Citations de Katherine Pancol (3680)
Il n y a pas de bataille perdue . Il n y a que des batailles que l on croit perdues
Espoir deçu qui allait faire renaître la vieille douleur. Cette même douleur qu elle jugulaitdepuis des semaines en la recouvrant de haine bien chaude, lave brûlante qui cauterisait et effaçant les souvenirs les meilleurs.
DE Gaulle avait du inventer le french Dream qui comme tous les Dreams sont fabriqués mais cmvius fixent des ailes dans le dos. Après lui plus personne n'oserait .
Le général voulait des mentions pour la France. Et il essayait de l'entraîner au sommer en lui racontant des rêves de grandeur. Un prince charmant drapé dans les couleurs de la France et qui s'était pris les pieds dans son drapeau.
Traité les gens comme ils te traitent. S'ils te tutoient, tutoie-les, s'ils te balancent une main au cul, tape-les, s'il t'ignorent, ignore-les. Tu dois toujours être à égalité, toujours te faire respecter.
C est pour cela que l'amour tient tant de place dans la vie des gens . C est comme se regarder dans un miroir magique. Tout à coup on se trouve la plus belle ,la plus intelligente, la plus drôle. La plus ...
On a envie de conquérir le monde et de s'en déclarer maîtresse.
Vous les français vous bius battez pour l'argent .tandis que nous autres anglais , nous nous battons pour l'honneur.
On se bat toujours pour ce que l'on a pas . Avait ricanné le birux corsaire
Elle ne colle pas un timbre, elle l'aplatit à coups de poing. Elle ne lit pas, elle dévore. Elle ne joue pas, elle régente les autres enfants.
Ça n'existe pas une bonne mère, c'est un mythe inventé pour culpabiliser les femmes et les garder à la maison !
Moi, je voulais bien troquer mon corps mais pas contre n'importe quoi. Pas pour du travail, de l'avancement, un manteau de fourrure, un voyage dans les îles Bikini ou des diamants. Non, je voulais des renseignements sur mon âme, des indications sur la conduite à suivre pour devenir quelqu'un qui se respecte, savoir qui j'étais, où j'allais et quelle route emprunter. J'étais prête à verser une rançon pour qu'on me rende mon unité. J'offrais une récompense à qui me donnerait des informations susceptibles de me faire progresser dans mon enquête.
Ça n'existe pas une "bonne mère", c'est un mythe inventé pour culpabiliser les femmes et les garder à la maison.
La malveillance, c'est de la paresse intellectuelle. La bienveillance aussi, parfois. Elle peut même être suspecte. Une manière habile de se débarrasser des gens. On les écoute avec un grand sourire mais on ne les entend pas. On a qu'un envie, c'est d'en finir. Il faut trouver un chemin entre les deux, un sentier escarpé. Mais ça vaut le coup d'essayer non?
Je voudrais rencontrer une fille qui ne sache pas faire, qui n'ait pas de plans de carrière, qui ne sache pas compter, pas conduire, même pas prendre le métro. Une fille qui vive dans les livres, en buvant des litres de thé, en caressant son vieux chat enroulé sur son ventre!
Hortense, barbare affûtée, avait longtemps toisé cette petite sœur si fragile. L'une soumise, mendiant I'affection et la reconnaissance, l'autre intraitable, se taillant son chemin à coups de sabre. Zoé, limpide, tendre. Hortense, obscure, inflexible, dure. Avec mes deux filles, je ferais une huitre parfaite. Hortense pour la carapace et Zoé à l'intérieur.
Les enfants deviennent fantasques quand on ne les regarde pas assez, soupire Aliénor .ils font les pitres pour se faire remarquer. Ils ont besoin de notre attention,de notre amour,pour pousser droit.
Le bonheur, songea-t-elle, est fait de petites choses. On l’attend toujours avec une majuscule, mais il vient à nous sur ses jambes frêles et peut nous passer sous le nez sans qu’on le remarque. Ce soir-là, elle le saisit et ne le lâcha pas.
Chaque fois qu'il m'arrive d'être heureux, de respirer enfin, chaque fois que j'ouvre mes poings, chaque fois le malheur se rue sur moi et me ceinture ! Il me traîne à terre, m'étourdit, me punit de l'avoir relégué au rang de péripétie ! Le malheur est gourmand, le malheur est sévère, il châtie l'insolent qui le nargue et le nie! p143
C'est drôle de considérer sa vie comme des parties gagnantes, une addition de vies. Il y a des gens qui vous coupent un bout de vie, d'autres qui vous rajoutent un bout. Je devrais faire une liste. Ne voir que les gens qui me donnent des vies.
Il y a des morts qu'il ne faut jamais tuer.
« Ça fait briller la peau, les dents et les yeux d’être amoureux. »