Calvin est un petit garçon de 6 ans « un peu » turbulent, bourré d’imagination accompagné de Hobbes son tigre en peluche mais pas tout à fait, il fait les 400 coups pour notre plus grand plaisir. Je ne me lasse pas de lire et relire les péripéties de ce gamin.

Quel talent!

Comment est-il possible de réinventer autant de gags sur les mêmes thèmes , sans jamais tomber dans le too-much?

Waterson utilise la répétitivité comme terreau pour de nouvelles déclinaisons qui semblent toujours pleine de fraicheur et c'est chaque fois une magnifique réussite.

Quel plaisir de retrouver nos deux larons dans ce tome qui nous laisse avec des envies d'encore et un sourire aux lèvres.

Les strips sont comme un refuge quand la vraie vie manque de piquant et de joie. Ils invitent à ne jamais taire l’enfant qui sommeille en chacun de nous, celui qui nous permet de voir la vie d’un autre oeil, qui permet positiver, d’y infuser de l’aventure au point d’en faire une folle épopée !
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Cette bande dessinée qui m'a beaucoup fait rire et sourire, car j'y ai reconnu de jeunes enfants de mon entourage.



Faut-il encore présenter Calvin ? C'est un petit garçon très imaginatif, énergique et intellligent, se posant de grandes questions existentielles et mêlant facilement ses pensées et la réalité.

Son compagnon-tigre Hobbes est le reflet de son mode de pensée : bien réel, bonne conscience sarcastique de Calvin lorsqu'ils sont seuls, mais simple peluche, avec une sacrée bouille, lorqu'il y a des témoins.

Comme beaucoup de gamins, Calvin aime les aventures spatio-temporelles, les dinosaures, les monstres, la télévision. Il s'imagine aussi super-héros ou détective privé.



Les parents ont un rôle plus discret mais indispensable : leur flegme est imperturbable, il s'oppose aux aventures trépidantes et imaginaires de leur fils, à son dynamisme et son impulsivité.



Le dessin très simple met en valeur les mimiques des personnages, les rend encore plus attachants et fait ressortir l'ironie de leurs propos, avec parfois une pointe de cynisme.



C'est un classique indispensable qui apporte une dose de bonne humeur en un trait et quelques cases. J'adore !

J’ai découvert cet univers dans les années 90 et je m’y replonge de temps en temps histoire de voir si je vieilli sans grandir comme je me l’étais promis.

Eh bien oui, je dois bien avouer que l’humour qui joue sur l’ambiguïté entre ce que Calvin voit et ce qui se passe réellement me fait toujours autant rire. Ce gamin malicieux, à l’imagination inépuisable, passe son temps à s’inventer des mondes toujours plus riches et a, de temps en temps, quelques réflexions étonnements matures.

C’est drôle, parfois cruel mais c’est intelligent et même poétique. Impossible d’être déçu.

J'ai passé un petit moment sympa en compagnie de Calvin et de son ami tigre Hobbes. C'est les vacances d'été. Cela leur donne du temps pour jouer dehors, embêter les parents. De l'humour, des aventures, un retour dans l'enfance et l'imagination. Mais ça ne m'a pas non plus passionnée ni fait vivre tant d'émtions.

Ce tome 8 de la série Calvin et Hobbes chez "Hors collection" est en réalité composé des tous premiers strips mettant en scène les deux amis.

Le trait est donc moins abouti que dans les autres tomes, les personnages sont moins fins dans leurs représentations mais l'humour caractéristique est déjà bien présent.

Dès ces premiers gags, le ton est donné et au bout de quelques planches, la plupart des grands incontournables sont déjà présents pour le plus grand plaisir du lecteur amateur des deux compères.

J'ai ri, j'ai ri...je crois que je ne ris jamais autant en BD que devant un Calvin et Hobbes.