j'admire beaucoup la chine de jadis, elle a connu depuis longtemps une prosperité et un developpent sur plusieurs domaines dailleurs la muraille ne cessera jamais de me fasciner, la production du papier, l'organisation de l'armée de la terre cuite
bref j'aime beaucoup lire sur la chine et ce livre a été une sacré decouverte et en plus c'est sur un personnage qui a réellement existé; fredrick ward appellé le diable blanc c'est comme ca qu'on appellait les etrangers en chine ce jeune personnage avait une passion pour l'armée, combat, dailleurs il a postulé pour l'ecole de formation west point ou il a été refusé si je me souviens a cause de sa petite taille ca été un choc pour lui mais malgrés ca il n'a pas laché prise et ca n'a pas diminué son amour pour l'armée donc il s'est engagé dans des combats qui ne le regardait pas il est allé en chine, il a organisé une armée de chinois pour les former afin de faire face a l'armée de rebelle qui s'est levée contre la dynastie régnante a cette epoque 1860; il va passer par des hauts et des bas il va pas desesperer on dirait il combat pour son propre pays
c'est un personnage qui n'est pas bien connu mais il est vraiment exceptionnel j'ai vraiment aimé ce livre
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Ce n'est pas ma tasse de thé, même en provenance directe de Chine. Ce document plus qu'un roman ou même une biographie n'a pas été totalement sans intérêt. En effet, il m'a permis de décrouvrir une partie historique de la Chine. La lecture permet dans certains cas de découvrir des pans de l'histoires. La lecture d'un livre n'est jamais totalement inutile, on retire toujours quelque chose de positif.
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Tres bon livre historique
On nous place dans le contexte de la chine au environ de 1850...vraiment bien autant pour l'homme que pour l'histoire de la chine.
On rentre tres bien dans cette histoire vraie. Il permet de découvrir la Chine de cette époque avec les moeurs ,coutumes et la vie d'un blanc parmi les Chinois.
Une belle découverte
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Ses revolvers étaient appréciés dans le monde entier, et des aventuriers comme Ward n'avaient pas peu contribué à cette popularité. Les modèles les plus vendus étaient le Colt Dragoon - un calibre 44 à six coups équipé d'un canon long de dix-huit centimètres - et l'Old Model Navy Pistol. Créé en 1851, ce calibre, 36 était plus léger (puisqu'il ne pesait qu'un peu plus d'un kilo) et plus sûr que le Dragoon. C'était le "pistolet de ceinture" le plus recherché au monde, et l'arme préférée des duellistes.
Dans ces occasions, il dépensait sans compter, offrant le champagne (une des boissons les plus communes à Shanghai) à des auditoires d'hommes sans le sou à qui il parlait de solde élevée et de pillage.
On pouvait acheter et vendre des enfants, torturer et exterminer des dizaines de miliers d'être humains; les hommes riches pouvaient se faire les émules de l'empereur en s'offrant des dizaines de concubines tandis que leurs épouses dépérissaient dans une servitude misérable: les dirigeants impériaux avaient le droit d'user de la plus folle duplicité pour atteindre les objectifs de leur maître.
(Le commandant ) répondit que ses hommes ne savaient pas s'en servir, et qeu ces armes devenaient inutiles quand on était à court de munitions ou que le mécanisme était cassé. Les sabres et les lances étaient rarement hors d'usage, ajouta-t-il, ils étaient faciles à réparer et ses hommes étaient toujours venus à bout des impériaux grâce à ces armes.
A l'origine comprador (agent indigène) pour la grande firme occidentale de Shanghai, Jardine, Matheson and Company, Yang avait bâti une fortune qui lui avait permis d'acheter un mandarinat ainsi qu'une jeune et belle épouse. (La vente de fillettes était encore très répandue en Chine).
L’ALIÉNISTE, saison 1 - Bande Annonce VF (2018)