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Pierre-Paul Plan (Traducteur)
EAN : 9782268042749
248 pages
Les Editions du Rocher (27/05/2002)
4.11/5   37 notes
Résumé :

Avec ce premier roman publié en 1906 en Italie, Sibilla Aleramo connaît une gloire soudaine à l'âge de trente ans : Une femme est aussitôt traduit en français, Anatole France s'enthousiasme dans un article du Figaro sur ce prodige de la littérature italienne et le Tout-Paris la fête : Rodin, Anna de Noailles, Valery Larbaud, Charles Péguy, Apollinaire, Colette se disputent la compagnie de cette jeune femme fasc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
La narratrice voue une adoration sans limites à son père. Un père qui ne se soucie pas le moins du monde du qu'en-dira-t-on et qui élève sa fille hors conventions. Aussi, lorsqu'il s'éloigne d'elle, qu'il la déçoit, qu'il trompe sa femme, se sent-elle complètement déstabilisée. Et elle trouve alors refuge auprès d'un collègue plus âgé qui l'écoute, qui la console, qui plaisante, qui se dit épris d'elle et qui l'agresse sexuellement. Elle l'épousera néanmoins en s'auto-illusionnant sur les sentiments qu'elle éprouve à son égard. Elle a seize ans. Et c'est le début d'un véritable calvaire. Dans sa nouvelle vie elle se sent décalée, en porte-à-faux avec son entourage. le mari, inculte, fuyant, se révèle violent. Elle s'étiole dans une routine sans relief. Elle déprime et cultive, comme l'a fait sa mère avant elle, des aspirations suicidaires.

C'est la naissance de son fils qui va redonner un sens à sa vie. Elle forme à nouveau des projets : l'élever, du mieux possible, et se réaliser, elle, sur un plan artistique. Et l'amour ? Elle croit à tort l'avoir enfin trouvé dans un individu aussi abject et vulgaire que son mari. Et elle se retrouve alors placée par ce dernier sous haute surveillance, cloîtrée. Un mal pour un bien. Parce qu'au coeur de cette solitude imposée elle va lire, écrire, se découvrir, se vouloir libre et, au-delà d'elle-même, replacer ses problèmes personnels dans un cadre beaucoup plus général. C'est alors la découverte du socialisme et du féminisme naissant. Un article publié et la voilà le pied à l'étrier. Elle collabore à différentes revues, se lance dans une activité intellectuelle intense avec comptes rendus de lecture et traductions. Au fil du temps, de prises de conscience successives, de rencontres aussi, il lui apparaît évident que, pour donner le meilleur d'elle-même et conserver sa dignité, elle n'a pas d'autre solution que de quitter un mari qui continue à la battre et à la brider dans ses aspirations les plus profondes. Seulement il y a l'enfant. L'amour de sa vie. Et la loi italienne, au tout début du XXe siècle, laisse, en cas de séparation, l'enfant au père. Alors ? Partir ? Et le laisser orphelin de mère ? Rester ? Et lui donner l'exemple de la lâcheté ? Ce sera un conflit intérieur déchirant, mais elle partira. Elle finira par partir. « Si une bonne fois la chaîne fatale venait à se briser et qu'une mère refuse d'étouffer en elle la femme, afin qu'un fils apprenne par son exemple ce qu'est la dignité. »

Ce texte est étonnamment moderne. À la fois par la volonté affichée de la narratrice de donner le meilleur d'elle-même, de ne pas se soumettre, de mettre ses actes en conformité avec ses idées, mais aussi par la perspicacité de ses analyses. C'est ainsi qu'elle constate que, dans l'immense majorité des cas, les poètes chantent les femmes qu'ils n'ont pas pu posséder alors qu'ils ne font seulement pas allusion à celle qui partage leur vie et qui leur a donné des enfants. C'est ainsi aussi que, s'agissant du féminisme, elle met en garde contre les tentatives de récupération. « Il appartient à la femme seule de revendiquer son existence. Elle seule peut révéler la véritable essence de son psychisme. »

Le récit, peut-être parce qu'il était a priori destiné à son fils, est fait sur le ton de la confidence. C'est en sa compagnie, de façon quasiment intime, qu'on assiste à la prise de conscience de la narratrice, qu'on suit, au plus près, les méandres de ses réflexions, qu'on partage ses doutes, ses émotions, ses enthousiasmes et ses déceptions.

Babelio que je remercie de m'avoir « élu » pour cette masse critique de juin place « Une femme » dans la rubrique non-fiction tandis que les Éditions des femmes, que je remercie également pour m'avoir adressé cet ouvrage, le présentent comme une autobiographie romancée. Qu'en est-il au juste ? Au terme de ma lecture, j'ai vraiment le sentiment de m'être trouvé devant une autobiographie « pure ». Et l'adéquation très étroite qu'il y a entre le texte et « la vie réelle » de Sibilla Aleramo me semble aller dans ce sens. Peut-être, pour des raisons qui lui sont propres, Sibilla Aleramo a-t-elle tenu à entretenir l'ambiguïté. Il me semble en voir la « preuve » dans le fait que l'héroïne ne soit jamais nommée. Lui donner son nom à elle, c'était basculer du côté de l'autobiographie. Lui en donner un autre, c'était basculer du côté du roman. Mieux valait dès lors, pour rester dans l'équivoque, ne lui en donner aucun.
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Je découvre la passionnante Sibilla Aleramo et elle me fait penser à Virginia Woolf, par certains côtés, d'autant plus qu'elles sont de la même génération.
L'écrivaine italienne écrit son premier livre en 1906 « Une femme », dont le titre en italien « Una dona » sonne vraiment très bien. Elle y évoque à la première personne la vie d'une jeune femme dont le nom n'est jamais cité mais qui semble être l'auteure. Comme elle, la narratrice épouse à seize ans un employé de son père. Mais elle est malheureuse, incomprise et doit se soumettre à un homme qu'elle n'aime pas. Après une tentative de suicide, elle va trouver la force de partir en laissant son mari, violent et autoritaire, ainsi que son fils, par obligation.
Au début du 20ème siècle, Sibilla Aleramo n'est pas la seule à écrire des romans traitant de l'émancipation féminine. Mais ce récit d'un parcours féminin émancipé se conclut pour la première fois par une issue positive : la possibilité d'une vie libre et le début de l'activité d'écriture pour la protagoniste. Alors c'est sans doute pour cela que ce livre est considéré comme le premier livre féministe et qu'il a connu un grand succès.
Pour moi c'est un texte puissant qui sonne vrai et dont il faut venter la qualité de l'écriture.


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« le temps et l'espace me semblaient devenir fluides, me transportant sur leur courant ; j'étais l'Humanité errante, l'Humanité sans but et pourtant enflammée d'idéal : l'Humanité esclave de certaines lois et pourtant mue par une volonté rebelle de les briser, de refaire une existence affranchie d'elles… »
« Devant les yeux, il ne restait que la beauté de cet effort humain qui s'érigeait dans l'infini du monde. Spectacle que l'âme jalousement accueillait et recelait. Ce n'était pas la grande révélation : c'était le travail souterrain des germes qui, déjà, ont le pressentiment de la chaleur du soleil et en craignent, en désirent, la parfaite splendeur. »
« Et j écrivis pendant une heure, pendant deux heures, je ne sais plus. Les mots coulaient, graves, presque solennels : j'arrivais à cerner mon état psychologique, je demandais à ma souffrance si elle saurait être féconde (…). Ce fut l'unique fois dans ma vie que j'aspirai à la Foi en une Volonté Divine, et je l'attendis les mains jointes. Et dans cette invocation il y avait tout le désespoir d'un esprit se sentant faible, épuisé, au moment même où il entrevoit un long chemin à parcourir… (…).
Mes larmes coulaient, abondantes, libératrices. Bénies ! Bénies ! Enfin, j'acceptais en moi le dur devoir de marcher seule, de lutter seule, de mettre au jour tout ce qui montait en moi de plus fort, de plus pur, de plus beau. Enfin je rougissais mes inutiles remords, de ma longue souffrance stérile, de la désaffection dans laquelle j'avais laissé mon esprit comme si je l'avais haï. Enfin, je goûtai la saveur de la vie comme à quinze ans. »
Mais Sibilla Aleramo a un enfant qu'elle aime et qui l'aime. Et ce lien d'amour va faire d'elle une esclave enchaîné par et à son mari. Doit-elle suivre l'exemple de toutes ces femmes, « symboles sanglants de la vanité du sacrifice, exemples terribles du châtiment qui tombe sur toute conscience qui se renie. N'étais-je pas l'une d'elles ? le raisonnement et l'intime assurance ne m'avaient pas été suffisants. J'avais continué à appartenir à un homme que je méprisais et qui ne m'aimait pas : devant les autres je portais le masque de l'épouse satisfaite, légitimant d'une certaine manière cet ignoble esclavage, portant aux nues un mensonge monstrueux. Pour mon fils, pour ne pas courir le risque d'être privée de mon fils.
Et maintenant, dernière lâcheté qui a vaincu tant de femmes, je pensais à la mort comme à une libération : je me résignais à laisser mon fils pour mourir : je n'avais pas le courage de le perdre pour vivre. »
Quel choix fera Sibilla Aleramo ? Lisez Wikipédia ! Oh, non ! Ne faites pas ça ! Vous passeriez à côté du récit le plus puissant, le plus doux, le plus profond, le plus touchant, le plus grand qui soit. Vous passeriez à côté d'une compréhension des femmes et du monde qui manquerait à votre vie. Vous passeriez à côté de la vie d'une femme qui explique la vies des femmes.

Jamais un livre ne m'a touchée autant que celui-ci. Je reconnais le parcours de vie de Sibilla Aleramo, une mère, un être humain qui a décidé, contre les hommes, contre sa société, même contre les femmes et contre ses propres sentiments de mère, de vivre. Sibilla Aleramo, une mère, une femme, une être humain, très humain.
Gabrielle Dubois©

Lien : https://www.gabrielle-dubois..
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Dans ce roman, nous suivons le destin d'une italienne née à la fin du dix-neuvième siècle. Il s'agit d'une autobiographie romancée de l'autrice et la vie de cette dernière m'a passionné ! Née dans un milieu provincial, elle cherche constamment à s'élever intellectuellement, mais son attitude déplaît aux hommes qui l'entourent. Son père, cependant, la laisse travailler au sein de l'usine familiale et c'est d'ailleurs là-bas qu'elle rencontrera son futur mari. Après son mariage, c'est la désillusion : son mari n'est pas du tout tel qu'elle l'avait imaginé et l'ambiance familiale devient rapidement insoutenable. Elle fera tout pour regagner son indépendance, mais à quel prix…


J'ai beaucoup aimé ce roman. le style de l'autrice est génial. La vie de cette femme est passionnante et elle nous permet de découvrir l'Italie du début du vingtième siècle. J'ai adoré suivre la vie de cette femme : ses réflexions sur le monde qui l'entoure sont passionnantes. Je vous recommande vivement de lire ce roman si vous souhaitez découvrir une autrice italienne dont on n'entend, malheureusement, pas assez parler.
Merci aux éditions Des femmes et à Babelio pour l'envoi de ce livre !
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Un des thèmes les plus importants est celui de la solitude de la narratrice. Solitude due à l'incompréhension de ses aspirations à une liberté intellectuelle;solitude au sein de sa famille où personne ne soupçonne et ainsi ne comprend son besoin de faire la clarté sur des mots comme "conscience"," progrès social", "vérité" etc.

d'après Maria Corti
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
En m'élevant,je m'isolais donc plus que jamais.
Quelle importance? Mon détachement du monde alors était sincère: dotée de jeunesse et de beauté,je pouvais,malgré la crise traversée , me croire exemptée pour toujours de tout désir des sens. Les rapports avec mon mari,auxquels je me résignais avec une docilité mélancolique,ne terturbaient pas le travail de ma conscience.
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Pourquoi adorons-nous dans la maternité le sacrifice ? D'où vient cette inhumaine conception de l'immolation des mères ? De mère en fille depuis des siècles se transmet ce servage. Monstrueuse chaîne ! Nous avons toutes, à un certain moment de nos vies, la conscience de ce que celle qui nous a donné nos vies a fait pour notre bien, et, avec cette conscience le remords de ne pas avoir compensé l'holocauste de cette femme bien aimée qu'était notre mère
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Maintenant enfin, j'avais le sentiment d'une existence plus vaste, mon problème intérieur devenait moins obscur, il s'éclairait à la lueur d'autres problèmes plus généraux, et l'écho de la vie, des aspirations des autres hommes me parvenait. Grâce aux livres je n'étais plus seule, j'étais un individu qui prêtait attention, consentait et collaborait à un effort collectif. Je sentais que cette humanité souffrait à cause de sa propre ignorance et de ses propres angoisses: je sentais aussi que les élus étaient appelés à souffrir plus encore que les autres pour pousser plus avant la conquête.
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En fait, malgré la somme d'énergie que je dépensais pour le bébé, il y avait en moi une incapacité grandissante à voir, à vouloir et à vivre : comme si une fatigue mentale s'était substituée à la fatigue physique, c'était le mécontentement de moi-même, la réprobation envers cette meilleure partie de moi que j'avais négligée, de ce moi profond et sincère depuis si longtemps réprimé et travesti. Ce n'était pas une infirmité mais une déficience fondamentale que j'éprouvais dans mon existence. La mère en moi luttait contre la femme : les joies et les peines, si pures dans leur essence, que me procurait cette petite chose palpitante et rose contrastaient avec une instabilité, une alternance de langueurs et d'exaltations, de désirs et de chagrins dont je ne connaissais pas la cause, mais qui me faisaient me considérer comme un être déséquilibré et incomplet.
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Alfine mi riconquistavo, alfine accettavo nella mia anima il rude impegno di camminar sola, di lottare sola, di trarre alla luce tutto quanto in me giaceva di forte, d'incontaminato, di bello; alfine arrossivo dei miei inutili rimorsi, della mia lunga sofferenza sterile, dell'abbandono in cui avevo lasciata la mia anima, quasi odiandola. Alfine risentivo il sapore della vita, come a quindici anni.
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Video de Sibilla Aleramo (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sibilla Aleramo
« […] Jour après jour, Saba - de son vrai nom Umberto Poli (1883-1957) - compose le “livre d'heures“ d'un poète en situation de frontière, il scrute cette âme et ce coeurs singuliers qui, par leur tendresse autant que leur perversité, par la profondeur de leur angoisse, estiment pouvoir parler une langue exemplaire. […] […] Au secret du coeur, dans une nuit pétrie d'angoisse mais consolée par la valeur que le poète attribue à son tourment, cette poésie est une étreinte : à fleur de peau, de voix, une fois encore sentir la présence de l'autre, porteur d'une joie qu'on n'espérait plus. […] Jamais Saba n'avait été aussi proche de son modèle de toujours, Leopardi (1798-1837) ; jamais poèmes n'avaient avoué semblable dette à l'égard de l'Infini. le Triestin rejoint l'auteur des Canti dans une sorte d'intime immensité. […] […] Comme le souligne Elsa Morante (1912-1985), Saba est plutôt l'un des rares poètes qui, au prix d'une tension infinie, ait élevé la complexité du destin moderne à hauteur d'un chant limpide. Mais limpidité n'est pas édulcoration, et permet au lecteur de percevoir deux immensités : le dédale poétique, l'infinie compassion. » (Bernard Simeone, L'étreinte.)
« […] La première édition du Canzoniere, qui regroupe tous ses poèmes, est fort mal accueillie par la critique en 1921. […] Le Canzoniere est un des premiers livres que publie Einaudi après la guerre […] L'important prix Vareggio de poésie, obtenu en 1946, la haute reconnaissance du prix Etna-Taormina ou du prix de l'Accademia dei Lincei, ne peuvent toutefois tirer le poète d'une profonde solitude, à la fois voulue et subie : il songe au suicide, s'adonne à la drogue. En 1953, il commence la rédaction d'Ernesto, son unique roman, qui ne paraîtra, inachevé, qu'en 1975. […] »
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Référence bibliographique : Umberto Saba, du Canzoniere, choix traduit par Philippe et Bernard Simeone, Paris, Orphée/La Différence, 1992.
Image d'illustration : https://itinerari.comune.trieste.it/en/the-trieste-of-umberto-saba/
Bande sonore originale : Maarten Schellekens - Hesitation Hesitation by Maarten Schellekens is licensed under a Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/maarten-schellekens/soft-piano-and-guitar/hesitation/
#UmbertoSaba #Canzoniere #PoésieItalienne
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