Souvenirs d'enfance de l'auteur né en Vendée au début des années 1950 à travers des objets disparus mais qui peuplaient son quotidien. Forme originale mais ce livre ne laisse pas de souvenir impérissable (pour moi en tout cas).
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Quel ennui!! Et pourtant ces objets appartiennent aussi à ma génération. Construction hasardeuse des phrases, style ampoulé. N'est pas Proust ou Balzac qui veut. Auteur prétentieux et réactionnaire. Livre conseillé aux Bts dans le cadre d'un sujet d'étude sur les objets. Comment imaginer que ce type d'ouvrage puisse réconcilier or les jeunes avec la lecture !!
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Malgré le style et les ambiances caractéristiques d'une époque , à travers ses objets , on plonge un peu trop dans la nostalgie , quii est souvent le propre des "quinquats" .
Tous ceux qui ont vécu cette époque ,s'y retrouveront bien sûr ; mais on auraiit aimé un autre souffle . qui aurait permis d'attirer un lectorat plus jeune .
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François Bon a pris le même train tout un hiver pour écrire Paysage fer. Rude travail pour l'observateur. De la fenêtre de son train corail. Il doit tout saisir d'un coup d'oeil, De la poésie comme un crachin léger, quand le mauvais temps voile la vue. Des images, cocasses par le rapprochement qu'il observe dans le paysage.
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Un flux qui emporte les notations plus ou moins précises, les souvenirs rageurs non dépourvus d'une tendresse pour les hommes et un métier, des « Arts et métiers » , la formation aux techniques et la formatisation sociale par les anciens bizuteurs et l'encadrement conseiller, les projets et rêves de tous ceux côtoyés, l'usine maintenant fermée (ou presque) et destinée à faire place à un quartier de bureaux – et puis les différentes usines, et le travail d'une machine à retaper l'autre, d'un pays à l'autre, d'un univers à l'autre avec cette permanence : la machine (et suis fascinée). La dureté du travail, les rapports, les hiérarchies, l'importance des commerciaux ou gens de bureaux. Des silhouettes rencontrées, des histoires, des amitiés.
Assemblage de textes divers unis par le travail des mains, ceux qui le font et les machines, le métal. Déplacements dans l'espace, et dans le temps aussi, avec le grand-père et la permanence du travail et surtout les changements du monde. Leur désuétude, et la colère que c'est.
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