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Critiques de Jean-Christophe Bailly (57)
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Un arbre en mai

L'anecdote, c'est ce qu'à choisi Jean-Pierre Bailly pour évoquer 68, année pré-érotique, dont les cinquante ans vont être "fêté" par des tonnes de livres et de documentaires pour consolider un peu un mythe qui n'en a pas besoin et qui, il faut l'avouer, n'excite aujourd'hui plus grand monde. Bailly lui reste les pieds sur terre. Un peu désenchanté, il se remémore surtout des instants, des lumières, les convergences, l'impatience mais aussi le détachement, les changements provoqués sur lui par ces événements inattendus dont on a, paradoxalement, trop attendu, les désillusions de la lutte, etc. Le texte est court, lumineux, intime, et c'est peut-être le seul qu'il faudrait lire sur 68 car loin des clichés, il donne le ressenti d'un jeune homme qui va trouver sa voie, celle de l'écrivain. Beau, en toute simplicité.
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L'apostrophe muette

Absolument passionnant....
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Le versant animal

Dans cet ouvrage, le regard tient un place importante! Les animaux sont les seuls êtres qui peuvent eux aussi nous voir. L'animal nous est proche et en meme temps lointain. Impossible pour nous de nous en approché, de le comprendre… pourtant parfois l'animal semble nous adresser un message avec l'aide du regard.
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Une nuit à la bibliothèque - Fuochi Sparsi

Dans la bibliothèque de Parme, la nuit, les livres s’éveillent et parlent. Ils se parlent d’eux-mêmes, des vivants, de la ville, du désir de monde qu’ils portent en eux. Conviés à partager ce moment, les spectateurs sont là, observant ce moment d’intimité quand les livres se chuchotent entre eux ce dont nous nous doutions bien qu’ils se parlent. Il en va du désir, de la lecture, et de la proximité de la fiction et du réel…
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L'apostrophe muette

L'apostrophe muette. Dans cet essai, Jean-Christophe Bailly analyse les sidérants portraits du Fayoum. Dans une langue soutenue et presque poétique, il réussit à rendre quasiment tangible un moment d'humanité que ces peintures semblent avoir capté pour l'éternité.
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Le dépaysement : Voyages en France

Cette lecture est passionnante, le chapitre sur Guise en particulier. Le style un peu difficile mais il faut partir du début de la phrase et s'envoler vers la fin pour avoir un aperçu global de l'idée que chaque phrase développe. Je conseille vivement cette lecture pour un voyage atypique en France : j'ai apprécié toutes les promenades et celles du début du livre est poignante : les restes apocalyptiques des deux guerres mondiales dans l'Est dont l'évocation est bouleversante quant aux traces laissées. J'ai apprécié également le voyage sur la Vézère et les commentaires sur l'art pariétal. Enfin un beau partage d'humanité que cet éclairage par les plantes de la notion de France multiple où les apports de l'étranger sont légions et intégrés dans le paysage comme ce buddléia ou arbre à papillons importé au 19 ème siècle et qui a planté ses racines en France sans qu'il soit perçu comme inutile. Un livre qui rend intelligent.
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Le dépaysement : Voyages en France

Etudiant en paysage, je me faisais une joie de lire ce livre, surtout qui'il a eu un prix et qu'il a été écrit par un professeur de BLOIS. Mais, j'ai lu que quelques chapitres. Je n'ai pas du tout réussi à accrocher... Pour moi, c'est un voyage en France raté...
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Phèdre en Inde

Phèdre en Inde est un carnet de voyage publié en 1990. L’auteur y raconte son expérience de metteur en scène alors qu’il avait pour mission de faire jouer Phèdre de Jean Racine en hindi et en Inde. Tout un programme, qui n’est pas sans rappeler celui de Sorj Chalandon dans Le quatrième mur dont le narrateur a pour ambition de monter Antigone de Jean Anouilh au Liban avec des acteurs de tous bords (druze, juif, maronite, palestinien…). L’enjeu politique est nettement moindre avec J.-C. Bailly. Si les amoureux de Racine s’y retrouveront peut-être – je crois n’avoir jamais lu Racine mea culpa – pour ma part, ce sont bien les impressions indiennes de l’auteur qui m’interpellent, que je redécouvre, me surprennent, que je revis comme s’il s’agissait des miennes, dans toute la simplicité du touriste ignorant, avec la qualité littéraire propre à la plume d’un écrivain.



Pour tenter de rester un minimum objective, il est très probable que l’intérêt que je porte à ce récit réside d’avantage dans mon expérience personnelle que dans une véritable surprise littéraire. Les anecdotes de voyage, la calligraphie, les références à Louis Renou, au kathakali, sont autant de détails me renvoyant à mes propres voyages, et à mes études ou rencontres bonnes ou mauvaises.



Cette lecture que je redoutais aura finalement été une jolie surprise et une belle plongée dans le passé.
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Le parti pris des animaux

Ce court recueil de huit textes se situe entre la réflexion philosophique et la rêverie sur le monde animal, avec une idée-phare : ce monde n'existe pour nous que sur le mode de l'éclipse, de l'intermittence, entre l'invisible et le surgi, et il nous reste à jamais largement inconnu et inaccessible. Nous le frôlons, nous l'effleurons, sans jamais le pénétrer véritablement.

C'est dès lors une invitation à reconsidérer la place de l'homme dans le monde et son rapport aux animaux.
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La phrase urbaine

À travers une approche sensible et personnelle de la ville, Jean-Christophe Bailly offre quelques réflexions pour penser différemment l’avenir de la ville.
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La colonie des enfants d'Izieu 1943-1944

Le Musée mémorial des enfants d’Izieu a été inauguré le 24 avril 1994 par François Mitterrand. Il est appelé aujourd’hui « La Maison d’Izieu, mémorial des enfants juifs exterminés ». La maison d’enfants fait partie avec l’ancien camp d’internement de Gurs et le Vel d’Hiv à Paris des trois lieux de mémoire nationale des victimes des persécutions racistes et antisémites de l’État français reconnus par le décret présidentiel du 3 février 1993.



Rachetée au début des années 1990, la maison est restée telle qu’elle était lorsque les enfants ont été raflés le 6 avril 1944. Dans une grange voisine un espace muséographique a été crée.



Ce livre documentaire est en fait le catalogue d’une exposition organisée entre juillet 2011 et septembre 2012 à la maison d’enfants. L’ouvrage comporte six parties : une Préface de la présidente de l’association, Rendre Présent, Photographies d’archives et témoignages, Habiter le temps, Les membres de la colonie d’Izieu mai 1943- 6 avril 1944, Repères chronologiques.

Photographies d’archives et témoignages est le cœur de l’ouvrage, puisqu’il regroupe la quasi-totalité des photos disponibles sur les enfants et les adultes qui ont habité cette maison entre mai 1943 et le 6 avril 1944 assorties de témoignages de ceux qui survécus (la plupart ayant quitté la maison avant la rafle, une seule adulte est rescapée des camps de concentration).

Habiter le temps est un texte de Jean-Christophe Bailly qui explore les méandres du Temps et de la Mémoire et insiste sur l’importance du Souvenir et des Histoires. Histoires collectives et individuelles, tragiques et émouvantes qui donnent à ces personnes (enfants et adultes) la possibilité d’une inscription dans une réalité tangible, durable, profondément évocatrice et universelle.

Ensuite sont présentés tous les membres de la colonie en des portraits individuels, un astérisque mentionnant ceux qui furent déportés ; puis des repères chronologiques restituent cette aventure et le drame qui s’en suivit dans leur contexte historique.

Il va sans dire que la lecture de cet ouvrage est émouvante. Les photos et les textes redonnent vie aux enfants et montrent combien, cette parenthèse fut pour la plupart, une pause dans la traque sans fin que les nazis et l’État français avait imposé aux juifs. Une pause heureuse. Une parenthèse humaniste dépourvue de toute considération religieuse. Un espace et un temps qui ont donné aux enfants la possibilité de s’asseoir à nouveau sur les bancs de l’école, de construire des espérances et d’envisager des relations humaines susceptibles d’offrir une place à l’amitié et peut-être aussi à l’amour. Izieu fut un repère où les mots Confiance et Respect ont été autre chose que des concepts creux. Tout cela apparaît sans le recours aux mots : des visages, des sourires, des postures, des accolades traduisent ces sentiments. Mais il est aussi aisé d’apercevoir des inquiétudes, des traumatismes, des blessures, des angoisses latentes, des peurs camouflées, blottis au fond de certains regards.

Combien il est important aujourd’hui de rappeler que tout cela s’est produit en Europe. Et que la création de l’Union Européenne a été voulue pour éviter qu’à nouveau de telles horreurs se produisent… et combien aussi le Front national (ou le Rassemblement Bleu Marine) puise ses racines dans les mouvements qui en France, comme ailleurs en Europe, ont contribué à l’avènement de ces horreurs.
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Le dépaysement : Voyages en France

J'ai été très touché par ce livre car il a été déclenché par des interrogations qui me sont très familières : qu'est ce que la France ?, qu'est ce qui fait que nous reconnaissons ce pays comme étant le nôtre malgré toute sa diversité? La façon de répondre à cette question que choisit JC Bailly peut paraître déconcertante car son livre n'est pas un essai et ne développe pas une argumentation structurée. Les chapitres se succèdent dans un ordre qui semble relever du hasard et la prose penche souvent vers une poésie de l'errance un peu distanciée, s'attachant à évoquer des détails qui peuvent paraître secondaires mais qui finissent selon moi par dessiner un paysage, certes un peu mélancolique, d'une France plurielle et faite d 'un riche empilement de multiples strates (historiques, géographiques, sociologiques) . le livre est également riche de réflexions où la pensée de l'auteur s'exprime pleine de subtiles nuances, attentive à la précision du propos.
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Le versant animal

Jean-Christophe Baiilly nous transporte dans le langage vers des territoires toujours inexplorés et surprenants. "Le Versant animal" ne fait pas exception à la règle. En interrogeant la figure de l'animal à travers les grands textes de la littérature, en dressant un bestiaire littéraire où la virevoltante chauve-souris répond à la vache placide, prenant appui sur Rilke, sur Kafka, pour un invetaire qui se déploie avec fantaisie, comme une fugue, l'auteur dresse, par la bande, un partait mouvant, "fractal" de l'espèce humaine.

Il en découle un texte qui s'avance comme une piste à travers le paysage hétérogène du vivant. le lecteur suit cette piste, il est tantôt animal traqué ou chasseur, explorant un infini de possibilités et de façons de vivre. Un très beau texte!
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La phrase urbaine

Pour le poète Jean-Christophe Bailly, l’espace urbain d’aujourd’hui, qu’il soit patrimonial ou fonctionnel, ne se prête plus à la flânerie et à la promenade. À la mémoire imposée par les musées, ou aux chantiers des villes nouvelles, il oppose la mémoire en acte du passant, pensive et seule porteuse d’utopie.
Lien : http://www.laviedesidees.fr/..
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Le dépaysement : Voyages en France

Qu'est-ce-ce qui est tellement français ?

C'est cette question qui pousse Jean-Christophe Bailly à partir visiter des lieux, des villes, motivé par la curiosité et l'histoire. On sent l'envie de fixer l'instantané du pays en ramassant dans ses longues phrases visions, sensations du moment présent et évocation du passé.

Ce livre serait une manière de tenir la France entre ses mains. Fixer cet hexagone qui ressemble sur les cartes à une peau de bête écartelée suspendue par ses quatre pattes- un parchemin (p.193) Ses zones de tension, entre la façade océanique, les mers, ses fleuves et montagnes. Il y a un art de la description chez Jean-Christophe Bailly. Il enseigne l'histoire de la formation du paysage à Blois et il est poète. Il cherche le mot juste pour nommer le réel.

Le grand savoir de Bailly débouche parfois sur une impression d'élitisme, on a envie de lui donner du "Maître, ..." pour contester ses phrases. Les digressions méditatives rendent parfois la lecture difficile.

Bref, comme dans tous les grands livres, on traverse des moment d'ennui.

Mais au besoin on saute des pages, des passages, chaque lecteur aura les siens. Comme ça, quand on arrive à un beau chapitre comme Origny-Sainte-Benoîte (p.343) sur les traces de Stevenson, l'usine, une réflexion sur la disparition du peuple, on a le sentiment de le mériter. On se laisser entraîner dans des phrases souples envahies de virgules, son plaisir du mot juste qui exploite toutes les ressources du dictionnaire.

Finalement, ce "livre plus fort que toi" finit par s'adoucir et prendre son sens. Il nous reste en mémoire des images et une mélancolie. Le pont du Gard, les cimetières de Verdun (1000 morts par jour, il nous fait réfléchir au nombre), le paysage aperçu du train, la passerelle du Cambodge (près de la Cité Universitaire), les noms des salons de coiffure, ses notations émouvantes sur la ponctuation des bovins sur les pentes, entraînant une réflexion à propos des animaux que nous mangeons sans réfléchir à la dette que nous avons vis-à-vis de ceux que nous abattons. A conseiller aux lecteurs exigeants.
Lien : http://killing-ego.blogspot...
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Le dépaysement : Voyages en France

Jean- Christophe Bailly est certes érudit, flâneur, observateur de paysages et de lieux éloignés des clichés touristiques, il tente ainsi de lier et de cerner ce qui fait la diversité de la France sans impatience. Son écriture est riche et complexe. : tant que je m'en suis rapidement lassée. Il ne faut sans doute pas tenter de lire cet ouvrage d'une traite sous peine de le trouver ronflant ou pédant. Je n'ai tenu, en me forçant, que 150 pages.
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Le dépaysement : Voyages en France

Le dépaysement

Voici un livre fourre-tout pour lequel, son auteur, professeur d’histoire du paysage (dont on ne saura jamais ce que c’est sinon que c’est un travail rémunéré) se demande page 200, si « (il) n’aurait pas mieux fait de suivre un plan en se basant sur une randonnée géographique organisée ou tout au moins reconnaissable ». La réponse, cher Jean Christophe Bailly, est évidemment : oui.

Car les allers et venues que vous nous imposez sans aucune logique sont particulièrement « rasoirs »

Tantôt métonymique, lorsque vous êtes à court d’inspiration (un pont pour Toulouse -4 pages- et une boutique de pêche pour Bordeaux -7 pages-) et verbeux chic et chiant pour l’Oise et la Vézère (plus de 20 pages à chaque fois) interminable sur la Lorraine, et vous le reconnaissez, vous nous entrainez dans votre errance satisfaite.

Au besoin vous inventez.

Comment vous croire lorsque dans le Turbo Lyon Strasbourg, parti de Arles avec changement à Lyon, vous reconnaissez le petit village de Château Chalon, pourtant invisible depuis les voies ferrées de Lons le Saunier, à fortiori en soirée et en Janvier dans ce voyage inepte de la fève.



Au fil des lignes, vous lancez des anathèmes et vous jugez sans preuve, Châteauroux est moche et ne mérite pas d’avoir un aussi gros centre culturel, Saint Saëns est un compositeur assez médiocre à qui vous préférez Méhul (bravo !)

Et cette personne qui dans un petit village du Nord ferme ses volets trop tôt à votre gout (16h30) et qui vous lira peut être comme vous l’imaginez (Quelle fatuité) a sans doute de nobles raisons pour le faire. Peut-être que cette personne, c’est moi, l’architecte amateur de la cinquième symphonie avec orgue de Saint Saëns et Castelroussin d’origine qui découvre votre mépris pour moi dans votre ouvrage. En tout quoi j'en suis solidaire.



Vos longs séjours en maison d’édition (l’école de paysage où vous « enseignez » l’histoire – forcément courte- du paysage a été créée en 1995) vous ont ouvert les dictionnaires et votre savoir encyclopédique se traduit par une incroyable pédanterie :

« Mais au-delà du tout, il n’est rien qui le termine… » Cette phrase de Lucrèce renferme, pour peu que l’on s’attarde (excusez du peu) une formidable condensation aporétique de la question de la limite.(chapitre 20)



Et puis quoi encore ? Tout est dit semble-t-il. J’ai terminé vos presque 500 pages et j’ai même lu les remerciements pour découvrir que vous aviez « lue, complète, la correspondance de Courbet dans l’édition qu’en a donnée Petra ten-Doessschate Chu (Flammarion, Paris 1996) ». C'est assez "prout-prout" comme disait ma chère maman!



Vous semblez ne vous émouvoir, c’est-à-dire sortir du cadre, puisque visiblement le paysage est pour vous cadré, plat, presque mort, que lorsque vous accordez deux chapitres aux animaux. Ce marché aux bestiaux version «The voice » est assurément atroce et la vache qui saigne du nez (« non ça c’est trop", écrivez- vous) pathétique, vraiment. (Mais l’homme dans tout çà ?)



Cette petite larme de crocodile n’ébranle pas longtemps l’incroyable baratineur que vous êtes et qui me rappelle certaines heures de cours au lycée passablement fastidieuses où un gommeux (ce mot je vous l’emprunte, n’est-ce pas) blablatait impunément en s’aidant de ses fiches ( C’était avant 68) .

Et donc vous repartez sur les routes, égaré et sans plan.





PS ; D’où sortez-vous l’image éculée qu’une rivière (la Vézère en l’occurrence) « se jette » dans une autre en confluence. Sans doute d’un vieux livre de géographie des années 50. C’est le côté aporétique de votre ouvrage.



Vous n'avez pas la moyenne
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Le dépaysement : Voyages en France

Je m'attendais à un livre sociologique, une sorte d'état des lieux de la France à travers ses paysages et les rencontres de l'auteur. Ce n'est qu'une longue promenade fastidieuse, émaillée de rêveries sans intérêts pour moi.

Dommage!
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Une nuit à la bibliothèque - Fuochi Sparsi

La première pièce, qui a été écrite pour la Biblioteca Palatina à Parme, peut être jouée dans la salle de lecture d’autres bibliothèques à la tombée du jour. Elle met en scène les documents qui profitent de l’absence des lecteurs pour sortir des rayons et évoquer leur relation au monde.



La seconde ne peut être détachée de son lieu de naissance et se déroule comme un parcours, une visite clandestine dans la villa et le parc de la Fondation Magnani-Rocca à Mamiano di Traversetolo, près de Parme.

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Le parti pris des animaux

Hanté par le spectre de la disparition prochaine des animaux, Jean-Christophe Bailly déploie une méditation philosophique et poétique pour en découdre avec ce qui, dans le langage et dans l'écriture, résiste à l'accueil des animaux.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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