Tout juste retraite de la police du Michigan, Simon Sunderson decide de terminer sa derniere enquete. Il part a la poursuite du gourou d'une secte qui se fait appeler Grand Maitre, aide par sa voisine Mona, une adolescente plus ou moins abandonee par ses parents.
On retrouve les elements "cle" de Jim Harrison : Les grands espaces, les demons de son personnage principal (ici, l'alcool et les femmes), et les grands questionnements ! Le voyage initiatique d'un soixantenaire coriace, bourru et attachant.
J'ai apprecie ce "bon roman americain", meme si a mon avis, on est loin du niveau de Dalva ou de De Marquette a Vera-Cruz.
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Un livre dont on ne sort pas indemne.
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Ce beau roman sur le thème de la mort est en fait un hymne à la vie et à la nature.
L'auteur y évoque l'importance des liens tissés au long d'une vie,
la valeur de la dignité et du respect des croyances jusqu'aux derniers instants.
Dommage que le style soit un peu trop lent et pointilleux à mon goût.
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Ce recueil réunit trois longues nouvelles. La première met en scène Chien Brun, un métis indien du Nord du Michigan. Jim Harrison raconte avec beaucoup d'humour les tribulations de ce personnage amoureux de la pêche, des femmes et de l'alcool, thèmes chers à l'auteur. La deuxième nouvelle nous présente trois femmes mariées et bourgeoises. Elles prendront la parole à tour de rôle pour nous raconter leur relation avec leur amant qui est d'ailleurs le même pour chacune. La troisième nouvelle nommée Traces est un récit autobiographique où l'auteur raconte une partie de son enfance dominée par la chasse et la pêche.
C'est le deuxième titre de Jim Harrison que je lis et je n'ai pas l'intention d'en arrêter là! Comme trame de fond, encore et toujours le Michigan, un endroit tant chéri par l'auteur que ça donne le goût d'y aller! J'ai particulièrement aimé la première nouvelle et ce bon vivant de Chien Brun dépeint avec un humour tout à fait délectable. Les récits de Jim Harrison sont toujours un hymne à la bonne bouffe, aux femmes, à la nature, aux plaisirs de la vie quoi!
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La seconde nouvelle m' fasciné , ce jeune homme fou de nage et de grands espace , à la recherche de liberté et choix de vie.Écriture magnifique
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Un grand fan de Jim Harrison pourtant, mais là j'ai jeté l'éponge. Ce bouquin est loin d'être son meilleur...
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Je ne suis pas non plus sincère vis à vis de M. Harrison, J'aime tout ce qu'il écrit.
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je pense que je vais avoir du mal, mais...
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Littérature rustique et virile dans la première nouvelle dans l'égarement d'un artiste raté, mais se nimbe de poésie dans le destin du nageur, une forme de conte qui donne son titre au livre.
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Ce n'est pas et de loin, le meilleur bouquin d'Harrison.
La fin de la première nouvelle est trop mielleuse à mon goût, la deuxième est inégale. Par contre j'ai retrouvé ce que j'aime chez cet auteur dans la dernière nouvelle...il y a eu comme une délectation à lire ces dernières pages (comme avec son roman "Wolf").
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Bof même si soit disant chef d’œuvre
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l'argent serait formidable si nous ne mourions jamais mais vu que nous sommes mortels c est une obsession ridicule
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3 nouvelles.
L'été où il faillit mourir
Chien Brun, un métis indien, a la garde de ses beaux-enfants tandis que la mère est incarcérée (il l'a épousée pour éviter d'aller lui-même en prison). Il refuse de laisser les services sociaux placer sa belle-fille en institut pour déficients mentaux et décide de partir avec elle au Canada tandis que son frère, très intelligent ira au collège.
Épouses républicaines
Martha cherche à se venger de Daryl son amant irresponsable en tentant de l'empoisonner. Elle se réfugie ensuite au Mexique dans l'attente des nouvelles de son acte et est bientôt rejointe par Frances et Shirley, ses deux meilleures amies, qui furent elles aussi les maîtresses de Daryl, un pseudo poète-écrivain raté mais charmeur qu'elles ont rencontré alors qu'ils étaient tous à l'université. Daryl, entre autres choses, n'a pas hésité à envoyer à chacun des époux de ces femmes aisées mais insatisfaites, une photo d'elles nues. Daryl n'est pas mort de l'empoisonnement mais va porter plainte et dans l'attente de la confrontation, les trois amies confient leurs états d'âme.
Traces
Jim Harrison parle de son enfance, ses passions pour l'art, la littérature, la France. Et de son travail aléatoire d'écrivain.
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Un très bon roman même si violent.
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