AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782330019761
192 pages
Actes Sud (05/06/2013)
3.68/5   318 notes
Résumé :
Une toute jeune fille comprend difficilement les derniers mots de sa mère mourante, mais n'ose lui faire répéter. Pourtant voilà Sandra-Cendrillon liée à cette phrase : "Tant que tu penseras à moi tout le temps, sans jamais m'oublier plus de cinq minutes, je ne mourrai pas tout à fait." Joël Pommerat part du deuil et de ce malentendu pour éclairer le conte d'une nouvelle lumière.
Que lire après CendrillonVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
3,68

sur 318 notes
5
12 avis
4
14 avis
3
6 avis
2
1 avis
1
0 avis
J'adhère totalement à cette interprétation moderne de Cendrillon.
Les personnages allient à merveille modernité et caractéristiques classiques du conte : la très jeune fille culpabilisante, les soeurs fainéantes et accros à leur portable, la belle-mère obsédée par la jeunesse, le père craignant la solitude. La façon de s'exprimer m'a également plu, mélange de modernité, préciosité et vulgarité. le décor aussi : la maison de verre, froide et moderne. L'appropriation des éléments du conte : l'heure/la montre, la chaussure, la robe, la fée... Je l'aime bien celle-là d'ailleurs, la fée! Complètement à côté de la plaque et s'obstinant à faire de la magie humaine, de la magie fausse qui foire à chaque fois.
Je suis ravie d'aller prochainement voir la pièce!
Commenter  J’apprécie          700
Imaginez une scène de théâtre sur laquelle est jouée – Cendrillon -, la pièce de Joël Pommerat.
Dites-vous ensuite que vous avez affaire à un dramaturge qui a pour credo :
" Je n'écris pas des pièces, j'écris des spectacles. le texte c'est ce qui vient après, c'est ce qui reste après le théâtre. le théâtre se voit, s'entend, Ça bouge, ça fait du bruit. le théâtre c'est la représentation."
Et pour mettre en pratique cette profession de foi, Joël Pommerat " métamorphose le plateau " faisant appel à des jeux de lumière nombreux, changeants, stroboscopiques, un bruitage où les voix sont relayées par des micros HF, à la musique, au chant, à la danse.
Des images s'invitent par l'intermédiaire de la vidéo pour "faire fusionner tous les arts de la représentation afin de susciter l'émerveillement soutenu par le rythme du spectacle et sa beauté plastique."

Dites-vous ensuite que Pommerat écrit conjointement texte et mise en scène.
Explication : " Pommerat a développé un processus d'écriture dont la première étape est la scène. Il n'écrit pas le texte avant les répétitions. Il écrit avec la scène " instant par instant ", c'est-à-dire en partant de la présence des acteurs en interaction avec l'espace, la lumière et le son, qui sont simultanément élaborés pour atteindre la plus grande justesse possible.
Les premières notes de - Cendrillon – datent de mai 2010. le processus de création s'est ensuite étalé de mai à octobre 2011. En mai a eu lieu à Bruxelles un stage-casting afin de choisir la distribution. Pendant ce stage, certains membres de l'équipe artistique ( vidéo, musique ) ont aussi commencé à explorer avec Pommerat, dont ils avaient lu les notes, quelques éléments spectaculaires. Mais l'entrée en écriture s'est vraiment concrétisée lors d'une deuxième étape de travail en juillet avec les acteurs et l'équipe. La recherche a continué pendant une troisième session de répétitions au Théâtre national de Bruxelles en septembre et jusqu'à la première. Ainsi, Pommerat écrit texte et spectacle conjointement. Dans les jours qui suivent la première, il continue d'ailleurs à les modifier à l'épreuve des représentations et du public."

C'est dire si lorsque vous avez le texte entre les mains vous réalisez qu'il vous manque tout ou partie de l'essentiel, et ce même si l'on rassure le lecteur que vous êtes par une phrase du genre " le texte possède cependant une valeur propre qui rend possible sa lecture et son analyse..."

Soit, on n'a pas le choix... place à la découverte du texte.
Pommerat écrit ou réécrit des contes.
Parce que le conte " relève d'une tradition orale et communautaire "
"Un conte, c'est une durée, celle d'un récit, et c'est un état d'être ensemble. Pour être ensemble, si je veux intéresser le spectateur et être avec lui, je vais travailler sur ses représentations. C'est une forme de stratégie. Je suis un conteur, je vais agir avec son imaginaire."
Et chaque spectateur apporte sa part d'imaginaire.
Contrairement aux idées reçues, le conte ne s'adressait pas originellement aux enfants.
Et si Pommerat les a "expérimentés" avec ses propres filles, il a très vite compris que " ces histoires ont imprégné son caractère et influencé des choix importants de son existence."
Ses contes lui permettent de " jouer à retrouver ce que c'est, vraiment, souffrir, éprouver sans subir...Il invite les spectateurs à expérimenter ce qui dans la vie les terrasserait : la peur, le mal, la mort etc."

L'histoire est contée à partir d'un narrateur ; le narrateur étant un guide qui nous invite à entrer dans l'histoire, un accompagnateur éclairé et bienveillant qui aiguise nos appétits et tempère nos tempêtes.

Dans cette version de - Cendrillon – revisitée par Pommerat, le narrateur est une narratrice, dont la voix off est dotée d'un accent italien ( précisé dans les notes ).
Cette version est plus proche de celle des frères Grimm que de celle de Perrault en ce sens que tout part de la mort de la mère de Cendrillon et de ce qui résulte de dette mort.
Cendrillon alias Sandra dite Cendrier ( surnom donné par ses soeurs car Sandra empeste le tabac ; son père fume en cachette de sa future femme et " compromet " sa fille, de même que la fée qui n'arrive pas à se déprendre de cette addiction ) perd sa mère et va être soudain confrontée à la mort et au deuil impossible.
Avant de mourir sa mère lui a murmuré à l'oreille des mots que la " très jeune fille " ( ainsi désignée dans la pièce ) a mal interprétés :
-"Ma petite fille , quand je ne serai plus là il ne faudra jamais que tu cesses de penser à moi. Tant que tu penseras à moi tout le temps sans jamais m'oublier... je resterai en vie quelque part."
Ce à quoi Sandra répond :
-" Maman, je te promets que je penserai à toi à chaque instant. J'ai très bien compris que c'est grâce à ça que tu mourras pas en vrai et que tu resteras en vie dans un endroit secret invisible tenu par des oiseaux.
J'ai très bien compris que si je laissais passer plus de cinq minutes sans penser à toi ça te ferait mourir en vrai. Ne t'inquiète pas maman, je ne te laisserai pas mourir en vrai, tu peux compter sur moi. Tous les jours, à chaque minute et pendant toute ma vie, tu seras dans mes pensées...N'aie pas peur."
Dès lors Sandra s'enferme dans ce processus de deuil impossible que beaucoup connaissent... Lorsque j'ai perdu ma fille aînée et que je courais un semi-marathon, je demandais que le speaker prononce au franchissement de la ligne d'arrivée le nom de ma fille défunte, j'ai pas mal de bouquins qui ont été dédicacés par André Velter, Atiq Rahimi, Chahdortt Djavann etc au nom de ma fille, tous les 1ers décembre moi l'agnostique je faisais dire une messe pour elle qui était athée afin que le prêtre dise son nom... je ne voulais pas la laisser vraiment mourir... et comme la Cendrillon-Sandra de Pommerat, j'aurais très bien pu acquérir une montre qui sonne toutes les cinq minutes nuit et jour pour être sûr de ne pas cesser de penser à elle.
Sandra vit donc son deuil impossible dans la dépréciation d'elle-même et dans la culpabilité, n'étant pas forcément à la hauteur de sa promesse.
Vient très vite le jour où son père lui annonce qu'il veut refaire sa vie.
Tous deux partent vivre dans la maison de verre de celle qui va être la future épouse et la belle-mère, laquelle a deux filles, " soeur la grande " et " soeur la petite ".
On loge Sandra au sous-sol dans une pièce délabrée, sans fenêtre, avec pour tout mobilier un vieux lit, une armoire et une chaise.
On lui confie toutes les tâches domestiques les plus ingrates qu'elle accueille avec la gratitude des pénitentes.
Le temps passe... un beau matin la famille reçoit une invitation du Palais royal pour une réception en l'honneur du " très jeune prince ".
Alors que la belle-mère et les deux soeurs ne se sentent plus de joie, Sandra fait la connaissance de sa fée. Une fée blasée qui, bien qu'immortelle, meurt d'ennui depuis 300 ans et pimente sa vie de fée en troquant la magie magique contre la magie amateur ; l'échec de ses tours de magie pimente sa vie...

Tous les éléments du conte ( la souffrance de Cendrillon, le bal, la rencontre avec le prince, le soulier ) sont là mais repris ou redistribués à la façon Pommerat.
J'ai précédemment évoqué sa vision très personnelle de la fée, le prince n'est pas un prince charmant mais un enfant grassouillet prisonnier lui aussi d'un deuil impossible... Il y a des trouvailles qui mettent en scène la chirurgie esthétique, une vision des oiseaux très " verrière " etc... le tout ponctué par des dialogues écrits dans une langue contemporaine, parfois vulgaire, presque toujours " orale ", mais enlevée, alerte et percutante.
Bien évidemment les interprétations possibles sont multiples et on ne peut manquer de se référer à Freud, à la psychanalyse, à Bettelheim...

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette pièce, qui m'a touché et fait sourire tout autant.
Ce conte est revisité avec verve, émotion, talent et vous rappelle que les bons contes gardent leurs amis.
Compte tenu de ce que j'ai repris dans ma longue introduction, c'est plus que beaucoup d'autres une pièce à voir sur scène.



Commenter  J’apprécie          492
"A peine sortie de l'enfance, une jeune fille s'est tenue au chevet de sa mère gravement malade. Quelques mots prononcés à mi-voix par la mourante et peut-être mal entendus par sa fille et voilà celle-ci liée à la mort, tenue à un rôle, penser à sa mère jusqu'à la fin des temps, sans quoi celle-ci mourra pour de bon. La petite s'inflige les pires fardeaux pour se punir d'oublis ponctuels, elle nettoie tout ce qu'elle peut nettoyer, elle range tout ce qu'elle peut ranger, elle devient la bonne à tout faire de la maisonnée, assouvissant une pulsion masochiste qui consiste à faire tout ce que sa mère faisait et même au-delà. C'est à ce prix qu'elle ne l'oubliera pas, sinon sa mère mourra une seconde fois.

« C'est peut-être parce que comme enfant j'aurais aimé qu'on me parle de la mort, déclare l'auteur » que le projet de ce spectacle est né. Les enfants, infans, ceux qui ne parlent pas, sont victimes des mots des adultes « elle est morte ta mère, lui assène sa belle-mère, on ne parle plus de ta mère ici », tout ça ce sont des histoires de gosses pense le père de Sandra, la cendrillon de ce conte moderne, lui qui veut refaire sa vie comme on dit. Il faut tourner la page, aller de l'avant, arrêter les rêvasseries et entrer dans la réalité ; mais justement le passé ne passe pas. Dans les rêves, véhicule de notre mémoire profonde, le temps n'existe pas, les malentendus ont la vie dure. Comment parler de la mort aux enfants ? que veut dire « le travail de deuil », est-il possible ? Dans cette histoire revisitée par Joël Pommerat tout le monde ment, le jeune prince du conte a lui aussi perdu sa mère très jeune. Son père, le roi, entretient l'illusion du retour de son épouse auprès de son fils et lui promet un appel téléphonique qui, bien évidemment n'arrive jamais. Voilà comment la vie de ces deux jeunes gens s'est arrêtée.(...)"
Sylvie Boursier dans Double Marge (Extrait)
Commenter  J’apprécie          430
S'imaginer une maison, une prison
de Verre où s'écrasent des cadavres d'oiseaux morts.

Descendre des cendres de sa mère
Morte
Recueillir les cendres de la cigarette - de son père
Qui se consume

Accomplir sa liste de tâches :

Sortir les poubelles
Décrasser le four,
Déboucher les chiottes
etc.

C'est la vie
de merde
de Sandra-Cendrier-Cendrillon.
Commenter  J’apprécie          492
Une narratrice très âgée raconte l'histoire d'une jeune fille, peut-être elle-même. C'est l'histoire de Sandra, qui toute jeune, a perdu sa maman de maladie.
La maman affaiblie n'a qu'un murmure pour s'adresser à sa fille qui comprend de travers ce que sa mère lui dit juste avant de mourir. Sandra croit qu'elle arrivera à garder sa mère en vie si elle pense continuellement à elle.

Elle demande alors à son père de lui offrir une montre pour ne pas perdre de vue sa mission. La peur d'oublier de penser à sa mère la rend angoissée. Elle en perd sa joie de vivre.

Le père rencontre une femme qui a 2 filles (la marâtre et les 2 harpies). Elles habitent dans une maison de verre. Il envisage sa vie avec elles.

L'installation se fait sur le mode agressif envers le père et Sandra. Sandra montre l'album photo de ses parents. Tout le monde s'énerve et Sandra est installée dans une cave. Ce sera sa chambre.

Le ton est au dénigrement. le père est embarrassé, mais il veut refaire sa vie. La marâtre n'accepte pas le comportement de Sandra et la robe fétiche de sa mère. Elle la lui enlève, ce qui rend sa vie supportable.

Alors, Sandra se réfugie dans son monde et finit par en oublier de penser à sa mère et se dit qu'elle mérite d'être punie. La punition va venir des soeurs et de la belle-mère. Celle-ci décide que les filles seront de corvée de ménage. Mais Sandra pour se punir elle-même accepte l'infamie.

Entre en scène une fée, décalée, mais soucieuse de Sandra. L'entrée en scène de la fée est rock'n'roll ! Pièce moderne oblige ! C'est très drôle et rude à la fois dans les dialogues. Elles se critiquent l'une l'autre, c'est savoureux, une vraie joute verbale. Sandra finit par virer la fée de sa chambre.

Plus tard, la famille est tirée au sort pour la fête d'anniversaire du Prince. Branle-bas de combat pour la belle-mère qui se voit en représentation au top de ses atours ! Seulement voilà, elles sont en total décalage et vont à la fête en costume, période LOUIS XIV.

La fée réapparaît et pousse Sandra à aller à la fête pour s'amuser et l'aide dans ce sens. Sauf que ses pouvoirs sont aléatoires !

La suite ? le prince croit que sa mère est en voyage alors qu'elle est décédée. Son père l'a persuadé de se montrer à cette fête d'anniversaire pour voir du monde.

Deux êtres en souffrance, en manque de leur mère, une rencontre d'adolescents... Sandra et le Prince se croisent et discutent. Mais il ne sait pas qui elle est.
La belle-mère va tenter de faire croire que le prince a été séduit par elle. Elle tente de le persuader directement. Personne n'est dupe !

Une seconde soirée est organisée et c'est la fée qui va sauver la mise, ou la vie, de Sandra. La seconde rencontre entre Sandra et le prince va être le début d'un chemin de résilience pour eux. Dans un dialogue sans détour, ils vont s'aider à faire le premier pas vers l'acceptation.

Pièce très moderne, axée sur la psychologie des personnages et leur côté obscur. C'est aussi une pièce sur le thème de la résilience.





















Commenter  J’apprécie          240

Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Et ces moments-là non plus elle ne les oublia jamais. Même après que la vie les a éloignés l'un de l'autre, le très jeune prince et la très jeune fille s'écrivirent. Ils s'envoyèrent des mots même de l'autre bout du monde, et ça jusqu'à la fin de leur existence. Voilà, c'est fini. Même les erreurs ont une fin heureusement. Alors moi, je me tais et je m'en vais.
Commenter  J’apprécie          370
SOEUR LA PETITE (entrant). Maman.
LA BELLE-MERE. Quoi, espèce detriste nouille ?
SOEUR LA PETITE. Maman, y a quelqu'un qui est là, à la porte...
LA BELLE-MERE. Qu'est-ce qu'on s'en fout de qui est là, à la porte ?!
SOEUR LA PETITE. Ben c'est quelqu'un qui...
LA BELLE-MERE. T'as que ça à foutre toi, de traîner près de la porte ? En attendant que quelqu'un vienne nous emmerder ?
SOEUR LA PETITE. Maman, il prétend que...
LA BELLE-MERE. Et tu vois pas qu'on s'en fout, de ce qu'il prétend ?
SOEUR LA PETITE. Il dit qu'il est le roi et qu'il voudrait te parler... En plus il lui ressemble comme sur les photos...
Commenter  J’apprécie          150
Les mots sont très utiles, mais ils peuvent être aussi très dangereux. Surtout si on les comprend de travers. Certains mots ont plusieurs sens. D'autres mots se ressemblent tellement qu'on peut les confondre.
C'est pas si simple de parler et pas si simple d'écouter.
(p. 9-10)
Commenter  J’apprécie          320
La fée: J'ai décidé de plus me servir de mes pouvoirs de fée pour faire des tours de magie mais de les faire en apprenant les trucs dans les livres comme les vrais magiciens...qui font des trucs faux

La très jeune fille: A quoi ça sert de faire ça

La fée: C'est plus marrant, ça peut rater, du coup, quand je réussis, je suis folle de joie, je saute partout, je suis comme une folle
Commenter  J’apprécie          110
La jeune fille
Je crois que des fois dans la vie, on se raconte des histoires dans sa tête, on sait très bien que ce sont des histoires, mais on se les raconte quand même.
Commenter  J’apprécie          250

Videos de Joël Pommerat (18) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Joël Pommerat
C à vous https://bit.ly/CaVousReplay C à vous la suite https://bit.ly/ReplayCaVousLaSuite — Abonnez-vous à la chaîne YouTube de #CàVous ! https://bit.ly/2wPCDDa — Et retrouvez-nous sur : | Notre site : https://www.france.tv/france-5/c-a-vous/ | Facebook : https://www.facebook.com/cavousf5/ | Twitter : https://twitter.com/CavousF5 | Instagram : https://www.instagram.com/c_a_vous/ Au programme de C à vous la suite : Invité : Joel Pommerat - Auteur, metteur en scène • Les Contes et Légendes de Joël Pommerat • La fable futuriste de Joël Pommerat • Retour vers le futur avec Joël Pommerat • Les drôles de robots de Joël Pommerat • Joël Pommerat, des ados et des robots • La troupe de femmes de Joël Pommerat L'Oeil de Pierre Lescure - le monde d'après au cinéma Invité : Christophe Dechavanne • Christophe Dechavanne, son livre confession • Famille, excès, télé : Christophe Dechavanne dit tout ! • Les confessions de Christophe Dechavanne • Christophe Dechavanne : Coucou, c'est lui ! • Christophe Dechavanne : Ciel, mon bouquin ! • Christophe Dechavanne raconte les coulisses impitoyables de la télé • Dechavanne : sortez couverts ! • Dechavanne, pionnier de la diversité ? • Dechavanne à 100 à l'heure • Christophe Dechavanne, 40 ans d'émissions cultes • le canular de Dechavanne Invitée : Marine Chagnon - Mezzo, soprano Live : “On me nomme Héléne la blonde” • Marine Chagnon, la voix royale • Marine Chagnon, tout pour la musique • Marine Chagnon, la nouvelle star de l'Opéra L'ABC - L'année de Bertrand Chameroy • Ce que vous ne verrez pas ce soir • le temps passe à une vitesse : le re doux est là et ses reportages passionnant ! • le petit-guide pour être porte-parole au gouvernement • L'orthophoniste du Sénat a son agenda rempli pour les 6 prochains mots • Découvrez le nouveau jeu de Matignon : “A prendre ou à laisser”
+ Lire la suite
autres livres classés : théâtreVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (684) Voir plus



Quiz Voir plus

Cendrillon (pièce de théâtre de Joël Pommerat)

Dans quel type de maison habitent la belle-mère de Sandra et ses deux filles ?

Une maison en acier
Une maison en bois
Une maison en paille
Une maison en verre

12 questions
96 lecteurs ont répondu
Thème : Cendrillon de Joël PommeratCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..