uns et des autres, les intérieurs bourgeois, c'est tout de même un tantinet lassant.
La construction du roman est très bien pensée, les actes des personnages sont expliqués à la lueur de leur enfance, le but étant de voir jusqu'où leur tempérament peut les mener. C'est donc bien une analyse sociale qui se joue, ce qui explique les passages plus ou moins alléchants de cette oeuvre.
Après le coup de maître de l'introduction de la Fortune des Rougon, il etait difficile de faire mieux. J'attends tout de même avec impatience de découvrir un autre thème et une autre branche de cette famille type !
Lien : https://litteralfr.webnode.f..
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