Amok ou Le fou de Malaisie

J'ai toujours eu du mal avec Zweig, mais ici on ne peut pas trouver ces nouvelles, essentiellement Amok, puis cette déchirante lettre d'un amour sans reconnaissance, (la dernière étant très Dostoïevskienne mais sans le côté haletant comme un chien malade...) très prenantes et bien fichues, au-delà du style toujours là.

Un médecin face à son devoir, celui d'avorter une femme mêlé à une passion amoureuse. Un remords intense l'envahi... Des sentiments très bien décrits.

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Monologue d'une vie, d'une obsession entre coupé par les bruits de la nuit sur un bateau. Histoire d'exotisme et de similarité, d'obsession et d'un secret qui mène à la tombe. Intéressant, je commence à voir les similarités entre les nouvelles de Zweig.

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