Bon ben un Caldwell de base. Un peu moins mirobolant et fringuant que les autres mais il tape toujours dans le mille. Je retiens cette facilité à faire vivre des personnages simples, touchants, sensibles qui luttent dans une vie qui ne leur offre pas de cadeaux. Pour certains, quelques litrons de bibine dans le sang les aident à surmonter ce beau merdier.
Un bon moment de lecture avec de belles répliques et dialogues mais comme me disait Mme Dacharry ma prof de français en 6eme sur mon bulletin: "peut mieux faire".
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C'est vrai, Maud, dit-il avec un signe de tête convaincu. On ne peut pas tout le temps déraciner comme ça un homme pour le replanter aux quatre coins du pays...et espérer en plus qu'il s'estimera heureux pour le restant de ses jours.
Erskine Caldwell à propos de "
Les braves gens du tennessee"
Erskine CALDWELL, interviewé par
Pierre DUMAYET, parle, en
anglais, de son livre "
Les braves gens du tennessee" et à travers ce
roman, du
racisme dans le Sud des Etats-Unis, de la haine des blancs envers les noirs, de
la violence. Malentendu entre DUMAYET et CALDWELL à propos d'un cabriolet rouge. Présence d'un traducteur.