AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,69

sur 191 notes
5
8 avis
4
12 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Des nouvelles extrêmement bien écrites, où le sentiment amoureux voyage se perd, se retient et s'abandonne.
Entre ombre et lumière, il nous entraîne aux portes du mysticisme, de la dévotion mais aussi de l' incompréhension.
Tout en reconnaissant le talent incontestable de Stefan zweig ( C'était pour moi une première lecture de l'auteur) j'ai eu un peu de mal à rentrer dans ces histoires trop empreintes,à mon goût ,de religiosité.

L'adage se confirme en tous cas: Comme le disaient si bien Aragon et Brassens :"Il n'y a pas d'amour heureux."
Commenter  J’apprécie          171
Un recueil de nouvelles qui m'a semblé assez différent des autres que j'ai lus.Les deux premières nouvelles restent néanmoins dans la même lignée: moments d'une vie déchirants, qui révèlent l'être à lui-même, modèlent son destin.

Mais les deux suivantes( la dernière est très longue) touchent à un univers que l'auteur n'avait qu'en partie exploré dans ses autres nouvelles: la religion.Vue comme une transfiguration, ou mal perçue , comme dans " La marche".

Elle ne semble pas, en tout cas, apporter les bienfaits que l'on attendait.Selon l'auteur, elle peut même engendrer l'amertume et les erreurs.

" Il est des heures vides, creuses, qui portent en elles le destin."Que ce soit pour la trop fragile Erika ou Esther la tourmentée, ces heures les ont cruellement marquées.

Ce n'est pas le recueil que je préfère , le thème de la religion m'intéressant moins, mais toutes les qualités d'écriture et la finesse d'analyse psychologique de l'auteur s'y retrouvent.
Commenter  J’apprécie          160
Des nouvelles très diverses.La première, celle qui a donné le titre au livre raconte comment Erika, professeur de piano viennoise s'éprend d'un violoniste, comment le désir masculin brutal l'effarouche et la fin de cet amour éthéré. La Marche se déroule en Palestine pendant la Crucifixion, la dernière nouvelle, Les Prodiges de la Vie, mettent en scène à Anvers pendant les guerres de religion, un peintre et son modèle une jeune juive.
Stefan Zweig est un orfèvre de la psychologie, il cisèle ses récits, analyse, éclaire, lune, soleil ou étoiles selon... mais cette psychologie viennoise du début du XXème siècle, si bien analysée par Schnitzler et Freud, m'énerve.. La vision des femmes, êtres fragiles, sensibles dans le déni du sexe, le refoulé, ou au contraire tombant dans la dépravation, victimes éternelles m'agace.
Lien : http://miriampanigel.blog.le..
Commenter  J’apprécie          90
Lu en 2018. Deuxième nouvelle publiée par Stefan Zweig.
Une passion secrète, platonique, fulgurante, quête d'absolu, amour sublimé, déception, confusion, remords, affres de la souffrance, résignation fatale... Une plume déjà, en 1903, précise, incisive et clairvoyante, mais cette oeuvre de jeunesse (Zweig avait 24 ans) ne restera pas impérissable pour autant pour moi.
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (528) Voir plus



Quiz Voir plus

Le joueur d'échec de Zweig

Quel est le nom du champion du monde d'échecs ?

Santovik
Czentovick
Czentovic
Zenovic

9 questions
1884 lecteurs ont répondu
Thème : Le Joueur d'échecs de Stefan ZweigCréer un quiz sur ce livre

{* *}