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4,09

sur 488 notes
Un livre particulier, très difficile à lire, peu entraînant, redondant et vite lassant.

Les références de Dante à son époque et les personnes qui y furent célèbres sont trop nombreuses et pas assez détaillées dans les notes pour que l'on prenne vraiment du plaisir à lire cet ouvrage. Il faut avoir une connaissance de l'époque ainsi que de son Histoire infaillible et très détaillée pour saisir tout les tenants et les aboutissants de cette descente aux Enfers.

Malgré tout, cela reste une lecture agréable, une belle découverte, et, si on passe sur les éléments incompréhensibles, on peut en effet se dire que c'est un ouvrage toujours d'actualité.
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Bonjour 📚📚📚📚 voici👍
la divine comedie du grandiose dante l'un des plus passionnants classiques que j'ai lu de ma vie et je vous présente que le tome 1, des filmes , des séries, des pièces de théâtre voire des romans ont tous était inspiré de la fameuse divine comédie.
😈😈😈
Dante Alighieri est un poète, écrivain, penseur et homme politique florentin né entre la mi-mai et la mi-juin 1265 à Florence et mort le 14 septembre 1321 à Ravenne. « Père de la langue italienne », il est, avec Pétrarque et Boccace, l'une des « trois couronnes » qui imposèrent le toscan comme langue littéraire.
😈😈😈 tome 1 : l'enfer (inferno)
Le poète place la Terre au centre de l'Univers, autour de laquelle gravitent les cieux. le Diable loge au centre de la Terre tapi au centre de Sa demeure, l'Enfer, constitué de neuf cercles gardés par d'horribles démons. Chaque cercle est réservé à un type bien spécifique de pêché. Les cercles inférieurs sont réservés aux pêchés les plus terribles et aux âmes les plus noires.Le livre suit le voyage initiatique de l'écrivain qui se met lui-même en scène.Il est très vite rejoint par son ami Virgile (le célèbre poète latin auteur de l'Énéide) il commence par l'enfer (t1) puis le purgatoire (t2) pour finir avec le paradis (t3).
Avis: tout au long de ma lecture j'ai découvert l'enfer selon Dantè, il donne la chaire de poule mais ce n'ai que le début car Durant son épopée, il rencontrera nombre de personnages célèbres (mythiques ou historiques) empruntés à différentes cultures. Parmi eux, on peut citer Ulysse, Lucifer, Cléopâtre, Hélène de Troie, cerbère, Diomede......passionnant non !!!
J'ai adoré le lire et j'ai hâte d'enchaîner le 2 et le 3 car le plus dure est passé hhhh dante quel personnage 🌿🌿🌿
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Bienvenue dans ces textes aux formulations distordues (surtout que c'est un poème, donc avec un respect des vers c'est souvent encore pire), avec parfois des passages "intraduisibles" (c'est pas moi que le dit, c'est le livre). Précisons encore que c'est un écrit ultra référencé aux mythologies chrétiennes, gréco-romaines, mais aussi au monde plus ou moins contemporain de Dante. Alors sans faire de constants aller-retour aux notes, vous risquez de ne pas comprendre grand chose.

Ça, c'est la forme, et je pardonne totalement le fait que la lecture soit difficile. Mais il faut parler du fond.

Pour résumer l'affaire, c'est l'histoire de Dante qui parcourt les diverses régions des Enfers avec son poto Virgile, le roi des poètes. Sauf que cet Enfer est peuplé d'un peu n'importe qui : tout ce qui pas chrétien (Mahomet qui passe un sale moment dans les tréfonds de ce beau bordel) ou même de simples ennemis de Dante, comme les guelfes noirs une faction ennemie de celle de Dante, un guelfe blanc (en réalité c'est un peu plus compliqué). Comme quoi notre Dantounet, il place un peu tout ce qu'il aime pas.

Mais faites abstraction de ces sottises et contentez vous sur la description des lieux, de ces endroits immondes où de pauvres damnés se bouffent des tortures toutes plus insupportables que les autres. le texte, bien que répétitif dans sa forme (Dante le naïf va dans une bolge, Virgilelui fait la morale, les damnés se plaignent, blablabla bolge suivante), offre une multitude de lieux différents qui ont durablement inspirés les artistes au fil du temps : des peintres (Eugène Delacroix, Bernard Buffet), des cinéastes (Brian de Palma) des écrivains (Honoré de Balzac ou même H.P. Lovecraft étonnamment surnommé le "maître de l'horreur").

Mais moi je suis résté hermétique au style d'écriture forcément ancien dans la forme. Et c'est ausi évidemment du prechi precha catholique, normal à cette période mais que moi contemporain athée je ne supporte plus. Bref, une lecture déplaisante, d'autant que l'auteur semble marteler ses préceptes religieux, malgré son simple statut de visiteur dans le Livre.
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Me voilà aux portes de l'enfer… Là le texte devient plus simple à lire et ce qui est le plus intéressant, c'est le schéma des cercles de l'enfer imaginé par Dante. Dans chaque cercle, Dante et son guide Virgile rencontrent des damnés avec qui ils parlent. Ils côtoient également beaucoup de personnages historiques et mythologiques, gardiens des cercles. Les sept péchés capitaux et autres y sont « punis ». J'ai beaucoup aimé les références à la mythologie grecque.
Lien : http://virginielastella.over..
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Une référence....onirique, dans sa dimension prophétique médiévale; un livre fascinant qui ne laisse pas indifférent , un poème ad libitum.......
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Quelle poésie, quelle épopée et quelle témoignage! Une référence incontournable pour ceux qui aiment les histoires de mythologie chrétienne.

Même si cela peut être difficile de lire tout un livre rédigé en vers (j'ai du faire plusieurs pause je l'avoue, mais c'est chaque fois avec grand plaisir que je m'y suis replongé), je n'ai jamais regretté d'avoir commencé (et achevé) cette lecture. Culture générale +10 mais l'interet est aussi dans cette douce poésie de la recherche de l'amour et du paradis d'une personne au travers de toutes les souffrances d'autrui. Des dialogues improbables, parfois graves, parfois hilarants et parfois aussi, je dois l'avouer, des allusions qui nous échappent
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Qu'il semble difficile de se replonger dans les « classiques » !! Ils font certes partie de notre bagage littéraire mais sont souvent associés à une période d'apprentissage, de formation qui nous paraît lointaine !
C'est cependant un très bon exercice de se questionner sur celui qui nous a le plus marqué et de le « retrouver ».

Pour ma part, l'ouvrage qui a marqué ma vie étudiante est « La Divine Comédie » de Dante Alighieri, et plus particulièrement « L'Enfer ». Lorsqu'on étudie la langue et la culture italiennes à l'université, c'est une lecture incontournable, tant par sa richesse linguistique et stylistique que par la mine de références et de messages philosophiques que ce chef-d'oeuvre véhicule.
Grâce à mes études, j'ai pu lire ce poème « dans le texte », ce qui permet une immersion plus approfondie dans la Florence du XIVème siècle. C'est le premier texte véritablement en italien.
Composé de trois « livres » (Enfer, Purgatoire et Paradis), c'est la première partie (ou cantica) qui a ma préférence.
Débutant par le célèbre vers « Nel mezzo del cammin di nostra vita mi ritrovai per una selva oscura, che la diritta via era smarrita », Dante évoque d'emblée une problématique intemporelle : le sentiment de l'être humain de se sentir perdu, en constante lutte pour trouver ou retrouver la lumière.
Ce voyage initiatique en Enfer va nous permettre de rencontrer tous les péchés de l'Homme et de croiser des figures emblématiques de la mythologie, de l'Histoire médiévale et du domaine des arts de l'époque. A l'image de Virgile qui guide Dante, nous pouvons penser que par l'écriture de ce texte, Dante guide à son tour son lecteur.
La célèbre illustration de Botticelli de ce monde souterrain rend concret ce voyage et nous permet, tout au long de la lecture, de nous situer (géographiquement et intellectuellement).
Nous rencontrons ainsi, entre autres, les philosophes et savants grecs et latins contraints de séjourner dans les limbes puisqu'ils ont vécu avant l'avènement du Christ, Paolo et Francesca da Rimini, Cléopâtre emportés par la passion.
Les lieux, les sentiments et les notions sont décrites de façon si précise que le lecteur peut littéralement visualiser cette visite de l'Enfer. le même procédé sera employé pour le Purgatoire et le Paradis.

Cette oeuvre majeure a traversé les siècles, les sujets étant transposables à n'importe quelle époque.
À elle seule, elle représente une mine inestimable d'informations culturelles et les artistes de tous les temps en ont fait une source d'inspiration qui semble intarissable.
Pour l'avoir relu par la suite en français, c'est la traduction de Jacqueline Risset qui m'apparaît comme étant la plus fidèle.
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Classique de la littérature médiévale, cette oeuvre est très particulière et est une référence culturelle importante. Difficile à lire d'un coup (les vers, le propos, le vocabulaire... font en sorte qu'on est vite saturé et qu'il faut une pause pour pouvoir continuer à apprécier la lecture), le thème du purgatoire et de l'enfer ne prête pas tellement au plaisir de la lecture pour un lecteur moderne. Je suis heureuse d'avoir lu l'oeuvre pour mieux en comprendre l'importance et pour les références que cela me procure, mais la lecture elle-même n'a pas été une source de joie ni de divertissement.
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Il y a de cela presque deux ans, je me suis décidée à lire la divine comédie : un roman d'une telle influence, c'était une hérésie de ne pas l'avoir lu plus tôt.
J'ai donc commencé avec une version en vieux français. L'édition Jean de Bonnot, très belle : couverture reliée (en cuir me semble-t-il) avec des dorures, une police sympathique, des images. C'était charmant au début, malheureusement, la lecture en est rapidement devenue laborieuse.
J'ai donc opté pour une version un peu plus moderne où le traducteur, Rivarol (traduction parue vers 1784) a fait le choix de ne pas traduire mot pour mot le texte, mais plutôt le sens global. Donc c'est plus compréhensible et moins fastidieux (ouf !), mais on perd la “mise en page” c'est-à-dire le côté chant et j'ai trouvé ça dommage.

Pour l'histoire, tout le monde la connaît : Dante rencontre Virgile qui lui propose de visiter l'enfer et ses neuf cercles. Il y rencontre des “célébrités” de son époque et aussi antérieure, qui lui racontent leur histoire où ce qui a entraîné leur chute. Au bout du chemin, Beatrix doit l'en faire sortir.

Il y 9 cercles en enfer où sont répartis les pêcheurs en fonction de leur crime, sauf que sur les derniers cercles, Dante triche un peu : si dans les premiers, les vices sont explicitement définis, ce n'est pas aussi clair dans les trois derniers, il a donc fallu les séparer – le 7ème en 3 tours, le 8ème en 10 vallées, le 9ème en 4 girons.
Je m'attendais à plus de descriptions pour cette lecture : il y en a quelques unes qui sont d'ailleurs prenantes au même titre que certaines actions (et là, je parle notamment de l'affrontement des démons qui fut certes bref mais intense), malheureusement, le plus souvent, c'est une vitrine de personnages historiques célèbres que Dante et Virgile croisent, avec qui ils discutent… des références historiques trop obscures pour qu'un non-historien s'y retrouve (dispute d'untel ou tel au Sénat, coup de pute de l'un à un autre, etc). J'ai repéré quelques évocations de personnages littéraires, mais là encore, pour beaucoup c'était trop pointu pour que je les reconnaisse tous alors que j'en connaissais certains (merci les notes).
En ce qui concerne les supplices, j'ai trouvé que Dante restait souvent bien trop vague : s'il n'y avait pas eu les notes pour les expliquer, je serai passé à côté. J'ai, par moment, eu l'impression de lire une ébauche de roman.

J'ai honte de l'avouer, mais je n'ai pas aimé cette lecture. Je me suis ennuyée… c'était très chiant. C'est dommage parce que le principe des 9 cercles est génial et les châtiments que Dante décrit (quand il le fait) correspondent bien au crime et certains font froid dans le dos.
Je me demande si le côté traduction “non littérale” ne m'a pas perdue. C'était peut-être plus compréhensible, mais ça perdait de son charme. Je me suis aussi souvent demandée au fil des pages si les références historiques floues ou trop pointues étaient du fait de Dante ou du traducteur qui au final s'est laissé emporté ? Mystère – et je n'ai pas le courage de relire la version vieux françois pour en avoir le coeur net.
En l'état, une question me taraude : pour le prochain, dois-je reprendre l'édition jolie ou renouveler l'expérience avec une traduite globalement ?
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Ma lecture fut intéressante mais je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai aimé. le style est assez dépassé, ce qui est un peu normal vu qu'il a été écrit au XIVe siècle, mais il lui manque ce côté intemporel que j'attendais. J'ai trouvé que Virgile, le guide, et les cercles de l'enfer sont une bonne idée, cependant je me suis vite perdu dans ma lecture et ça m'a empêché de vraiment en profiter. Je ne sais trop quoi en penser, le style poétique est assurément bon, les rimes sont bonnes et bien traduites mais j'aurais préféré de la prose, je crois que c'est ce qui m'a donné le plus de mal pour rester dans le récit.
L'intrigue est simple, notre héros va devoir traverser les cercles de l'enfer pour arriver au purgatoire, ce premier tome de la trilogie laisse assez peu de place au développement des personnages, on est concentré sur la quête et uniquement la quête. le premier volume ne m'a pas donné envie de lire la suite, je me contenterais d'un résumé.
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