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et Loustal, avec ses aquarelles aux couleurs intenses, son ambiance chaude et lourde. Le son du saxophone est lourd et suave.

Certainement ma bande dessinée préférée de la liste. C'est un délice pour les yeux. De ce graphisme en noir et blanc semble sortir du son, des harmonies, des arpèges, c'est un dessin fait de volutes, de subtilités, un dessin sonore et lumineux et ici, c'est de la musique que sortent les images et non les images qui représentent les sons. C'est une ambiance, un univers entier. l'esprit de l'époque est retransmis par de petits élements, quelques simples coups de crayons qui nous raconte l'histoire, notre histoire, l'art, la musique, l'amour, la haine, la vie, la mort, la guerre, tout ça…

Ambiance de polar retro et jazz, avec un graphisme brut et élégant à la fois. Le blues n'est pas une musique qui se crée dans le confort....

La musique punk US dans une ambiance sordide, violente et désœuvrée, du noir et blanc, un dessin trash, comme cette musique.

Autour d'un piano, l'histoire de la musique, de l'Europe aux USA, en noir et blanc, comme les touches du piano.

Christian est disquaire, Si un extraterrestre en scaphandre débarquait chez vous et vous demandait de lui présenter de la musique représentative de la race humaine, que lui proposeriez-vous. Christian, disquaire de profession, désabusé et aigri de caractère, va lui choisir “Ascension” de John Coltrane, autant dire, c'est par pure provocation : “Et bien tenez ! Vous n'allez pas être déçu du voyage…”. Mais cet extraterrestre reviendra le lendemain en lui disant qu'il a trouvé ça joli ! Pour ceux qui connaissent cet album de Coltrane, ils sauront apprécier cette pointe à sa juste valeur.

Trompettiste cambrioleur... le trait noir et brut du pinceau nous évoque des sons tranchants, toujours à la limite du couac, jouant sur un fil.

Un père propose en héritage à son fils un périple, un road movie accompagné de la musique qu'on écoutait au lendemain de mai 68.

Ici, la musique est moins mise à l'honneur, elle fait même un peu mal aux oreilles, des débutants hésitants, des professeurs de musique désabusés et beaucoup crises de rires

Renaud Dillies est sûrement un grand fan de Jazz manouche, dans toute son œuvre on retrouve cette ambiance si particulière à ce style de musique. Pauvreté, vie de bohème, sons acoustiques et virtuosité.

avec ses personnages à la Mickey et Donald, nous raconte une histoire pleine de poésie, de musique, manouche bien sûr, c'est une ode à la liberté, à la musique, à la vie sans attache, sans chaînes. Les personnages animaliers créent une atmosphère enfantine pour mieux nous démontrer qu'il faut garder son âme d'enfance. le dessin part parfois dans des envolées lyriques, les couleurs ajoutent du naturel. J'aime ouvrir les bandes dessinées de Renaud Dillies pour tout ça, c'est toujours un moment qui fait du bien, même si c'est parfois triste, mélancolique, c'est du jazz manouche en images.

Années 70, juste avant le Disco, R&B, Soul, et Pulp Fiction, des paillettes, des couleurs et des mafieux.

Killlofer se met dans la peau d'un guitariste de rock, il nous fait part des déboires de son groupe, comme s'il les avait réellement vécus, des fantasmes de dessinateur bercé de rock, il y a un côté loser assez comique dans son personnage, un aspect pince sans rire, de l'autodérision. le graphisme est en noir et blanc entre "Berceuses électriques" de Ted Benoit avec une ambiance à la Vernon Subutex ou Margerin. Les afters biens chargés, et les couche tôt du rock, les accessoires de mode, le look élaboré et le je m'en foutisme des musiciens...

Sous fond de première guerre mondiale, reconnaissance des noir aux États-Unis et découverte du jazz en France.

Retour sur le début des années 60 en Angleterre, l'envie de faire de la musique avec peu de moyens... et beaucoup d'humour. Inspiré des Rolling Stones

Ambiance sombre du blues, pour raconter la vie de Robert Johnson

Réunir l'Orient et l'Occident avec un instrument hybride, un piano spécialement conçu pour jouer les deux musiques. Malheureusement, c'est le Liban, à la mauvaise période de son histoire.

Rencontre entre la culture européenne et la culture africaine, avec le colonialisme en toile de fond, et la musique comme message universel.

Inspiré de la vie de Django Reinhardt, malheureusement, on attend toujours la suite...

C'est vrai, c'est surtout de danse dont il est question ici, mais cette danse est tellement liée à sa musique, que je ne pouvais pas ne pas le mettre. Les corps déformés, larges épaules, poitrine avenantes, font partie de cette musique de tensions, d'intimidations, de séductions et de provocations...

Un solo de guitare pour faire un deuil, avec de la magie

Des strips-promenades dans les différents aspects du monde du rock, des groupes aux fans

Une belle variation autour du sujet classique du bluesman qui vend son âme au diable au détour d'un carrefour.

On suit deux jeunes femmes dont le décor quotidien est une certaine scène punk.