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Abdul Abraham Karachel (Traducteur)
EAN : 9782266141192
314 pages
Pocket (14/11/2003)
3.2/5   10 notes
Résumé :
Un éminent mathématicien, Eliyahu Rips, juif russe émigré en Israël, prétend avoir mis au point il y a une vingtaine d'années un programme informatique capable de décoder des informations cachées dans la Bible. En réunissant les lettres de la Bible telles qu'elles étaient originellement, à savoir écrites en hébreux, sans espace entre elles, telles qu'elles ont été données à Moïse sur le mont Sinaï, il fait apparaître une longue séquence de 304 805 lettres. Fac... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Tome 2 de l'enquête journaliste concernant la découverte du mathématicien israélien Eliyahu Rips, qui, à l'aide d'ordinateurs, a mis à jour un code dans des textes bibliques de l'Ancien Testament.
Ce second volume, ne fait que développer avec plus de détails, ce que l'on a déjà appris dans le premier tome.
Entre les deux parutions de livres, le seul nouveau décodage marquant a été : - qu'il semblerait qu'à l'époque biblique, le ou les "encodeurs" auraient caché des (colonnes ou obélisques) dans de (l'acier ou vaisseau...) selon traductions.
Des inscriptions concernant structure ADN, création de la vie ou le mode de codage de la Bible y figureraient.
"Dieu", le "Créateur" ou "Encodeur" aurait laissé cet 'héritage' aux générations futures dans un endroit où il savait qu'il serait bien conservé.
Le code de la Bible indique péninsule de "Lisan", "mer Morte". Effectivement, dans cet endroit le plus bas de la planète avec une concentration de sel telle, que l'oxygène en est absent, il était impossible de trouver meilleure cachette préservant de la rouille et dégradation.
Cet ancien lieu biblique où se trouvait les villes de Sodome et Gomorrhe fait aujourd'hui partie du territoire de la Jordanie qui n'a pas donné le droit d'y faire des fouilles...
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A vous tres chers de capter lattention quil merite...
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Notre galaxie à elle seule, la Voie lactée, compte cent milliards d'étoiles, et il y a plusieurs milliards de galaxies... (...)
Dans notre imaginaire, une soucoupe volante arrive sur terre et il en sort un extraterrestre.
Mais les scientifiques qui recherchent une forme de vie intelligente ailleurs dans l'Univers ne pensent pas que cela se passera ainsi (...)
Il existe une autre possibilité.
C'est cette forme de contact que les scientifiques estiment la plus probable : la découverte sur terre ou dans les environs d'un objet extraterrestre.
Mais pourquoi un tel contact ne se serait-il pas déjà produit il y a longtemps ? Et si le code de la Bible était, en fait, le signe de ce contact ?
Depuis le tout début de mon entreprise, je savais que le code avait quelque chose qui n'était "pas de ce monde" Quel être humain aurait pu sonder l'avenir il y a trois mille ans et en coder les détails dans la Bible ?
En fait, l'existence même d'une "clé du code" ancienne donne à penser que quelqu'un sur terre disposait d'une connaissance scientifique plus avancée que la nôtre il y a des milliers d'années.
Dans son livre "Sommes-nous seuls ?", l'astrophysicien Paul Davies imagine un objet laissé sur place par des extraterrestres, programmé pour se manifester seulement lorsque la civilisation terrestre aura atteint un certain stade d'avancement. Un tel dispositif serait une sorte de "capsule temporelle" d'origine extraterrestre et pourrait contenir des masses d'informations vitales pour nous.
N'est-ce pas une description parfaite de ce que pourrait être la "clé du code" ?
L'astrophysicien Carl Sagan a déclaré un jour que, s'il existait des formes de vie intelligente ailleurs que sur terre, il y en aurait forcément qui auraient émergé bien avant la nôtre, et qu'elles auraient donc des centaines, des milliers, voire des millions d'années d'avance technologique par rapport à nous.
< < Ce qui peut nous sembler difficile ou impossible d'un point de vue technologique, expliquait Sagan, voire magique, pourrait pour ces extraterrestres, être trivialement facile. > >
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J'ai de nouveau étudié la grille où "véhicule d'acier" apparaît à la fois avec "Mazra'a" et "Lisan". Et j'ai vu que, juste au-dessus de "véhicule d'acier", le texte caché dit : < < forcé d'atterrir, intercepté > >
En hébreu, ce mot n'a qu'un seul sens : l'interception d'un engin aérien.
C'était de la science-fiction. Cela ne pouvait être vrai. Comment un engin spatial avait-il pu exister en des temps si reculés ? Il ne pouvait venir que d'une autre planète.
"Extraterrestre sur terre" est codé à une reprise dans la Bible et ce, de manière surprenante, une nouvelle fois avec "Mazra'a". Et on retrouve encore la suggestion que l'arrivée sur terre était accidentelle : les mots "par erreur" croisent "extraterrestre sur terre".
Dans la Bible, ce qui semble le plus clairement être un vaisseau extraterrestre est décrit dans le livre d'Ezéchiel. On l'appelle "la vision du char".
Or, au même endroit du livre d'Ezéchiel sont codés les mots "extraterrestre humain"
Et exactement au même endroit, on trouve "Lisan", épelé sans sauts de lettres, et, chevauchant ce mot, à l'envers, on peut lire : < < humain près de là dans une crypte > >
Un autre codage dans la Torah semble confirmer qu'une créature d'apparence humaine est venue sur terre il y a longtemps et nous a légué le code de la Bible.
"L'extraterrestre est un homme" figure une seule fois dans la Bible.
Au même endroit, dans le texte même de la Bible, apparaissent les deux expressions que j'avais trouvées au départ avec "clé du code", "bouche des obélisques" et "seigneur du code".
Cela suggèrerait de manière assez transparente que le codeur était un humain, mais pas un des nôtres. Et, une nouvelle fois, au même endroit, le code disait : < < il a été intercepté, obligé de descendre > >
Qui ou quoi, aurait pu forcer le vaisseau spatial à atterrir ? Le code ne disait rien sur le sujet.
Par contre, l'affirmation était sans doute que le code avait été apporté sur terre par un vaisseau spatial.
Le vaisseau spatial était-il une "arche en acier" ?
Pourtant, plus les preuves s'accumulaient, plus je doutais de tout.
Je voulais bien croire que le clé du code de la Bible était gravée sur un obélisque, que l'obélisque était enfoui dans une péninsule désertique qui n'avait pas été habitée depuis les temps bibliques. Mais je ne parvenais pas à croire qu'il avait été amené là par un vaisseau spatial.
Or Crick, qui a découvert la structure de l'ADN, assure que que l'ADN a été apporté sur terre par des extraterrestres. Si c'est vrai pour le code génétique, pourquoi ne le serait-ce pas pour celui de la Bible ?
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Ronald Latanison est une autorité pour tout ce qui concerne la durée de vie du fer et de l'acier. Je lui ai donc demandé si un objet métallique pourrait se conserver sous l'eau durant des millénaires.
< < Cela dépend de la teneur en sel > >, a été sa réponse.
Je n'osais pas lui avouer qu'il s'agissait de la mer Morte, l'endroit le plus salé de la planète. Mais je n'avais pas le choix.
< < Alors, il est peut-être toujours là > >, m'a dit Latanison.
Dans l'environnement exceptionnel de Lisan, de la mer Morte, toutes les règles étaient inversées. C'était la seule exception à tout ce que l'on m'avait affirmé jusque-là.
< < Il est vrai que le fer rouille dans l'eau, et le sel accélère le processus, m'a expliqué Latanison. Or, au delà d'une certaine concentration, cela empêche en fait la corrosion. Quand l'eau contient plus de 35% de sel, la teneur en oxygène chute très rapidement. Sans oxygène, pas de rouille. > >
J'ai appelé Davide Neev en Israël. J'ai demandé à cet expert international de la mer Morte si la concentration de sel y dépassait les 35%.
< < Bien sûr. C'est même le seul endroit sur terre où c'est le cas. > >
Et Neev m'a confirmé ce que m'avait dit Latanison : un objet en fer aurait très certainement subsisté au fond de la mer Morte, car cette eau ne contient pas une trace d'oxygène.
Et si l'objet était enfoui dans le sol ? J'ai posé la question à Latanison et à Neev.
Un objet en fer enterré dans le sous-sol de péninsule de Lisan serait sans doute aussi intact, parce que le sol y est pratiquement imperméable à l'air. Latanison me l'a certifié : un objet métallique enterré dans la roche saline qui se trouve sous la péninsule de Lisan ne serait pas attaqué par la rouille.
< < Une grotte salée absorberait l'humidité, m'a assuré le professeur du MIT. Or, sans humidité, pas de rouille. Et, sans oxygène, pas de rouille non plus. Une grotte un tant soit peu hermétique préserverait indéfiniment un objet métallique. > >
Et l'endroit auquel je m'intéressais était le seul au monde où une "arche d'acier" aurait pu rester intacte des millénaires durant.
Je me suis tourné une nouvelle fois vers le code de la Bible pour obtenir une confirmation finale. La phrase "l'acier n'a pas rouillé" apparaît une fois. "Préservé" et "détection, révélation" figurent au même endroit.
Mais le texte caché semblait suggérer quelque chose de manière répété.
"Sauvé dans l'acier" est également codé avec le nom du site, "de l'autre côté de la mer, sur la frontière de Moab", le nom biblique de la Jordanie. Et, à cet endroit précis, le texte caché dit : < < tu l'apercevras de là, une petite extrémité > >
Cela semblait signifier que l'on pourrait déceler facilement, voire accidentellement, la clé du code, que la pointe de l'obélisque jaillissait peut-être du sol.
"L'obélisque pointe évident" est aussi codé avec "Mazra'a" et "Lisan".
"De Lisan, il pointe" apparaît à côté des mots de la Bible qui recoupent aussi "arche d'acier" et "arche de fer" : "ceci est la solution", chevauchant "Lisan".
Et la géographie exceptionnelle de la péninsule faisait que tout cela était plausible. Je cherchais la clé du code sur une terre qui avait été sous l'eau pendant cinq mille ans. La mer Morte se trouvait à son plus bas niveau depuis l'aube de la civilisation, et elle baissait encore rapidement. Un géologue israélien venait même de rendre public un rapport intitulé : "Le point le plus bas de la planète baisse encore"
Il était tout à fait possible qu'un objet enfoui depuis les millénaires refasse surface tout seul.
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