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Isabelle Maillet (Traducteur)
EAN : 9782070415366
768 pages
Gallimard (16/05/2001)
4.06/5   68 notes
Résumé :
En 1939, peu avant qu'éclate la Seconde Guerre mondiale, Charlie Kilworth, jeune accordeur de pianos, interroge son passé. Qui fut son père ? Compte tenu des problèmes psychiques de sa mère, comment assumer de devenir à son tour père ? Il décide alors d'entreprendre une lente et douloureuse réappropriation de l'histoire de sa famille.
Peu à peu, le personnage de sa mère, Lily Kilworth - femme sujette à des crises d'épilepsie qui étaient la terreur de son ento... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Folie : un terme qui, avant d'être accepté dans toute la fragilité qu'il évoque, effraie, angoisse et isole celui qui en est qualifié. Pourtant, que de visages multiples se cachent derrière ce mot, autant que de pathologies distinctes aux variables symptômes et manifestations.


Lily vient de mourir dans l'établissement où elle était internée. Son fils Charlie est sollicité pour venir la reconnaître et effectuer les formalités suite au décès.
Il reçoit aussi les possessions de sa mère et parmi elles, une valise en osier qu'il n'a jamais oubliée. Une valise en jonc tressé qui recèle bien des richesses. Un écrin pour une mémoire infinie, des joies et des peines, des tourments, le gardien de trésors, de photographies, un antre pour abriter le souvenir…

A partir de ce qu'il y découvre – mais rien n'est réellement découverte pour lui puisqu'il connaît chaque cliché, chaque silhouette immortalisée, il connaît le signification de cette couronne de fleurs séchées, comme il sait la valeurs de ce recueil de poèmes – il débute le récit de l'histoire familiale, autour du personnage central de Lily et sur quatre générations...


Petite fille qui a vu le jour dans un champ, aussitôt bercée par le pépiement des oiseaux, et enveloppée de la senteur des fougères et autre chèvrefeuille, petite fille fantasque, curieuse, à l'imaginaire débordant et féerique mais petite fille différente, fragile toujours en équilibre qu'un souffle peut faire dériver.

Jeune fille volontaire, cultivée, si jolie qu'elle fait tourner tous les regards sauf celui de l'homme qui a épousé sa mère et qui l'ignore, la repousse, la cache même dans un grenier pour la faire disparaître et la vérité de sa maladie avec elle.

Une réalité à la vie qui s'effiloche parfois, sans que l'esprit n'en garde trace, une âme qui vole dans les nuages, elle n'en est pas moins une mère pleine d'attentions, un peu imprévisible mais qui fera de la petite enfance de son fils, un ruissellement de moments extraordinaires, un éloignement des conventions et une vie libre mais pour laquelle la fuite est souvent la seule solution pour reprendre pied.
Une vie baignée de musique, cette même musique sans laquelle, sa propre vie ne serait pas. Une vie de funambule, toujours en équilibre entre la clarté et la confusion, peuplée d'êtres qui la harcèlent...

Une jeune femme qui s'invente sans le regard d'un père tendre, décédé sans même savoir qu'elle serait, une jeune femme qui enfante sans homme à ses côtés, tout attentive à ce petit Charlie qu'elle guide dans une vie hors de la banalité.

De la disparition des êtres chers et de leur absence à affronter, solitude qui brise un peu plus de sa lucidité, de l'Histoire qui broie ceux que Lily chérit, ses défenses amoindries par tant d'adversité obligeront à son placement et à l'éloignement de son fils encore enfant…


Même en vous disant tout cela, je ne vous ai rien raconté de ce roman, tant les ramifications de l'intrigue sont nombreuses et inattendues. Elles mettent en lumière les différents membres de ces familles qui fusionnent écrivant l'histoire des existences et éclairant la lanterne de la destinée.
Timothy Findley est un grand écrivain, trop peu lu, qui possède l'art de conter. Il distille dans ce récit des thèmes qui lui sont chers : le regard du fils sur celle qui l'a mis au monde, le regard d'un fils lucide sur une mère qui l'est moins, les ravages de la première guerre mondiale, les vies anéanties, les mutilations atroces avec lesquelles il faut continuer à vivre, les troubles mentaux engendrés par les combats dans les tranchées et aussi le regard d'une société sur les êtres atteints de troubles neurologiques qu'il est préférable de cacher au reste du monde à défaut de disposer de traitement pour les aider.
Paradoxalement, dans les récits de Timothy Findley, les "fous" sont très souvent bien plus attachants que ceux qui les condamnent et porteurs d'une bien plus grande humanité, tout amoureux de la nature et de ses créatures qu'ils sont. Ils vivent en marge mais comme on aimerait partager leur vision du monde et de la vie.


En refermant ce livre, je partage la condition d'orphelin de Charlie. Esseulée de la présence de cette femme digne, lumineuse et si généreuse, de celle pour qui une rose ou un oiseau enchante une journée bien davantage que la possession des choses matérielles et la stabilité d'une vie, de celle qui sait lire dans le chuchotement du quotidien, le bruissement des herbes et la caresse d'une libellule...
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Retour de lecture sur “La fille de l'homme au piano” un roman publié en 1995 et écrit par l'écrivain canadien de langue anglaise Timothy Findley, un des plus connus de ce pays. Ce livre nous raconte l'histoire de Charlie Kilworth, un accordeur de pianos, qui, suite à la mort de sa mère, Lily, brûlée vive dans un hôpital psychiatrique, très peu de temps avant la deuxième guerre mondiale, essaye de reconstituer son histoire familiale à partir de ce que sa mère lui a laissé dans une valise en osier remplie de souvenirs, de textes divers et de poèmes. Charlie étant sur le point de devenir père lui-même, il s'interroge tout particulièrement sur l'identité de son père inconnu et craint de transmettre à son enfant les problèmes psychiatriques de sa mère. Ce roman, qui est une grande fresque familiale, multi générationnelle, se passe dans l'Ontario, au Canada, de la fin du XIXe siècle jusqu'en 1939, dans une famille d'immigrants catholiques irlandais. C'est superbement bien écrit, très fluide et très classique dans la forme, on aurait même tendance à croire que cela a été écrit au début du XXe siècle. de la très belle littérature, avec beaucoup de sensibilité, de la poésie, et qui bénéficie visiblement d'une traduction également de grande qualité. Findley est incontestablement un conteur très doué. La thématique principale de ce roman est la folie, que l'auteur traite à travers la vie de Lily, la fille de l'homme au piano, mort avant sa naissance, qui souffre de crises d'épilepsie, de visions paranoïaques et qui est également fortement attirée par le feu. Il expose notamment la manière dont cette folie est perçue dans cette société, la marginalisation et le rejet que cela entraine pour cette femme. Sa famille n'hésite pas à l'enfermer dans le grenier, comme cela avait déjà été fait précédemment pour d'autres “honteux” ancêtres atteints du même syndrome. Les personnages de Findley, que ce soient les principaux ou les nombreux secondaires, sont tous très attachants, tout est dépeint avec beaucoup de justesse, on a vraiment l'impression qu'il a vécu lui-même cette époque et que c'est un récit autobiographique. le portrait de Lily, est très beau et on s'attache énormément à cette femme aux prises avec ses démons, entre ses hallucinations, ses crises et ses rêves. Son enfance est particulièrement bien traitée, sa psychologie complexe parfaitement bien détaillée, j'ai particulièrement bien aimé toutes ces petites choses qui font de cette fille un personnage original et différent, comme par exemple sa fascination et son attachement au monde des fourmis avec les trois fourmilières de son jardin d'enfance qu'elle a baptisé Thèbes, Amazonia, et Lilyland. La folie est apparemment un thème récurrent chez Findley, on sent à travers ce livre qu'il a beaucoup de tendresse et porte un grand intérêt à ces “fous” à la personnalité très riche et complexe. C'est un livre très touchant, avec des passages particulièrement poignants, notamment dans la quatrième partie, avec la mort de Lizzie, le plus jeune frère du père de Lily, dans des circonstances particulières. L'époque et la mentalité de ce milieu d'immigrants irlandais est magnifiquement bien décrit, on sent aussi tout au long du roman l'importance de la première guerre mondiale, dans cette région du Canada, qui n'a pas été épargnée par le sacrifice de ses jeunes hommes alors que les batailles ont lieu à l'autre bout du monde. La musique est un élément très important dans ce livre, sans elle il n'y aurait rien, c'est le fil conducteur de cette histoire, omniprésente tout au long du roman à travers l'activité des principaux personnages que ce soient des musiciens, des fabricants de piano, des accordeurs ou tout simplement des amateurs de musique. le seul défaut de ce livre pourrait être lié à sa longueur, ses 750 pages. Cela manque clairement de rythme par moments et je me suis quand même quelquefois ennuyé. Mis à part cela, ce fut une très belle expérience de lecture. C'est un très beau livre et un auteur à conseiller.

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"De temps à autre, le silence était troublé par des grillons, des grenouilles ou le cri plaintif d'un pluvier en fuite - qu'Ede devait entreposer dans sa tête. Non tels qu'ils avaient résonné sur le moment, mais tels que sa perception du moment les présentait : un remous de sons semblable à un océan de murmures."
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Parfois, des livres vous sont conseillés par des personnes qui comptent beaucoup. Alors, on se lance avec une bienveillance empressée et on en sort, la plupart du temps, satisfait et conforté.
Mais quelquefois, non... Ce roman, par exemple, il s'écoule comme un large fleuve paresseux qui charrie d'innombrables personnages qu'on a du mal à faire sien.Beaucoup mourront d'ailleurs avant la fin de l'ouvrage et c'est tant mieux car tous ont généré chez moi un ennui profond.
L'auteur, manifestement attiré par la folie, s'attache à suive le parcours forcément chaotique d'une femme, non seulement épileptique, mais également dérangée au delà du raisonnable. Il en tire un pavé indigeste de sept cents pages qu'il faut s'infuser soit par amour pour l'auteur du conseil, soit par un grand courage teinté d'abnégation...
Pour ceux qui ne souscrivent ni à l'un ni à l'autre, vous gagnerez à passer votre chemin ou préférez du même écrivain "Le dernier des fous". Même thématique, mais plus court...
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Voici un livre qui m'attendait depuis un moment sur les bancs de ma bibliothèque, acheté dans une librairie, attirée par le bandeau manuscrit « coup de coeur » d'un lecteur de passage.
Timothy Findley, auteur que je ne connaissais pas, nous raconte l'histoire de Charlie Kilworth, accordeur de pianos qui ,au soir de la mort de sa mère ,Lily, brûlée vive dans un hôpital psychiatrique, tente de reconstituer l‘histoire de sa famille.
Obsédé par la quête d'un père inconnu et le refus de sa propre paternité ,ayant peur de transmettre le déséquilibre psychique de Lily, il cherche, à travers l'héritage laissé : une valise en osier remplie de poèmes, photos et écrits .
Ce livre est une fresque , que je verrais bien adaptée au cinéma, qui nous plonge dans le Canada du début du XXème siècle, dans l'Ontario, au coeur de la famille Kilworth, immigrants catholiques irlandais.
L'auteur s'attache à nous raconter l'exclusion d'une femme, dont la maladie est vécue comme une honte par son clan, et qui renvoie aux fantômes du passé. Terrassée par les crises d'épilepsie, les visions paranoïaques et attirée par le feu, Lily passe par des moments d'inconscience ou elle devient une autre, étrange, oublieuse de la réalité. Et ce père dont Lily n'a jamais pu parler, appartient à ce temps irréel.
L'auteur aborde avec talent deux thèmes majeurs et toujours d‘actualité,
Le rejet des enfants nés d'un premier mariage, surtout lorsqu'ils sont différents comme Lily, et le traumatisme inévitable des mômes comme Charly protégeant et subissant en même temps leur parent atypique et malade.
A découvrir.
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J'ai été émue par le destin de Ede et de Lily qui ont évolué dans un milieu chaleureux et à l'esprit ouvert puis deviennent prisonnnières d'un monde rigide. Un monde auquel Ede va devoir s'adapter tout en tentant d'assouplir le tempérament de Frederick avant de finalement se résigner. Il y a d'ailleurs beaucoup beaucoup de finesse dans la psychologie des personnages. Frederick par exemple reste terriblement humain, tout cruel et inflexible qu'il est.

Dans les moments où Lily "s'échappe" et se met en danger, on souffre avec elle mais à d'autres moments, elle a une douce originalité, un coté délicieusement fantasque. J'ai aimé la suivre dans son enfance, la voir fixer son intérêt sur des petites choses insignifiantes au regard des autres.

Ce roman a une belle galerie de personnages secondaires. Pour certains, j'aurais aimé que l'auteur les développe un peu plus, et j'ai regretté pour d'autres de les perdre de vue. Mais ceci est peut être dû aux relations assez limitées que Lily entretient avec les autres ; Liam qui va garder son mystère, Miss Browning qui est une personne très humaine et sensée (notamment en ne protestant pas contre l'enfermement de Lily lors des soirées), Bateson le jardinier, qui n'est pas effrayé par elle et rentre dans son univers.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Au loin un chien aboyait sans doute à l'adresse d'un intrus entré dans la cour. Un furet, ou un raton laveur, peut-être. Ou encore un renard. Lily essaya d'évaluer la distance afin de déterminer de quelle ferme il s'agissait et, par conséquent, de quel chien. A une certaine époque, elle connaissait tous les chiens le long de la route. Et tous les chevaux. Tous les chats aussi. Mais pas tous les gens. Eux, elle les évitait.
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De temps à autre, le silence était troublé par des grillons, des grenouilles ou le cri plaintif d'un pluvier en fuite - qu'Ede devait entreposer dans sa tête. Non tels qu'ils avaient résonné sur le moment, mais tels que sa perception du moment les présentait : un remous de sons semblable à un océan de murmures.
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En prononçant ces mots, elle mit sa main en visière au-dessus de ses yeux. Non pour les protéger du soleil, mais pour concentrer son regard. Rien qu'à son expression, je compris qu'elle contemplait directement le passé, où la plupart d'entre nous - du moins, le pensait-elle - étions repartis.
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«Frederick a commandé un poumon en acier pour Lyon. Une sorte de machine épouvantable, effrayante, que des gens sont venus installer dans sa chambre. Toute la journée et toute la nuit, ce... cette chose produisait un bruit terrible... comme une respiration, mais inhumaine... En vérité, elle respirait à la place de Lyon. Inspirant, expirant, inspirant, expirant. C'était horrible. J'entendrai ce bruit jusqu'à la fin de ma vie...»
Mère et moi l'ecoutions toujours en silence. «Nous ne pouvions rien faire de plus. Notre garçon, aux prises avec cette chose, était à peine conscient. Et couvert de sueur... la chaleur de la machine, la fièvre de la maladie... Je ne cessais de lui essuyer le visage.Ses cheveux...»
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Assise en face de moi, Lily fumait une cigarette en laissant refroidir ses toasts et son café. Ses yeux avaient cette expression que j'apprendrais plus tard à reconnaître comme son regard miroir. J'aurais pu tout aussi bien ne pas exister dans ces moments-là, quand elle se retirait à l'intérieur d'elle-même à la manière dont on s'approche d'une maison hantée. Il y a quelqu'un...? Elle ne ressortirait qu'une fois certaine du départ du démon.
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Videos de Timothy Findley (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Timothy Findley
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