De nombreux Babeliotes souhaiteraient emporter Kafka sur le rivage sur une île déserte. En le relisant, je m'aperçois que, comme Le nom de la rose d'Umberto Eco, il m'entraine vers tellement d'autres livres et de musiques que, non, je ne peux que le laisser au milieu d'une bibliothèque, à moins d'avoir lu tous les livres et écouté toutes les musiques cités.