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EAN : 9782290006597
190 pages
J'ai lu (04/01/1999)
3.19/5   61 notes
Résumé :
Steven Masters était prétentieux, lâche, menteur et persuadé de sa supériorité. Il avait pourtant été contraint de participer à une expédition sur la planète Mittend. Là, les complexes organismes dominés par la Mère tentèrent de s'emparer de lui ; mais en une fraction de seconde, son esprit fut transféré, depuis le monde lointain jusque sur la Terre, dans le corps de Marc Broehm.
Comment Steven allait-il se faire reconnaître sous cette nouvelle enveloppe char... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Il y a quelques temps, j'étais tombé, chez un bouquiniste, sur une demie douzaine de romans d'A. E.Van Vogt à un euro pièce. Profitant de l'aubaine, je décide les tous les prendre. J'ai lu en premier l'un des plus célèbres : À la poursuite des Slans, que j'ai adoré, et maintenant, j'ai choisi celui qui semble être le plus mal aimé sur tous les sites littéraires que je fréquente : L'Homme multiplié.

Lors d'une mission d'exploration spatiale sur la planète Mittend, le jeune Steven Masters, fils de la plus grande fortune de la Terre, se trouve en contact avec une race extraterrestre. L'instant d'après, il est de nouveau sur Terre, dans le corps de Mark Broehm, barman dans un établissement populaire. Comment est-ce arrivé ? Et surtout, comment va-t-il récupérer son corps, resté sur Mittend, à 30.000 années lumières de là ?

Voyage spatial, exoplanète, extraterrestrs, pouvoirs psychiques, pas mal d'ingrédients pouvant donner de bonnes histoires... mais la mayonnaise ne prend pas. le ton du récit m'a posé problème. Il est trop décalé pour qu'on puisse prendre l'histoire au sérieux, mais pas assez léger pour en rire. Je ne suis tout simplement pas entré dans l'histoire.
Le personnage principal n'a pas aidé non plus. Steven Masters est un gosse de riche imbu de lui même, mysogine, capricieux et odieux avec son entourage. Impossible de s'identifier avec lui et désagréable à voir évoluer.
Quant à l'histoire, si elle contient quelques bonnes idées, elle n'est guère passionnante et se termine curieusement. J'ai trouvé la fin assez amorale, d'ailleurs.

Un roman franchement pas terrible.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Malgré une bonne idée de départ, une écriture de qualité et un personnage que l'on aime détester, ce livre est loupé.

L'histoire est, au final, peu intéressante, avec des rebondissements sans logique.

Le personnage principale est un "fils de bourge" dans la plus précise de ces définitions ; Imbus de lui-même, faignant, misogyne, méprisant envers tous mais surtout les pauvres et j'en passe... Donc quand il lui tombe dessus la catastrophe à l'origine de cette histoire, bé on est bien contant. Mais hélas le plaisir s'arrête là, après on attend qu'il évolue mais nada, rien, hélas !

En conclusion un livre qui manque de travail, dommage car l'idée de départ avait tout pour faire une bonne histoire et donc me plaire, ce qui n'est, hélas, pas du tout le cas.
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Ce n'est vraiment pas mon genre de bouquin de science-fiction, j'ai l'impression d'être devant un film d'action à gros budget des années 80. le space-opéra n'est pas non plus ma tasse de thé. Ce lui fait deux gros défauts selon moi, le scénario n'est pas trépidant, il est bon, suffit pour finir le roman mais loin de me marquer.
Si encore le personnage principal était attachant, j'aurais eu quelques choses de bon à vous donner mais, pardonnez-moi ce terme, c'est un vrai con. Il est horrible avec tous le monde, il prend les gens de haut, il est puéril et pas mal misogyne, il rentre à la première place des personnages que j'ai le plus détesté parmi toutes mes lectures.
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Tout comme À la poursuite des Slans, L'Homme multiplié est un roman agréable à lire. Au début du moins, car malheureusement, il souffre des mêmes défauts que son aîné, à savoir : un récit laminé par des ellipses tout simplement hallucinantes. Ces dernières sont dignes d'un écrivain kamikaze. Et c'est dommageable pour l'histoire qui aurait mérité un traitement tout autre. Excusez l'image, mais ce livre est un roman SF mort-né.

Pourquoi sacrifier ainsi la clarté d'une idée géniale sur l'autel du n'importe quoi. Alfred E. van Vogt est coutumié du fait. Il néglige souvent l'équilibre de sa trame pour des délires intellectuels de bas étages, un asticage de cervelet à la limite de l'indigeste. Où sont les fameux pouvoirs incroyables de Steven Masters ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire de 886 femmes attendant d'être fécondées ? Pourquoi terminer le livre sur une fin aussi vite expédiée et insignifiante ? Pourquoi le héros n'évolue-t-il pas d'un seul pouce durant toute son épopée infraconsciente à la c.. ?

Des questions qui resteront sans réponses mais dont je me moque éperdument depuis la fermeture du bouquin.
Quel gâchis !
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Je savais que Van Vogt était capable d'écrire des nanars, mais ce livre va bien plus loin que cela. J'irais même jusqu'à dire que ce livre ne méritais pas d'être éditer et surtout pas d'être traduit en français.

L'action est inintéressante, les personnages sont soit plat, soit profondément détestable et les concepts de sf abordés sont purement anecdotique et sans réelle profondeur ni originalité. La traduction est à la hauteur des standard de J'ai lu à l'époque, mais le traducteur n'as pas pu sauver ce livre pour autant.

Rien ne vaut la peine dans ce livre. J'ai perdu quatre ou cinq heures de ma vie et je ne recommande à personne de réitéré mon erreur.

J'aimerais bien essayer de comprendre l'opinion des 4 personnes ayant noté de livre 5/5, mais malheureusement toutes les critiques de ce livre sont en dessous ou égal à 2/5. C'est probablement une faute de frappe de leur part, du moins je l'espère.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
En descendant l'échelle pour prendre pied sur le sol de la planète, Steven Masters s'interrogeait suur ses sentiments. Devoir d'abord s'extraire du sas à reculons, puis tâter précautionneusement les barreaux l'un après l'autre comme un vulgaire membre d'équipage, lui paraissait porter atteinte à sa dignité.
Est-ce qu'on le filmait ? Quel air avait-il vu de dos ? Il avait l'impression de se mouvoir gauchement et la conscience aiguë qu'il avait de ses propres gestes le fit se raidir.
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