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EAN : 9782714479952
448 pages
Belfond (07/02/2019)
3.1/5   294 notes
Résumé :
On dit que, passé quarante-huit heures, les chances de retrouver une personne disparue sont quasi nulles. Deux jours pour ratisser les bois alentour, frapper à toutes les portes, remuer ciel et terre. Passé ce délai, l'espoir n'est plus permis.

Eric, trois ans, a disparu il y a cinq ans. Peu à peu, les affichettes ont jauni, les policiers se sont désintéressés de l'affaire, la vie a repris son cours dans cette petite ville désaffectée de Floride.
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Critiques, Analyses et Avis (144) Voir plus Ajouter une critique
3,1

sur 294 notes
Voilà cinq ans qu'Eric alors âgé de trois ans disparaît dans un supermarché à côté de son frère Ben. Ce dernier omnibulé par sa disparition n'aura de cesse de le chercher, hanté par cette disparition et qui semble laisser de marbre les enquêteurs. À la recherche d'un emploi, c'est finalement au sein même dudit supermarché que Ben trouvera un poste en tant que magasinier. Ce qui accentuera son obsession pour Éric.

Bad man... Thriller psychologique où il ne se passe pour ainsi dire rien. On nage dans du surplace tout le long du livre. le supermarché est un endroit sombre avec des personnages ambigus qui donnent la part belle à la paronïa. Roman d'ambiance sur fond de disparition mais qui ne m'a pas du tout embarquée du fait de beaucoup trop de longueurs, d'innactions, de personnages assez creux, et une fin sans grande surprise et abracadabrante.
L'écriture de l'auteur est pourtant fluide et intéressante, de petits chapitres, un thème qui aurait pu susciter intérêt. Rendez-vous manqué pour ce roman qui m'a ennuyée plus que passionnée.

Les amateurs de thriller noir devraient davantage s'y retrouver ici.

Merci à Babelio et les éditions Belfond pour la lecture de ce roman.
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Deux frères dans un supermarché hanté
*
Je ne vous cache pas que j'ai suivi les sirènes de la bonne publicité autour de ce roman. De plus, l'histoire se passant dans un supermarché et nous vantant une atmosphère à la "Shining" de King, je n'ai pas pû résister.
Alors qu'en est-il ? Je sors vraiment perplexe de cette lecture. On m'avait prévenu que le prologue cachait des propos sibyllins. Qu'après l'épilogue, il prendrait tout son sens. Effectivement. L'ambiance oppressante du début donne le ton. Un cadavre découvert par deux jeunes garçons.
*
Deux frères dans un supermarché. Le plus jeune disparaît définitivement. Ben l'aîné, culpabilise énormément. C'est pourquoi, cinq ans après, il postule pour un emploi dans ce même supermarché. Et c'est là que démarre vraiment l'intrigue.
De suspicions en enquêtes, Ben cherche activement son petit frère Eric.
Entouré de personnages étranges et charismatiques, ce grand frère perd petit à petit la raison. On suspecte tout le monde. Qui ment? Qui détient la vérité? Le lecteur se sent piégé, happé dans cette grande machine qu'est le magasin.
*
L'auteur a très bien retranscrit cette atmosphère sombre, étouffante, moite (la chaleur de la Floride) et sinistre. J'ai tourné en rond. Est-ce voulu? J'ai eu l'impression de me retrouver dans ces allées vides de clients à la merci d'un employé zélé. Vous savez, comme dans une série TV d'horreur où le tueur à la tronçonneuse déambule dans les rayons.
*
Le récit est lent, dénué d'actions flamboyantes. Je n'ai pas eu ce frisson de peur. J'attendais la chute, un dénouement qui apporterait une fin nette. C'est à nous, lecteurs, d'imaginer la suite et les circonstances de cette disparition d'enfant. C'est clair que ça apporte une dynamique mais globalement, je suis sortie frustrée.
*
La plume de l'auteur est fluide avec des chapitres courts, un seul narrateur.
Je me rends compte que cette façon de raconter est déstabilisante, voire angoissante. Encore une fois, cette construction originale - pour l'instant, il n'y a que Stephen King qui y a réussi - a eu pour but de nous créer des sensations de malaise et de petit frisson mais pour moi, il a raté son effet.
*
Et au final, je ne sais même pas si c'est un thriller ou un roman d'épouvante/terreur . Etait-on dans la réalité ou dans le délire de Ben ?
*
Merci à Netgalley et les éditions Belfond.
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Un roman noir surprenant !

Le petit frère de Ben, Eric, disparaît alors qu'ils sont tous les deux en train de faire les courses au supermarché. Alors qu'ils viennent d'arriver en caisse, Eric a soudainement envie d'aller aux toilettes alors qu'il a refusé quelques minutes à peine plus tôt quand Ben le lui a demandé. En plus, il laisse tomber Stampi, sa peluche dans la cuvette, énervant encore plus Ben qui doit le laver et le faire sécher. Quelques secondes d'inattention et le petit disparaît.

Ben le cherche dans tous le magasin ; méfiant, il a refusé l'aide d'un homme qui lui proposait de l'emmener lui-même aux toilettes à deux reprises.

Cinq ans plus tard, ayant terminé le lycée, il dépose son CV au magasin, persuadé qu'on ne retiendra pas sa candidature, mais les gens ne se précipitent pas vers un travail de manutentionnaire, la nuit… il est donc embauché au grand dam de ses parents, surtout sa belle-mère Deirdra, la mère d'Eric.

Ben cherche à tout prix à retrouver son petit-frère, depuis toutes ces années. Il appelle régulièrement le policier, qui était chargé de l'enquête (et qu'il trouve inefficace), alors que celui-ci le pense coupable d'avoir tué Eric…

Ben, ce gros nounours, qui a été marqué à vie par un accident qui lui causé des dommages irréversibles sur sa jambe, victime de discrimination car il est obèse et handicapé, tourmenté car il se sent responsable de la disparition de son petit-frère, est un personnage attachant que l'on suit volontiers dans sa quête, ses efforts pour imprimer et distribuer des avis de recherche.

Les autres personnages sont également corsés : le père est le seul à rester connecté avec la réalité, alors que Deirdre, est dans le déni, entretient la chambre d'Eric, lui parle, lui achète chaque année de nouveaux jouets pour les fêtes, oblige les autres à souffler les bougies du gâteau d'anniversaire…

Le directeur du supermarché est bien dans son rôle de parfait harceleur au travail, constamment de mauvaise foi, suspicieux, Marty et Franck les collègues de Ben ne manquent pas de piment non plus, et la palme revient à Beverly, qui tient le rayon boulangerie pâtisserie, sans oublier Daniel, le camarade de classe, brillant sportif que Ben admire alors que lui-même avance péniblement au son du clic clic de son attelle.

Dathan Auerbach nous tient en haleine avec ce roman, car tout le monde est plus ou moins suspect, à tour de rôle, qui est sincère et qui ment ? Comment s'y retrouver avec des indices insolites qui font leur apparition à tout moment, dans un climat de suspicion générale ? et qui se cache derrière ce « Bad Man » ?

Le pitch faisant référence à Stephen King, je m'attendais à plus d'étrangeté, de paranormal, mais ce roman m'a bien plu, je ne l'ai pas lâché. le seul bémol, que je mettrais, c'est la lenteur, parfois étouffante, on n'a l'impression de ne pas avancer, ou du moins d'avancer avec autant de difficulté que Ben distribuant ses tracts et arpentant la forêt avec sa jambe malade. Je pense que c'est voulu par l'auteur, pour que l'on s'imprègne de l'ambiance régnante.

Au passage, je retiens aussi que l'auteur parle très bien de l'espoir, comme de la douleur, de la maladie ou de la mort.

C'est le premier roman, publié en français de Dathan Auerbach et il a su créer une ambiance particulière qui piège le lecteur malgré lui et donne envie de découvrir « Penpal »

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond !

#BadMan #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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J'aime beaucoup lire des thriller de temps à autre pour entrecouper avec mes genres littéraires de prédilection. J'en lis à petite dose pour, je pense, ne pas avoir le syndrome de Sherlock, comme je l'appelle, à savoir : deviner tout dès les premières pages. Avec Bad Man, impossible de savoir où on met les pieds, en qui avoir confiance, on en vient même à un moment donné à douter de ce qui nous entoure (enfin, à douter de ce qui entoure le personnage principal), si bien que je n'ai pas du tout vu venir la conclusion. Et pour moi, c'est déjà un pari gagné. Par contre, le roman a des défauts selon moi qui gâche un peu cette réussite.

J'ai toujours un peu de mal avec les disparitions d'enfants, comme beaucoup je pense, pourtant le résumé de Bad Man avait quelque chose d'intrigant et de différent. J'avais envie de savoir ce qu'il s'était passé et encore plus d'avoir le fin de l'histoire. Les critiques négatives que j'avais pu lire ne m'ont même pas arrêtée. Je voulais me faire ma propre idée.

Si le prologue est un peu étrange et très peu compréhensible, tout comme les inter-chapitres, le reste du roman m'a tout de suite happé. Dès le départ, on sent une ambiance se créer et elle ne va pas nous quitter. Comme un brouillard poisseux, une gêne qui ne disparaît pas, le sentiment que quelque chose ne va pas. Les personnages que l'on croise, le supermarché même sont un amoncellement de paranoïa, d'étrangeté, de culpabilité et d'angoisse. On ne peut se fier à personne, même pas à ce magasin qui semble avoir une conscience. le tout se prête très bien à ce genre de thriller, et plus on avance, plus on sent la folie gagner peu à peu, Ben, le personnage principal. Mais est-il vraiment fou en fin de compte ?

Les protagonistes sont, avec l'ambiance, les deux points que j'ai beaucoup aimé. Réalistes, et psychologique aboutis. Cela fait toute la différence dans les thriller, car un personnage bâclé peut faire s'effondrer l'intrigue en un rien de temps. Bien que l'on suive l'histoire à travers les yeux de Ben, et que l'auteur est choisi de restreindre le côté omniscient d'une narration à la troisième personne, on arrive à comprendre chacun des personnages. On voit combien l'enlèvement a pu les toucher de près ou de loin et tout ce qui a pu en découler. L'enquête même de Ben est minutieuse dans le traitement et finement menée avec ses hauts et ses bas.

Mais, car il y a un mais, certains détails du roman ont fait que je n'ai pas adhéré à 100%. Il y a de nombreux passages qui ne sont pas utiles et qui alourdissent le roman. Ils coupent même le rythme et n'ont pas leur place, ajoutant des détails superflus qui n'ont aucun rapport avec l'enquête. Certains points ne sont pas non plus expliqués. Je n'ai pas eu beaucoup de questions sans réponses, contrairement à ce que j'ai pu lire dans certains critiques, mais j'aurais trouvé intéressant que l'auteur aille au fond des choses. Pourquoi insérer un élément qui est en liaison avec la disparition pour ensuite ne pas aller jusqu'au bout ? La fin est aussi trop ouverte. Je ne m'attendais pas forcément à ce qu'on retrouve Eric (mort ou vivant). Je m'étais préparé à cela. Mais l'auteur choisit de répondre à LA question que l'on se pose depuis les premières pages, pour finir avec un twist sans conclusion et qui nous ramène au point de départ d'une certaine façon… J'ai été frustrée, ni plus, ni moins. Comme si, on avait volé ma conclusion à ce roman pourtant si addictif…

Ben oscillera entre réalité et folie jusqu'à la dernière seconde, nous plongeant dans un état de suspicion propice au thriller. Il est attachant et déterminé, souvent à côté de ses pompes mais d'un réalisme qui fait toute la différence. Mener l'enquête avec lui a été un plaisir, malheureusement un peu gâché par la conclusion et des longueurs.
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Une lecture décevante, il m'a fallu une bonne semaine et demie pour lire ce roman qui ne fait pourtant que 448 pages et qui promettait le frisson. Oui bien pour moi pas de frisson au cours de ma lecture mais du découragement en voyant le nombre de pages qu'il me restait à lire. J'ai déjà eu du mal à entrer dans le roman, la mise en place de l'intrigue prend un peu de temps et une fois commencer on ne peut pas vraiment dire que ce roman soit un page-turner. J'ai eu l'impression de faire du yo-yo durant ma lecture mon intérêt ne cessant de s'éveiller quand enfin un évènement se produisait enfin avant de redescendre au cours de la trentaine, quarantaine de pages suivantes où il ne se passe pas grand-chose pour ne pas dire strictement rien de très intéressant ce schéma se répétant presque tout le long du roman. En réalité le seul moment où les pages se sont réellement mises à tourner plus vite fut lors de les dernières 50 pages le rythme s'accélérant enfin, est étant tout de même curieux de connaître le dénouement de cette histoire et avouons l'eut, ravie aussi d'arrivée enfin à la fin de ce roman. Moi qui aime bien les fins claire et nette avec toutes les réponses aux questions que je me pose, on ne peut pas vraiment dire que j'ai été servi avec celle-ci. J'avoue de même avoir manqué pour le coup totalement d'empathie pour Ben, le personnage principal le long de ma lecture ce qui n'a pas aidé non plus a tourné les pages plus vite.
Je reconnais néanmoins que l'écriture de Dathan Auebarch n'est pas désagréable (heureusement car j'aurai sinon je pense abandonner le roman) et que celui-ci a su rendre une ambiance assez oppressante au fil de sa lecture avec ce magasin paraissant si sinistre que je n'ai pas été déçu de quitter en me lançant dans la lecture d'un roman plus léger.

Je remercie les Éditions Belfond et Babelio pour l'envoi de ce roman.
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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
L’espoir agit telle une drogue sournoise, sécrétée par les mots et les pensées, affinée par le temps. Il ne résout rien. Il nous endort et nous rassure jusqu’à absorber notre désespoir dans sa brillante incandescence. Et plus il nous berce d’illusions, plus nous avons tendance à oublier qu’il se trouve lui aussi enfermé dans la fameuse boîte de pandore. C’est la seule horreur du monde à ne pas s’être échappée quand le couvercle a été ouvert. La seule qui vit en nous.
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Mais ce n’était qu’un gamin. Il ne pouvait pas comprendre la peur viscérale qu’on éprouve quand on devient parent. La chair de votre chair se retrouve lâchée dans le monde et vous ne pouvez la protéger qu’au moyen de règles et de mises en garde bien trop faciles à ignorer. Les connexions nerveuses sont si longues qu’un message de détresse mettrait une éternité à vous parvenir, et la douleur vous broie à la seule idée du pire.
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Les enfants ne se laissent pas traumatiser si facilement. Ils décrètent de leur propre immortalité. A que les années passent, toutefois, ils prennent conscience qu’il leur reste de moins en moins à vivre. Difficile de prévoir quand cette prise de conscience les frappera ; disons juste que le Temps trouve toujours le moyen de se rappeler à leur bon souvenir.
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C’était la fonction essentielle de l’espoir, après tout. Anesthésier. Adoucir la réalité, la brouiller juste assez pour nous permettre de continuer à la regarder en face et à avancer, guidés par la conviction que le sol sous nos pas ne peut pas être entièrement recouvert de verre pilé.
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L’espoir agit ainsi : quand tout semble au point mort, il nous propulse avec une telle force qu’on en vient à ressentir le besoin de continuer.
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