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Vidéos de Simone de Beauvoir (92)
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videos18 janvier 2022
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Les mots et le silence, le collectif et l'intime sont les thématiques que développe la documentariste Virginie Linhart de film en film. Au centre de la démarche, le rôle des archives et des témoignages. Pour le film "Les marches de la mort", il s'agissait d'utiliser le peu de photos et de films de cette époque pour mettre en lumière un épisode méconnu de l'Histoire.

À partir de l'été 1944, le IIIe Reich est pris en étau entre les Soviétiques à l'Est et les Américains et les Anglais à l'Ouest. Des camps des Pays Baltes jusqu'à Auschwitz-Birkenau, puis, entre l'été 1944 et l'hiver 1945, d'Auschwitz-Birkenau jusqu'au territoire austro-allemand, les évacuations des détenus des 500 camps éparpillés dans toute l'Europe centrale et orientale se déroulent de manière chaotique. À pied, en camion, en train et parfois en bateau, près de 700 000 prisonniers sont déplacés de camp en camp pour s'éloigner de l'avancée des Soviétiques et continuer à participer à l'effort de guerre.

La documentariste et le chef opérateur décident de refaire le trajet aux mêmes saisons. Il n'existe pas de comptabilité exacte du nombre de victimes de ces Marches de la mort, mais on estime que près de 30% des personnes déplacées n'ont pas survécu, succombant à la faim et au froid, voire abattues en chemin.

Autre facette de son travail : les portraits de grandes personnalités féminines. Que ce soit Simone de Beauvoir, Jeanne Moreau, Catherine Deneuve ou même Brigitte Macron, le point commun est le symbole d'émancipation féminine, l'indépendance d'esprit et l'affranchissement des codes entre modernité et tradition.

Olivia Gesbert invite à sa table Virginie Linhart, documentariste et écrivaine. Son film "Les marches de la mort. Printemps 1944-Printemps 1945" est projeté au Mémorial de la Shoah et sera diffusé sur Arte le 25 janvier. Au Fipadoc à Biarritz, elle présente "Deneuve, la reine Catherine", en avant-première le 19 janvier.

#archives #documentaire #VirginieLinhart
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videos01 juin 2021
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#Beauvoir #Féminisme #CulturePrime
Qu'est-ce qu'une femme ? En interrogeant son propre parcours, Simone de Beauvoir voulait écrire un court essai sur la question... Ce sont finalement 1 000 pages qui composeront "Le Deuxième Sexe".

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videos31 mai 2021
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#simonedebeauvoir #manuscrit #CulturePrime
Qu'est-ce qu'une femme ? En interrogeant son propre parcours, Simone de Beauvoir voulait écrire un court essai sur la question... Ce sont finalement 1 000 pages qui composeront "Le Deuxième Sexe".

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videos15 avril 2021
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Une institutrice ? Une femme de pasteur ? Une jeune divorcée ? Une femme de ménage ? Une écrivaine de génie. Une inconnue. La vie d'Hélène Bessette (1918-2000), autrice de treize romans et d'une pièce de théâtre, tous parus chez Gallimard en seulement vingt ans, de 1953 à 1973 (et tous épuisés), semble avoir été faite de rendez-vous manqués et d'incompréhensions. Son premier roman, Lili pleure, obtient le prix Cazes en 1954. Plus tard, ses romans seront régulièrement inscrits sur les listes du prix Goncourt et l'admiration de nombreuses personnalités (Michel Leiris, Simone de Beauvoir, Dominique Aury, Jean Dubuffet, Claude Mauriac, Alain Bosquet, André Malraux) laisse présager une reconnaissance à la hauteur de son talent et d'un style entièrement nouveau qui ne ressemble à aucun autre. Par ces trois lettres aussi : GRP, ou Gang du Roman Poétique, l'occasion pour Bessette d'exprimer une théorie nouvelle et exigeante du roman.

Par Laure Limongi, autrice et éditrice, enseignante en création littéraire à l'École nationale supérieure d'arts de Paris Cergy.

Lecture par Anaïs de Courson, comédienne.

En savoir plus sur le cycle Autrices oubliées : https://www.bnf.fr/fr/agenda/autrices-oubliees-de-lhistoire-litteraire
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marina5305 mai 2020
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Simone de Beauvoir : la révolution par la répartition des tâches ménagères
videos19 février 2020
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Dans cet épisode de Réelles fictions, le professeur de littérature Pierre-Louis Fort parle d'Avant que j'oublie, un roman d'Anne Pauly. Il aborde l'écriture du deuil, le style particulier de l'autrice et le roman familial.

Réelles fictions est une série de podcasts qui présentent les cinq romans sélectionnés pour le prix Effractions. Ce prix récompense un roman qui entretient un lien fort avec le réel ; il est remis par la Bibliothèque publique d'information et la Société des Gens de Lettres pendant le festival littéraire « Effractions » en mars 2020.

Références citées dans le podcast :
Simone de Beauvoir, Une mort très douce, Gallimard, 1964.
Jacques-Bénigne Bossuet, Sermon sur la mort : et autres sermons, Flammarion, 1996.
Jacques-Bénigne Bossuet, Oraisons funèbres, Garnier, 1988.
Albert Cohen, le Livre de ma mère, Gallimard, 1954.
Annie Ernaux, La Place, Gallimard, 1984.
Annie Ernaux, Une femme, Gallimard, 1988.
Annie Ernaux, Je ne suis pas sortie de ma nuit, Gallimard, 1997.
Philippe Forest, L'Enfant éternel, Gallimard, 1997.
Stéphane Mallarmé, Pour un tombeau d'Anatole, Gallimard, 1961.
Yaël Pachet, le Peuple de mon père, Fayard, 2019.
Extrait lu :
Anne Pauly, Avant que j'oublie, page 16 © Verdier, 2019.

Cet épisode a été préparé par François Patriarche.
Lecture : Denis Cordazzo.
Réalisation : Camille Delon et Renaud Ghys.
Musique : Thomas Boulard.
Merci aux éditions Verdier, à Inès Carme et à Blandine Fauré.
Ce podcast a été enregistré dans les studios du Centre Pompidou.
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videos12 janvier 2020
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L'expression peau de chagrin, que l'on rencontre par exemple dans la locution diminuer comme une peau de chagrin, est d'une beauté un peu étrange. de quelle peau s'agit-il, et de quel chagrin ?

Cette expression n'a rien à voir en fait avec le chagrin, « souffrance morale et tristesse profonde ».

Le mot turc sagri désignait la croupe d'un animal, et le cuir que l'on en préparait. Au XVIe siècle le français l'a emprunté, sous la forme sagrin, puis chagrin. le chagrin est donc une espèce de cuir grenu, préparé avec la peau de la croupe d'un mulet, d'un âne ou d'un cheval. Dans cette acception, c'est l'existence d'un grain qui importe. On chagrine une peau, afin de lui donner du grain ; il existe même du papier chagriné. Simone de Beauvoir évoque quelque part la peau chagrinée d'une de ses tantes.

Ce cuir grenu tend cependant à rétrécir en vieillissant. Honoré de Balzac en a fait un roman, La Peau de chagrin, réflexion philosophique sur l'élan vital qui s'amenuise, tel ce cuir. Ce phénomène constitue de nos jours l'élément pertinent du sémantisme. Les locutions cela diminue comme peau de chagrin, cela fait peau de chagrin, voire c'est une peau de chagrin signifient « cela rétrécit de jour en jour ». On dit par exemple : nos ressources font peau de chagrin.
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Comme beaucoup de femmes des années 40, Simone de Beauvoir a adopté un accessoire (ou une coiffure) qu'on lui a vu sa vie entière. Lequel ?

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