Deux textes « sur la peinture » où il met ses mots sur les théories qui fusaient, et se réalisaient, dans les groupes qu'il fréquentait.
Et : « Peintres Nouveaux ». Dans sa revue de peintres, après une tentative de cerner l'évolution en cours de Picaso, en de belles pages, j'ai personnellement deux désaccords avec lui (plus des détails, mais je viens après et je sais moins), je me permets cette outrecuidance ; l'importance donnée à
Marie Laurencin et sa théorie de l'art « féminin », et les réseves sur
Juan Gris qu'il voit trop scientifique sans capacité de dépasser la théorie, même s'il reconnaît la rigueur (et qui pour moi vient bien avant Mezinger et Gleizes) – un fort soupçon aussi, pour des peintres qui en était à un stade oublié de leur évolution, d'interventions amicales, qui restent dans de très jolies généralités.
Mais toujours, sauf parfois quand il se force, la poésie de son regard et de son dire.