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Citations de Katherine Pancol (3679)


Est-ce ma faute si on ne guérit pas d'un coup et s'il faut sans arrêt panser les blessures de l'enfance ?
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Il est plus facile d'accuser les autres que de se remettre en cause.
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"La lecture n'est pas une activité innocente. On n'en ressort pas toujours indemne."
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"Tous les hommes naissent égaux. Dès le lendemain, ils ne le sont plus." Ce n'est pas moi qui ai trouvé ça, mais un certain dénommé Jules Renard.
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Katherine Pancol
Il y a des petites humiliations qui vous marquent plus sûrement qu'une grande baffe dans la gueule.
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"Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer."
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Il y a des petites humiliations qui vous marquent plus sûrement qu'une grande baffe dans la gueule.
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Elle ne souffrait pas, elle était égarée, éparpillée en mille morceaux, comme si une bombe avait explosé en elle.
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Pourquoi on a tous peur aujourd'hui ?
Peur du chômage à 10 ans, peur du Sida à 36, peur d'aimer, peur de vivre, peur de dire oui, de dire non, de déplaire, peur de l'autre quand il est différent, peur de perdre son travail, peur la nuit, peur quand on est seul ? D'où lui vient l'envie à elle de réussir sa vie, d'en faire quelque chose de gai même si, au besoin, il faut se sacrifier ?
"La société ne peut exister que par les sacrifices individuels qu'exigent les lois. En accepter les avantages, n'est-ce pas s'engager à maintenir les conditions qui la font subsister ?"
Commentez cette phrase de Balzac.
C'était son sujet de philo au Bac. Plus personne ne veut se sacrifier aujourd'hui..... Tout le monde réclame du bonheur. Droit aux loisirs, aux vacances, droit à profiter, droit à la retraite, à la Sécu, à l'orgasme, à la télé couleurs, mais plus personne ne veut donner en échange. C'est bon de donner. Ce doit être son destin à elle. Elle y trouve son bonheur en tout les cas. Bonheur d'être assise sur la moquette avec son fils, tout contre lui, bonheur de l'écouter parler, bonheur de pouvoir échanger des mots qui disent des choses.... Des petits bonheurs de rien du tout qui font un vrai bonheur. Même s'il n'est pas spectaculaire, qu'on ne peut pas l'exhiber lors de soirées diapositives avec des copains. Et contre ce bonheur la peur du Sida ne peut rien. Au fond elle n'est pas inquiète.
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"Je laisse tomber les armes. Je fais le premier pas et je vous livre mon petit secret…
Oui, j’étais fatiguée, surmenée, préoccupée par ce mois de décembre.
Oui, je n’avais plus la tête à vous répondre de longues lettres.
Oui, les clients, les chiffres, les commandes m’ôtaient toute envie de rêver, de parler de rien et de parler de tout…
Mais surtout, surtout, Jonathan, un matin où passait le facteur, un petit matin gris et froid, un matin où il ouvrait sa grande sacoche jaune et pleine, soufflant de la buée en cherchant le courrier, j’ai ressenti un frisson qui a couru dans tout mon corps et m’a effarée. Un frisson qui m’a gelée sur place, un frisson qui s’est transformé en éclair et m’a foudroyé la nuque : j’ai compris que j’attendais vos lettres, j’attendais vos mots, j’attendais vos descriptions d’auberges, de routes, de famille française, de soupe au chou…
J’étais en train de vous attendre.
J’allais donc souffrir de vous.
Et je ne veux plus souffrir, Jonathan.
En ce mois de décembre, j’ai couru à Paris, j’ai couru dans Fécamp, j’ai couru dans ma maison, j’ai couru dans la librairie pour me sauver de vous, vous oublier, vous abandonner sur vos petites routes aux arbres secs et noirs.
J’avais peur.
Peur que ça recommence cette douleur.
Cette douleur d’attendre.
D’attendre et d’attendre encore…

Attendre une heure est long
Si l’amour est en vue.
Attendre l’éternité est bref
Si l’amour est au bout
(Emily Dickinson)

Peur…
Peur d’aimer à nouveau.
Peur d’aimer à nouveau un homme qui me laisse sur le quai et s’éloigne sur un bateau…
Je veux aimer un homme aux mains solides, aux jambes piliers, arrimées dans le sol, un homme aux mots simples et clairs, au rire franc et sonore, un homme à l’ambition modeste, un homme qui plante des arbres, qui scie des planches, qui retourne la terre, qui conduit un tracteur, qui construit une maison et qui rentre le soir se coucher contre moi et me prenne sans que je me demande si, la nuit, il ne va pas se relever et partir…
J’ai aimé follement un homme qui est parti…
Sans un mot. Sans une explication. Sans même se retourner.
Un homme drôle, raffiné, cultivé, séduisant, rapide, puissant. Un homme qui voulait être le roi du monde et dicter sa loi.
Sa loi d’homme.
Et moi, je croyais que je serai sa reine. Pour toujours…
Je ne veux plus jamais aimer un tel homme, Jonathan. Plus jamais.
Et pourquoi vous fais-je cet aveu ?
Pourquoi ai-je le courage de vous faire cet aveu ? De me rapprocher de vous ? De jouer tous les rôles à nouveau ? De poser les questions et de donner les réponses ? De dénouer patiemment l’écheveau de l’amour ?
Parce que je n’ai pas peur de vous."

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"Elle avait appris à faire semblant. Faire semblant, c'est éviter de penser. C'est repousser à plus tard. C'est se détruire à petit feu par peur d'affronter la réalité."
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"On se raccroche au passé quand on n'a plus rien à vivre [...]."
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C'est la vie, ..., fais lui confiance. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fais valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
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Avez-vous remarqué comme la vie se charge, souvent brutalement, d'opérer à notre place des choix que nous n'osons faire ?
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Certains souvenirs, les plus violents, reviennent au présent. Comme s'ils n'appartenaient pas seulement au passé. Que ça pouvait recommencer aujourd'hui, demain, qu'ils étaient toujours d'actualité.
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“On peut tout se dire mais on n'est pas obligées de tout se dire tout le temps ! Il y a des silences qui font aussi partie de l'amitié.”
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“Il est plus facile d'accuser les autres que de se remettre en cause.”
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Elle a voulu que je lise à mon tour pour que je comprenne que la vie n’a pas toujours l’air de ce qu’elle est. Qu’il faut être indulgent avec les gens, ne pas les juger quand on ne sait pas ce qu’ils ont enduré.
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Le silence peut être le signe d'une grande joie qui ne trouve pas ses mots. C'est parfois une manière de dire son mépris.
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La vérité n'est pas ce qu'on affirme à haute voix mais ce qui nous échappe.
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