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EAN : 9782253097839
320 pages
Le Livre de Poche (30/11/-1)
3.76/5   155 notes
Résumé :
Le mouvement des femmes a fait voler en éclats toutes les idées traditionnelles sur virilité et féminité. Longtemps la masculinité apparut aller de soi. Chaque homme se devait de ressembler à un idéal bien campé dans la culture. Désormais au contraire, les hommes sont amené à s’interroger sur une identité que la formule chromosomique XY ne suffit pas à définir. Dépassant la vieille querelle du féminisme contre phallocratie et machisme, Elisabeth Badinter dessine, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais lu « XY, de l'identité masculine » il y a longtemps, avant de m'inscrire sur Babelio. Ayant réalisé que j'avais mis l'ouvrage en statut « Lu », sans en avoir posté une critique, il fallait que je répare cette erreur.

Joli chalenge. D'abord, parce que l'auteure, Élisabeth Badinter, est hyper connue, agrégée de philo et dotée d'une culture générale qui la conduit à pouvoir émettre un avis autorisé sur tous les sujets qu'elle touche : pouvais-je critiquer un de ses ouvrages ? Ensuite, parce que l'ouvrage est le résultat de 6 séminaires tenus à Polytechnique : pouvais-je, sans être issu de cette école prestigieuse, tenter de critiquer un livre très probablement complexe ? Et puis, que dire de neuf et d'original sur l'identité masculine, un sujet où les poncifs abondent, sachant que le buste musclé d'un guerrier de la Grèce antique (en couverture de l'ouvrage en livre de poche) donnait à voir ce qu'est l'identité masculine, alors même que le sujet fait rage en ce moment à l'Assemblée nationale, laquelle est en plein débat sur le mariage gay, avec en toile de fond la question de la place des homosexuels dans la société d'aujourd'hui ? D'emblée ma critique s'avérait délicate, le sujet étant assez conflictuel. Enfin, quand on sait que pour l'auteure « ce nouvel homme que notre siècle est en train d'inventer » correspond à un « prélude à une forme d'harmonie entre les sexes », comment pouvais-je espérer départager ce qui tient du rêve, de l'utopie ou de l'objectif atteignable ?

Me jetant à l'eau, j'ai découvert un livre extrêmement intéressant, hyper documenté, fourmillant d'extraits d'ouvrages français et étrangers, de toutes natures et de toutes époques, un livre non partisan et parsemé d'explications à caractère scientifique (page 63), avançant pas à pas et très logiquement, dans une démarche à l'évidence fort pédagogique, un livre qui dépasse l'analyse biologique et psychanalytique pour examiner sans tabous et sans interdits tous les aspects de l'identité masculine. Élisabeth Badinter nous montre que s'il y a un idéal masculin « classique » (celui de l'homme fort, dur, solitaire, impassible et viril), il y a aussi d'autres idéaux que ceux que nous renvoient les Rambo, Terminator ou Marlboro. L'identité masculine recouvre selon elle une réalité chaotique, plurielle et conflictuelle : Élisabeth Badinter nous propose donc un idéal d' « homme réconcilié », nouveau modèle masculin, à la fois fort et fragile, laissant de la place au quotidien à des réalités aux différences subtiles. Cet idéal se situe à l'évidence à des années lumières de l'homo erectus, lequel se résume à un être humain doté d'un pénis fonctionnel. Élisabeth Badinter nous propose de déconstruire le modèle « classique », modèle qui a montré ses limites (pour être un homme, un vrai, il fallait faire ses preuves, passer par des rites d'initiation, accepter le bizutage, faire du rugby ou tout autre sport violent, et il y avait parfois des ratés) et de libérer l'homme de son angoisse identitaire en le réconciliant avec sa vraie nature qui est celle d'un être androgyne qui souhaite vivre en harmonie avec ses semblables (les autres hommes et les femmes), dans une plénitude marquée par la disparition de l'oppression des mâles envers les femmes.

Le schéma proposé par Élisabeth Badinter séduit par son ambition et par sa spécificité, mais est-il réaliste ? le diable est souvent dans les détails. Exemple : dans un contexte où les familles monoparentales abondent, comment construire cette identité masculine nouvelle chez le père et chez le fils ? Dans un contexte où la pression sociale conduit nombre de pères à être assez peu « présents » au foyer, comment construire cette identité masculine nouvelle, sachant que cette « absence » du père conduit, selon certains auteurs, à produire inévitablement des fils manqués ? Et puis comment construire cette identité masculine nouvelle quand l'enfant mâle a deux parents de même sexe ? Et comment la construire sans aboutir à un déni d'identité, l'homme étant identique à la femme dans une absence criante de dualité, dans un effort délibéré de neutralité ?

Non, je crois qu'il ne s'agit pas seulement de chromosomes et d'idéaux fantasmés : la femme a vu, dans nos sociétés occidentales, son espace de liberté s'accroitre sous la pression de bouleversements idéologiques, économiques et sociaux, et c'est louable, mais faut-il pour autant adhérer au gommage complet des différences, à une banalisation des rôles qui irait bien au-delà de la dépossession par l'homme et par la femme des « pouvoirs » qu'on leur aurait attribués ou qu'ils se seraient respectivement consentis ? Dans un monde où la femme est de plus en plus au travail, où elle exerce des métiers autrefois dévolus à la gente masculine, la femme ne cherche pas seulement à être l'égal de l'homme : elle souhaite une reconnaissance objective, équitable et durable, que ce soit en termes de rémunération ou de considération, et ça ne passe pas forcément par un brouillage des repères ou par la marginalisation de son « rival » masculin. Au final, si l'identité masculine résulte d'un processus lent et complexe, processus qui peut connaitre des ratés, la modification du cours des choses me parait relever de l'utopie. La société peut évidemment et devrait veiller à mettre en oeuvre des atténuateurs de conflits entre hommes et femmes, sans pour autant qu'il y ait obligation de remettre en cause le processus d'individuation et de construction identitaire, que ce soit chez la femme ou chez l'homme. le principal, c'est bien que l'être humain (qui n'est pas un ange puisqu'il est sexué) soit heureux, et ça n'est pas en déshabillant Pierre qu'on habillera Paul ! Un livre intéressant, encore actuel, à lire par les deux sexes ...
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Essai sur la masculinité, thème qui est rarement proposé, écrit il y a plus de 25 ans.
Elisabeth Badinter nous offre ici une conférence digne de Polytechnique. le livre se construit avec deux grandes parties, divisées en chapitres:

- Construire un mâle
Je n'ai pas adhéré aux écrits concernant l'identité masculine, le dualisme sexuel et la différenciation masculine.
Des chapitres sont trop empreints de cours magistraux dans laquelle je ne me suis noyée.
Ma définition de l'homme ne s'arrête pas aux champs chromosomiques.
J'ai trouvé la partie "un homme engendre un homme", bien plus intéressante et fascinante. L'homme contrairement à la femme ne devient pas un homme grâce à des changements hormonaux, type menstruations ou poitrine. C'est un cheminement bien plus complexe et voir comment cela a été abordé dans l'histoire est très intéressant.
L'identité et préférence sexuelle également est rondement menée car présentée aussi dans l'histoire avec des notions sur l'homosexualité bien différente d'aujourd'hui. L'initiation masculine dans l'histoire.

- Etre un homme
Tous les écrits, l'homme dur, l'homme mou, l'homme mutilé sont très intéressants car ils sont marquées par une virilité brute, plus nuancée, voir inexistante.
Par contre tous les écrits concernant l'homosexualité me semble à notre époque un peu désuets.

En somme, un essai qui méritait d'être écrit mais qui est un peu dépassé par l'avancement du statut de l'homme dans notre société occidentale.
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C'est un défi Babelio qui m'a fait enfin lire ce classique de la sociologie. J'avais peur que le texte soit daté (il a été publié en 1992) mais l'homme nouveau étant toujours en gestation, la plupart des propos restent pertinents, d'autant que cet essai puise également dans la psychologie et l'histoire. J'ai notamment appris que les Précieuses (pas si ridicules) du 17e siècle ont été les premières à remettre en question le rôle des hommes et de l'identité masculine.

On pourrait reprendre la célèbre phrase de Simone de Beauvoir et dire « On ne naît pas homme, on le devient » : « Il est plus facile de faire une femme qu'un homme. de la conception d'un XY à la masculinité adulte, le chemin est semé d'embûches ». On n'en est pas forcément consciente en tant que femme, mais « le petit garçon se définit avant tout négativement. La masculinité, c'est ce qui n'est pas féminin ». Il paraît d'ailleurs que le programme embryonnaire de base est orienté de façon à produire des femelles : « Le seul rôle de l'Y est de détourner la tendance spontanée de la gonade embryonnaire indifférenciée à organiser un ovaire et de la forcer à produire un testicule ». Au passage, il y a dans ce chapitre un texte très moderne sur l'identité sexuelle (« Aussitôt né, nous apprenons au bébé par le geste, la voix, le choix des jouets et des vêtements, à quel sexe il appartient. Mais on ne prend vraiment conscience de l'influence de ce phénomène d'apprentissage que lorsque le sexe de l'enfant pose des problèmes ». A ce sujet, je vous recommande le roman le choeur des femmes de Martin Winckler).

Pour devenir un homme, le petit garçon devra se différencier de sa mère qui l'a porté pendant neuf mois et, le plus souvent, élevé dans ses jeunes années. Il se construit donc par opposition. A la différence des filles que les premières menstruations font passer naturellement à l'état de femmes, les garçons doivent passer par un processus éducatif pour devenir hommes (d'où les rites d'initiation dans de nombreuses cultures). Il s'agit de rompre avec la faiblesse et la dépendance de l'enfance. L'autrice consacre de longs passages à l'homosexualité, ses origines supposées et ses conséquences sociales.

Dans la construction de la masculinité, l'importance du père est primordiale. Or il est bien trop souvent absent (physiquement) ou tout au moins distant (affectivement). La masculinité a longtemps été réduite à « l'homme-dur » (dont le cow-boy est l'un des symboles), hyper viril, agressif et misogyne. A l'opposé s'est développé « l'homme-mou » passif et soumis, dépendant de la femme (mère puis épouse) qui « l'a dressé pour faire tout ce qu'elle veut » au point qu'elle finit par ne plus le respecter. Si le premier est un mythe, un idéal masculin fatal à l'homme lui-même, le second l'enferme dans un malaise identitaire créant angoisse, difficultés affectives, peur de l'échec et comportements compensatoires destructeurs (comme l'alcool). Ce sont les pères « manquants » qui engendrent tous ces fils « manqués ». L'absence d'attention paternelle a en effet pour conséquence d'empêcher le fils de s'identifier à lui et d'établir son identité masculine.

Les pères ont donc un rôle fondamental à jouer dans l'invention de cette autre masculinité plus équilibrée, compatible avec la féminité sans se dénaturer. Objectif : une humanité réconciliée… le défi est entre les mains des nouvelles générations !
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Il y a moins de livres « gender studies » sur la masculinité que sur la féminité. Aussi faut il saluer cet ouvrage de E. Badinter, surtout qu'il est déjà ancien.

Elle propose une réflexion sur la masculinité en regard de la féminité, mais aussi en regard de ses contradictions et déchirures internes (homme dur / homme mou). Badinter fait également de longs détours par la biologie, un peu dépassés aujourd'hui tant les savoirs sur les chromosomes et les processus de sexuation humaine ont progressé ces dernières années. Elle finit par parler de « crise » de la masculinité, et là je n'ai pas réussi à la trouver convaincante.

Un livre qui a le mérite d'exister, et qui a sans doute contribué à développer le champs d'études sur la masculinité. Dommage que les réflexions apportées soient un peu dépassées aujourd'hui.
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C'est extrêmement intéressant ! On apprend et on réalise une foule de choses. Elisabeth Badinter nous parle de la protoféminité, c'est-à-dire que l'être humain qui se conçoit, le nouveau-né, est en fait premièrement féminin, de par la présence des gènes du chromosome X, de par son origine située dans un ventre féminin, par le contact fusionnel avec la mère dans ses premiers mois, ... On pourrait dire "l'Homme est avant tout femme". Ensuite, toute la complexité résidera justement dans la construction de l'identité masculine, tâche qui incombe au petit garçon, alors que le modèle est déjà façonné chez la petite fille ! le garçon ne naît pas, il doit être créé. Dans de nombreuses sociétés existent des rites de passage qui se doivent de 'matérialiser' ce passage nécessaire au statut d'homme (alors que pour les filles, des évènements physiologiques plus nets sont là pour l'avertir qu'elle devient une femme pouvant être mère...). L'auteur(e) nous parle donc admirablement bien de la différenciation masculine, des rites d'initiation, de la pédagogie homosexuelle, de l'homophobie et ses causes, de l'homme mutilé, et enfin de l'homme réconcilié !

Bref ce livre est passionnant !! A lire par les deux sexes bien sûr !!
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
p 272
[...] A ce jour, les pères qui offrent à leur fils une image d'homme réconcilié sont encore des exceptions. Comment s'en étonner ? Il faut être ignorant des problèmes identitaires pour croire qu'une même génération d'hommes, élevée dans l'ancien modèle, réussirait d'un coup le triple saut périlleux : la remise en question d'une virilité ancestrale, l'acceptation d'une féminité redoutée et l'invention d'une autre masculinité compatible avec elle. Ce n'est pas parce qu'on conteste l'identité de ses pères qu'on est prêt psychologiquement à se réconcilier avec sa féminité. Ni parce qu'on a accepté celle-ci, que l'on a découvert la virilité qui vous sied. Surtout lorsque ce mot est devenu l'objet de tant d'interrogations et de polémiques. [...] Les femmes, qui observent ces mutants avec tendresse, retiennent leur souffle ...
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L'angoisse des hommes devant la Nouvelle Eve a d'autres sources qui la confortent.

De plus en plus nombreux à travailler en usine à des tâches mécaniques et répétitives,
ou dans l'administration au train-train monotone,
les hommes ne trouvent plus dans le travail de quoi mettre en valeur
leurs qualités traditionnelles.

Ni force, ni initiative, ni imagination ne sont plus nécessaires pour gagner sa vie.
Barrès peut se moquer des fonctionnaires,
ces "demi-mâles" qui n'aspirent qu'à la sécurité, comme des femmes,
et les opposer à ceux de jadis qui vivaient "le fusil à la main",
dans "le corps à corps viril avec la nature".

La crise de la masculinité est à son pic.
C'est la guerre, hélas, qui mettra fin momentanément à l'angoisse masculine.

Retrouvant leur rôle traditionnel de guerrier,
ces pauvres jeunes recrues partiront au front la fleur au fusil,
comme s'ils se réjouissaient de l'occasion donnée d'être enfin des hommes, des vrais...
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En se fondant chacun sur le principe du déterminisme biologique,
sociobiologie et féminisme différentialiste parviennent à un résultat similaire :
l'un est toujours valorisé aux dépens de l'autre.

Dans cette optique, hommes et femmes n'ont plus à se rencontrer
que le temps de l'insémination...

L'essentialisme aboutit nécessairement à la séparation et au pire : à l'oppression.
Il ne peut offrir qu'une perspective limitée de la nature et des potentialités humaines.

Tout est inscrit à l'avance, sans possibilité de changements ou de création.
Prisonniers d'un schéma prédéterminé et même surdéterminé,
homme et femme se retrouvent condamnés à perpétuité à jouer les mêmes rôles.

A recommencer éternellement la même guerre.
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Avant la guerre de Sécession (1861-1865), 88% des hommes étaient fermiers,
artisans ou commerçants indépendants.
En 1910, moins d'un tiers des Américains vivaient encore de cette façon.

L'industrialisation avait très vite imposé ses contraintes
- tâches mécaniques, routinières et parcellaires -
et les travailleurs étaient dépossédés de tout contrôle
sur l'organisation et les résultats de leur travail.

Comme en Europe, cette mutation économique s'accompagna
d'un bouleversement de la vie familiale et des valeurs
qui surexcitait l'angoisse des hommes.

Obligés de travailler de plus en plus loin de leur foyer,
ils durent abandonner l'éducation de leurs enfants
à l'entière responsabilité de leurs épouses.

La paternité devint "une institution du dimanche",
et la nouvelle virilité fut identifiée au succès symbolisé par l'argent.
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La fin du XIXe siècle, remarque Jacques Le Rider,
se caractérise par une recrudescence des ouvrages diffamatoires pour le sexe féminin.

Après les philosophes, ce sont les psychologues et les biologistes
ainsi que les historiens et les anthropologues
qui font preuve d'un antiféminisme extrêmement violent.

Tous s'emploient à démontrer, avec succès, l'infériorité ontologique de la femme.
La femme est proche de l'animal et du nègre :
elle est portée par ses instincts primitifs, jalousie, vanité, cruauté.

Mais comme elle a l'âme enfantine et que la nature l'a dotée de l'instinct maternel
(qu'elle partage d'ailleurs avec toutes les femelles mammifères),
sa seule véritable vocation est la maternité.

Par conséquent, toutes les femmes qui se disent émancipées sont de mauvaises mères : de grandes nerveuses au corps dégénéré...
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