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sur 303 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
"Ce texte s'adresse aussi aux jeunes, à tous ces futurs vieux qui ont fait déjà en eux, souvent sans s'en apercevoir, une place ce à ce qu'ils seront plus tard."

C'est un singulier voyage, pour lequel tout être humain est censé préparer ses bagages, pourvu que Dieu ou ses avatars lui prêtent vie assez longtemps. Lorsque l'étape est trop lointaine pour s'en soucier, il est fort probable que le voyageur s'y prenne cependant au dernier moment, alors que la destination se sera insidieusement infiltrée dans les articulations et la mémoire…

Vieillir… N'est-on pas toujours, dès l'école primaire, le vieux de quelqu'un? Alors relativisons !

C'est avant tout dans la tête, avec un curieux décalage entre ce que nous laisse croire notre organe pensant, qui se ressent le même que lorsque nous avions quinze ans et ces signes extérieurs qui nous trahissent aux yeux de ceux qui se réveillent encore chaque matin en n'ayant mal nul part. Faut-il pour autant bannir les miroirs et ignorer le regard des autres, qui pensant nous faire plaisir nous font remarquer que nous ne « faisons pas notre âge?

Exemples et contre-exemples, l'âge mûr a ses caractéristiques individuelles et chacun le vivra avec ses antécédents et plus ou moins de chance.

Je souscris aux remarques pertinentes de l'auteur, avec une petite objection : n'opposons pas l'âge d'or de la jeunesse, elle n'est pas rose pour tout le monde, au naufrage de la vieillesse, qui n'est pas non plus toujours un parcours d'obstacles.

L'ouvrage n'atteindra sans doute pas ceux qui ne sont pas (encore) concernés, à ceci près que le plaidoyer pour le vivre ensemble et la prohibition des ghettos qui sont autant d'antichambres de la mort dépend du bon vouloir des générations qui nous suivent.

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Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? « Corneille ». Est-ce vraiment ce qui nous attend où autre chose ?
Laure Adler nous dresse un état des lieux de la vieillesse à l'aide de son expérience, du vécu des autres et de très beaux textes ou citations de divers auteurs. C'est un texte érudit, je n'en attendais pas moins de cette auteure que j'avais énormément envie de lire et c'est intéressant.
Sommes-nous victimes des apparences ou la vieillesse est-elle un fait établi. Si la vieillesse n'est pas la même pour tous : femmes ou hommes, riches ou pauvres, en bonne santé ou actif. La vieillesse est une autre étape dans notre vie soit nous restons ce que nous sommes en acceptant quelques douleurs, un peu plus de fatigue soit le regard des autres nous dévalorise. de toute façon la vieillesse est privilège qui permet à certains une plus longue vie au prix d'une certaine déchéance corporelle. Et puis cette image dans le miroir n'est pas le reflet de ce que sont certaines personnes dans leurs têtes. Donc apprivoisons-notre vieillesse et la meilleure façon d'y arriver est de cueillir notre jeunesse comme le disait si bien Ronsard car sans regrets la vie est bien plus simple.
Un livre qui nous fait regarder nos vieux différemment.
Merci aux éditions Grasset
#La voyageuse de nuit#NetGalleyFrance
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"C'est en le lisant (Chateaubriand) et en le relisant qu'est venu le désir du titre de ce livre, La voyageuse de nuit : "La vieillesse est une voyageuse de nuit : la terre lui est caché ; elle ne découvre plus que le ciel." (p84)"

Vieillir, tout le temps, à chaque minute, seconde mais pendant une partie de notre vie nous n'en avons pas conscience et puis un jour l'idée s'installe, notre reflet dans le miroir a changé, nous avons même parfois du mal à nous reconnaître, à envisager l'avenir mais avec malgré tout un sentiment de plénitude, d'une sorte de bien-être, de liberté que nous offrent cet avancée dans l'âge.

"Ce n'est pas tant de se trouver moche devant le miroir qui est désagréable, que de ne pas se reconnaître. Mais il faut avoir un projet : c'est l'assurance que tout n'est as fini. Finalement la vieillesse complique la vie physique et la vie matérielle mais simplifie la vie morale. (p33)"

Laure Adler aborde le thème de la vieillesse dans cet essai à travers sa propre vie mais aussi à travers l'histoire, les auteur(e)s en particulier Simone de Beauvoir et les enquêtes qu'elle a faites auprès de médecins, dans des EHPAD que ce soit pour les résident(e)s mais aussi le personnel travaillant auprès d'eux mais également en s'interrogeant elle-même mais également ses proches qui vivent cette période de prise de conscience du temps qui passe, des corps qui se transforment.

"certaines (...) abordent cette période de leur vie comme un espace de liberté insoupçonnée. L'invisibilité que donne l'âge leur permet d'entrer dans un monde nouveau débarrassé et de la domination masculine et du souci de soi. (p39)"

J'ai beaucoup aimé cette étude sur l'âge car elle est faite sur plusieurs orientations : la prise de conscience : "Le sentiment de l'âge", une sorte d'état des "lieux", la vieillesse dans l'histoire " L'expérience de l'âge" puis de la situation des personnes âgées "La vision de l'âge" que ce soit sur le plan financier, conditions de vie, encadrement de la famille ou de structures spécialisées pour finir par une sorte de bilan épilogue, le tout en prenant références et expériences que ce soit dans la littérature, l'art, la philosophie ou sa propre expérience ou ses rencontres.

"Sacks l'affirme : "Je ne considère pas l'âge mûr comme une période vouée au déclin que l'on devrait subir le mieux possible mais comme un moment de plaisir et de liberté, où je suis libéré de l'exigence factice du début, libre d'explorer ce que je souhaite...."(p79)"

J'ai trouvé cela intéressant car j'y ai retrouvé des questionnements, des pensées que tout à chacun peut avoir soit par ses propres réflexions mais aussi par son propre vécu, regard sur une population de plus en plus vieillissante et pour laquelle la société n'est pas toujours préparée.

J'ai apprécié le ton, jamais didactique, parfois même humoristique, touchant voire émouvant n'hésitant pas à avouer ses propres sentiments, rendant la lecture fluide et parlante car les problèmes de société soulevés, les écarts entre vieillesse en pleine santé ou impactée par la maladie, vieillesse différente parfois si on est homme ou femme, vieillesse dans de bonnes conditions financières ou non sont des sujets qu'elle aborde avec franchise, réalisme et dont nous avons tous plus ou moins conscience même si nous reculons toujours le moment d'y penser.

Instructif, édifiant avec d'émouvants témoignages en autres ceux d'Edgar Morin, Annie Ernaux et quelques mots de Guy Bedos qui nous a quittés cet été, qui permettent à tout à chacun de dresser un état des lieux de la vieillesse, celle de la société, de ses structures mais également de notre propre vieillesse et d'y réfléchir.
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Après avoir lu « Mais la vie continue » de Bernard Pivot, j'ai réalisé que je n'avais pas lu « La voyageuse de nuit » de Laure Adler sur un sujet similaire.
Contrairement à Pivot qui prenait ses exemples sur lui-même ou ses proches, Laure Adler va faire une véritable enquête sur la vieillesse, sa représentation et la manière dont elle est perçue.
Ainsi elle rencontre des artistes (Edgar Morin, Guy Bedos, Annie Ernaux, Marguerite Duras) et des inconnus qui évoquent, parfois crûment, les ravages de l'âge et leur mise à l'écart de la société.
Elle mêle aussi des références littéraires et des citations.
Pour elle les personnes âgées sont souvent déconsidérées dans la vie, et dans la représentation que l'on fait d'eux dans les arts, notamment dans le cinéma.
Les femmes, notamment, n'ont pas l'aura des « hommes mûrs aux tempes grises ».
Mais il y a autant de manières de vieillir qu'il y a de manières de vivre sa jeunesse, et « selon que vous serez puissant ou misérable », comme dit La Fontaine, votre vieillesse ne sera pas la même….

Même si l'atmosphère générale de cet essai est plutôt morose, pour ne pas dire très pessimiste, j'en retiens quand même quelques lueurs d'espoir.
Comme le disait aussi Pivot, l'âge mûr permet quand même quelques avantages : moins de contraintes de tous ordres, la faculté d'aller à l'essentiel, la possibilité de dire ce que l'on pense plus facilement…
Et la possibilité de rester toujours curieux, de pouvoir, disait Pivot, toujours « ajouter » des choses à sa vie, bref d'avoir toujours du désir, et le désir ne vieillit pas ! (Même si le réaliser s'avère parfois plus difficile…)
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J'imagine que chaque lectrice ou lecteur qui découvrira cet essai le comprendra en fonction de son âge personnel, ou plus exactement selon la dizaine dans laquelle elle/il se situe. Je me place dans la dizaine de l'autrice.

Quelque soit notre âge, disons au-delà de la quarantaine, il est embarrassant de le communiquer, on souhaiterait tellement entendre " Mais, vous ne les faites pas" 😂.

Si je n'appartiens pas au milieu intellectuel parisien de L. Adler, j'essaie de maintenir des activités culturelles. Cadre retraitée résidant en banlieue je suis inscrite avec mon mari, médecin en retraite, à une université inter-âge dans laquelle la majorité des inscrits sont des retraités. Elle nous propose de nombreuses activités comme des conférences ( en présentiel mais actuellement sur zoom) sorties, expositions, café littéraire, stage de littérature, cours de langue, etc. Les inscrits les plus âgés sont nonagénaires !

On trouve dans la description de la vieillesse tant sur le plan physique que mental quelques points communs entre tous les séniors (le corps qui se modifie, la mémoire qui joue des tours...). Les inégalités entre séniors sont principalement l'état de santé, la solitude, les situations économiques et familiales.

En cette année 2020 il est malheureusement difficile d'oublier notre âge puisque tous les jours sur les radios et télévision on nous rappelle que nous sommes, compte tenu de notre âge, des personnes à risque. le moral commence à en prendre un coup!

Cet ouvrage n'est pas désespérant comme le pensent certaines de mes connaissances qui refusent de le lire, par peur de s'y reconnaître ?. Au contraire c'est un livre assez réjouissant et très intéressant dans lequel se mêlent littérature, philosophie, humour, bonheur de vivre et parfois de la colère sur la façon dont certaines personnes âgées sont traités.

Pour conclure j'ai choisi une phrase de Victor Hugo :

"L'un des privilèges de la vieillesse c'est d'avoir outre son âge tous les âges."

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Les romans sur le troisième âge me plaisent beaucoup, cette génération a tellement à nous apporter, leur histoire, leur mémoire alors je n'ai pas hésité à lire ce livre. Cette fois ce n'est pas un roman mais un voyage dans ce pays où nous irons tous si nous en avons la chance.  La question déjà c'est "quand sommes nous vieux?" La réponse appartient à chacun bien entendu... La retraite? Un âge en particulier? Pour mes enfants je suis déjà vieille mais au delà de l'âge et de notre corps qui nous le rappelle c'est un état d'esprit!!!

La vieillesse au fil des siècles et la place de nos anciens, le respect qui leur ai dû. La vieillesse à travers le monde! Voilà ce que nous offre Laure Adler. "La vieillesse est une voyageuse de nuit: la terre lui est cachée, elle ne découvre plus que le ciel" ces mots De Chateaubriand lui ont inspiré le titre mais avec le livre c'est un ensemble de citations issues de texte à travers le temps issus de grands auteurs et autrices comme Simone de Beauvoir ou Annie Ernaux

Ces lieux que sont les EHPAD... où dans certains établissements il faut rendre des comptes aux actionnaires et cette recherche de profit se fait au détriments des retraités. Heureusement, ils ne sont pas minoritaire et j'ai aimé ce lieu où elle s'est rendue avec son ami danseur.  Laure Adler, chiffre à l'appui fait le constat de la vie de nos anciens aujourd'hui, le problème des effectifs, le manque de moyens pour prendre parfois soin d'eux, le manque de prise en compte par les pouvoirs publics mais aussi la difficultés pour les proches d'assumer parfois tout en voulant le faire du mieux possible. Sans oublier, la douleur de ceux qui se sont vus priver de leurs proches pendant le confinement et pour les protéger nous les avons isoler, leur laissant le chagrin. 

Quoi de pire qu'un vieux, une vieille! Même sur la fin de notre vie, des différences persistent, combien de femmes vivent sous le seuil de pauvreté et ne peuvent terminer sereinement leur vie. Une vieillesse heureuse et sereine est finalement le privilège de certains. Bien entendu, Laure Adler aborde aussi l'allongement de la vie avec ceux que nous nommons le quatrième voire le cinquième âge et toutes les conséquences qui suivent sans oublier la fin de vie. Un état des lieux mais surtout une réflexion complète sur la vieillesse qui ne peut que nous ouvrir les yeux sur certains pans de la vie.

Un voyage au coeur de la vie, au coeur de la nuit de notre vie. Je vous invite à revoir la chronique d'Olivia de Lamberterie sur Télématin, elle en parle si bien! J'avoue mettre un peu perdue parfois dans ce voyage mais il n'en est pas moins intéressant. Je remercie les Editions Grasset pour l'envoi de #lavoyageusedenuit via #netgalleyfrance.
Lien : https://leslecturesdemamanna..
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Un texte qui redonne du punch à tous ceux qui dans leur tête n'ont pas pris une ride!
Dans cet essai très intéressant Laure Adler pousse un véritable coup de gueule sur la manière dont notre société considère la vieillesse. A 70 ans elle ne s'estime pas vieille et revendique le droit d'être encore utile à ladite société.
Ce sont des bribes de pensées, apparemment sans plan, une réflexion sur l'état de la vieillesse en France que Laure Adler nous livre dans ce texte un peu décousu mais d'une grande érudition. Pour appuyer ses dires elle se réfère à de nombreuses citations littéraires ou philosophiques donnant la parole à Simone de Beauvoir, Marcel Proust, Annie Ernaud, Edgar Morin ou encore Jacques Derrida.
Ses critiques du jeunisme ambiant sont indiscutables. le prolongement de la vie en bonne forme, le très grand âge, la dérive des EPHAD, la marchandisation des seniors sont quelques-uns des thèmes abordés. Ce texte s'adresse à tout le monde, tout jeune étant un vieux en devenir.
Bien que de son âge je ne suis pas toujours d'accord avec ce que Laure Adler a écrit. Je pense qu'il faut bien céder la place aux jeunes et ne pas trop opposer les générations. Je ne suis pas certaine non plus qu'autrefois les vieux étaient bien traités.
Lien : https://ffloladilettante.wor..
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Merci, Mme Adler, pour m'avoir donné envie de vieillir à un âge où les premiers signes de cette étape de la vie sont déjà là - j'ai soixante et un ans-
et, surtout, après avoir accompagné ma mère sur sa lente descente vers le purgatoire de ses quatre-vingt-dix ans, quasiment aveugle et s'accrochant à la vie dont elle était la seule à en comprendre l'intérêt, avec , pour moi, cette peur au ventre de dégringoler ainsi, d'année en année, irrémédiablement. Avec vous, Mme Adler, on retrouve la joie d'être vivant, qu'importe "l'âge de nos artères". Cependant, vous citez en exemples des personnes somme toute bine privilégiées, qui peuvent se permettre de vieillir dans le confort de leur situation matérielle et/ou intellectuelle, entourées, aidées. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Mais je garderai, grâce à ce livre, une vision positive de la vieillesse...
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Mais cela veut dire quoi faire son âge? A partir de quel moment sommes-nous vieux?
Certains se sentent vieux à 30 ans, d'autres jeunes à 60 ans…
Et quelle place laisse-t-on a nos aînés? Trop vieux pour ci, pas assez pour ça mais toujours relayés au bas de la liste, comme si les années qui passent étaient un handicap.

Ce sont les réflexions, constatations et prises de conscience de l'auteure sur le sujet qui sont consignées dans cet ouvrage très intéressant.
Au gré de ses rencontres, elle propose divers points de vues sur le sujet, différentes façons de vivre ou subit le vieillissement.
Laure Adler décrit la pression subie au quotidien, les préjugés comme par exemple le droit d'avoir une sexualité passé un certain âge avec un ton à la fois incisif et saisissant.
Rempli de références littéraires, complété par l'immense culture de l'auteure, la philosophie de Laure Adler m'a nourrie, ses phrases parfois poétiques m'ont captivées.
Les conditions de vie en EPHAD sont également abordées, dénoncées car finalement vieillir ce n'est pas attendre la mort, c'est vivre encore!

J'ai très vite lu ce livre avec un sentiment de surprise! En effet, je ne m'étais jamais rendue compte de cette pression, je n'avais pas réalisé que de sans cesse traité nos aînés comme des personnes fragiles pouvaient les blesser. Je suis très reconnaissante envers Laure Adler de m'avoir ouvert les yeux et sensibilisée sur cette catégorie de personnes que je rejoindrai un jour!

Je crois que nous devrions tous le lire, c'est un sujet de sociologie qui nous concerne et concernera toutes et tous.
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C'est un livre, difficile à qualifier, qui parle de la vieillesse. Ce n'est pas un essai, ce n'est pas une fiction ni un récit mais plutôt une suite de réflexions sur des registres différents : sociologique, intime, philosophique, référencé.
L'écriture est fluide, agréable, plus journalistique que littéraire et j'ai bien aimé entendre dans les mots de ce livre la voix de Laure Adler que j'apprécie beaucoup dans son rôle d ' animatrice de l'émission radiophonique " l' heure bleue" sur France Inter.
Ce qui m'a manqué pour capter mon attention durablement, c'est une charpente , une construction qui permette de sentir une pensée en progression.
On a plutôt à faire ici avec une suite de fragments sur un même thème.
Et finalement sur le thème lui-même, il ne me reste pas grand chose si ce n'est l'évocation de quelques personnalités modèles et fascinantes ( Edgar Morin, Pierre Soulages, Mona Ozouf, voilà ceux qui me reviennent spontanément!)
J'ai été touchée de ce que l'auteure dit de son rapport à ses vieux parents, j'ai apprécié aussi sa sincérité dans son rapport à son propre vieillissement.
Bien sûr, ce thème ne peut pas laisser indifférent lorsqu'on est soi-même dans une interrogation sur ce sas entre un certain âge et un âge certain!
Je reviendrai sûrement grappiller dans ce livre qui est à conserver à portée de main pour y glaner quelques encouragements, parce que l'auteure valorise plutôt cette phase de la vie qui libère du regard des autres.

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