Pauvre Cendrillon, ici tous ses avatars sont loin d'être des stars.
Car la pantoufle de vair ou plutôt comme dans cette nouvelle qui étincelle, l'escarpin jaune n'a pas assez d'audace pour éviter de se changer en godasse pour qui il est si facile d'être fragile.
Dans cette histoire, même d'un jaune aussi éclatant et flamboyant que le style de la conteuse, qu'il est escarpé le chemin vers les escarpins qui pourrait mener du préjugé au bien jugé !
Nous voici plongé dans l'incertitude attitude. Ce qui paraît au début de la nouvelle Oriane force s'avère en réalité faiblesse. C'est ce que le lecteur lit et vit page après page pour chaque personnage.
Tel Sadoq le protégé d'une prostituée au grand coeur qui lui va de princesse charmante en princesse charmante et dont le carrosse initialement citrouille va finir par être envahi par la rouille.
L'orpheline une histoire qui porte à son apogée pleurs, peurs, rancoeurs et coeur.
Les aveux d'un moine, crime, sacrements et châtiment, une nouvelle qui interpelle tout ce que nous croyons savoir et pouvoir.
De la littérature qui demanderait presque à chaque histoire pour le mot espoir de faire une rature et
Thérèse Zrihen-Dvir une auteure à propos de laquelle le mot écrivain n'est pas employé… en vain !