AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782226044013
Albin Michel (30/11/-1)
3.68/5   11 notes
Résumé :
Henry Page a de très bonnes raisons pour opposer un refus catégorique aux émissaires de Vernon Somerville qui offre d'acheter La Lumière du Nord : son journal n'est pas à vendre et le serait-il que Page ne voudrait pas abandonner à ce spécialiste londonien de la presse à sensation une affaire de famille qui, fondée à Hedlestm en 1769, s'est acquis en cinq générations une solide réputation d'intégrité et de dignité.
Contre cet idéaliste qui croit à la mission ... >Voir plus
Que lire après La lumière du nordVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Je crois que pour les moins jeunes d'entre nous, le nom d'Archibald Joseph (A.J.) Cronin (1896-1981) représente de nombreuses heures de drames n'empêchant nullement un sentiment de "feel good", grâce aux aspirations et efforts nobles des personnages créés par ce romancier écossais. Un peu dans le sens de l'ouvrage récent de Boris Cyrulnik "Ivres paradis, bonheurs héroïques".

Moi-même, j'ai lu une bonne dizaine des romans de ce médecin des pauvres. le tout premier a été "Les clés du royaume". Lecture qui remonte à l'époque avant que je notais systématiquement les titres de livres lus dans mon agenda. Une habitude que j'ai prise en recevant lors de mon inscription à l'université un petit agenda pour ne pas louper des cours. J'avais 18 ans et j'ai continué cette habitude, ce qui m'a permis, après l'achat de mon premier ordi, d'établir de belles listes. C'est ainsi que je sais que j'ai lu "L'épée de justice", le 19-10-1967, et "La Citadelle" le 9-2-1968. Parmi ses romans qui m'ont plu, je mentionnerais "La dame aux oeillets", "Sous le regard des étoiles", "Le jardinier espagnol" etc.

Son fils, Vincent Cronin (1924-2011), a marché dans les traces de son illustre père et a surtout écrit des biographies historiques, entre autres de Louis XIV, Louis XVI, Marie-Antoinette, Napoléon ("Une biographie intime")... Et un an avant sa mort : "Matteo Ricci : le sage venu de l'Occident".

Doreen Cronin, écrivaine américaine de livres pour enfants, Michael William Cronin, auteur britannique de thrillers, et Justin Cronin, auteur américain de SF, n'appartiennent pas à la famille de notre A.J.

Si "La lumière du nord" n'est pas le meilleur roman de Cronin, il mérite, en tout cas, mieux que la pauvre étoile et le billet désabusé, malencontreusement l'unique, qui soit paru sur Babelio.

Le livre est cependant intéressant dans la mesure où il illustre le pouvoir extraordinaire et les moyens considérables d'une certaine presse en Angleterre, déjà au début des années 1950.

Je ne compte pas me lancer ici dans un historique de la presse écrite d'outre-Manche, qui, avec des personnages comme lord Beaverbrook (1879-1964), né Max Aitken au Canada et ministre de Churchill au début de la Seconde Guerre mondiale, surnommé le "Baron de Fleet Street" ("Fleet Street" rue dans le quartier de Westminster à Londres où les grands journaux britanniques ont eu très longtemps leur siège) et Robert Maxwell, né Ján Ludvik Hoch en Tchécoslovaquie en 1923 et mort dans des conditions bizarres près de son yacht dans les Îles Canaries en 1991 et enterré au cimetière juif du mont des Olives à Jérusalem, permettrait allègrement de remplir de nombreuses pages.

À côté d'une presse de grande qualité, avec des journaux comme "Le Times", "The Guardian", "The Observer", le "Financial Times", l'Angleterre est aussi le royaume des tabloïds. de la dernière catégorie, pléthoriques en nombre, les spécialistes distinguent 2 sortes : les "red tops", étant jugés les pires et les "middle-market papers". Au sommet des "red tops" se situe "The Sun", avec ses donzelles au buste dénudé à la page 3 et en moyenne 8,5 millions de lecteurs, qui fait partie de l'empire médiatique du peu sympathique Rupert Murdoch, né près de Melbourne il y a 88 ans, propriétaire de 175 journaux à travers le monde, de chaînes de télévision comme la "Fox News" americaine, de nombreux sites sur le Net. Il est classé la 32e personnalité la plus puissante du globe et sa fortune est estimée à 13,7 milliards de dollars, après le divorce avec sa 2e épouse qui lui a coûté 1,7 milliard de dollars en actifs + 110 millions de dollars en liquide ! Jerry Hall, l'ex de Mick Jagger avec qui elle a eu 4 enfants, est depuis mars 2016 la 4e Mrs. Murdoch.

Mister Murdoch est proche des Républicains américains et un eurosceptique convaincu. Ses feuilles de chou avec leurs incroyables mensonges sur l'Union européenne portent une large responsabilité dans la bêtise du Brexit.

À Hedleston (une ville fictive de moyenne importance en Écosse), Henry Page est le fier propriétaire du quotidien "The Northern Light - La Lumière du Nord", créé par un de ses ancêtres il y a 188 ans. Nous sommes en 1951 et le riche spéculateur, une espèce de Murdoch du nom de Vernon Somerville, veut lui racheter son journal, parce qu'il a appris - derrière les coulisses - que le gouvernement entend construire une usine atomique dans les parages d'Hedleston.

Pour mener à bien cette opération Somerville fait appel à Harold Smith, qui se voit déjà à la tête du journal, et une fripouille qui s'appelle Leonard Nye. Seulement, Henry Page est un homme honnête qui n'a pas du tout l'intention de vendre son journal, honnête comme lui, à quelqu'un qui s'est spécialisé dans les tabloïds de triste réputation.

Somerville, Smith et surtout Nye commencent une guerre sans merci pour récupérer le quotidien. Toutes les mesures sont bonnes pour arriver à leurs fins : des menaces, la fondation d'un concurrent à la Lumière du Nord à Hedeston, le "Chronicle", la concurrence déloyale, le chantage...

Mais Henry Page tient bon, malgré la ruine financière qui guette lui et sa famille : son épouse Alice, sa fille Dorothy, son fils David et sa belle-fille Cora. Lorsque la population choisit clairement le côté de Page, ce qui se reflète dans le nombre d'exemplaires vendus de 2 journaux, Nye décide que le moment est arrivé pour une attaque honteuse contre la famille en prenant la jeune Cora comme cible.

A.J. Cronin a produit un roman qui honore son talent de conteur d'histoires captivantes avec des protagonistes authentiques, placés dans un contexte politique, social et humain réaliste. Cela faisait des décennies que je n'avais plus rien lu de lui, mais ma crainte d'un récit qui ferait vieux jeu aujourd'hui a été totalement sans fondement. Au contraire, je l'ai lu comme un bon thriller scandinave ou un des meilleurs Agatha Christie.
Commenter  J’apprécie          4917
La Lumière du Nord, The Northern Light dans la version originale parue en 1958, a été publié la même année par les éditions Albin Michel. le style plaisant et raffiné plonge immédiatement le lecteur dans le monde du romancier. le ton est direct, un tantinet suranné.
Construction: la situation de départ et l'état d'esprit de ses protagonistes brossés en quelques pages; le lecteur se retrouve tout de suite au coeur de l'intrigue qu'il suit d'abord avec curiosité puis, s'attachant aux personnages, avec avidité.
Thèmes:
Journalisme traditionnel contre presse à scandale: "Une poignée de groupes puissants, désireux d'agrandir à tout prix leur empire, s'en prennent à tous les journaux, sans autre but que d'accroître leurs tirages, de battre leurs concurrents dans une lutte sans merci." (Page 54)..."Dans sa sphère limitée, mon journal suit la politique des grands feuilles qui ont gardé leurs principes, qui veulent diriger, éduquer le peuple, faire des citoyens intelligents et non pas un ramassis de primitifs stupides, gavés d'histoires de coucheries, de nouvelles tendancieuses ou de ragots scandaleux." (Page 55)
Provincialisme contre modernisme de la capitale: "Servi par les circonstances, vous êtes parvenu jusqu'ici à résister à la concurrence des grands quotidiens de Londres. Mais cet état de chose ne peut se prolonger...Avec notre immense supériorité   technique, nos services de distribution par train spécial et par avions et, par dessus tout, notre détermination d'expansion bien arrêtée, la concurrence va se faire plus dure. Il n'y a guère, aujourd'hui, qu'une demi-douzaine au plus de journaux de province indépendants et je puis vous assurer qu'ils seront absorbés dans les deux ou trois ans à venir." (Pages 52-53)
Tradition contre modernité: "Hier, ils ont fait paraître un article un peu épicé, je le veux bien, mais amusant, en tout cas, sur ce scandale...vous savez bien, le comte italien, trafiquant d'héroïne, et sa maîtresse surpris tous les deux dans une baignoire. Oui, dit Page amèrement, la fraude, le scandale. Et pourtant, croyez-moi, cher ami, le journalisme est une profession honorable." (Page 98).
Fil rouge: les déboires et la tristesse d'une union mal assortie dans laquelle Henry ne trouve aucun réconfort.
L'intrigue:
1956. Henry Page, directeur de la Lumière du Nord, petit journal de province, reçoit une offre qui le surprend. Vernon Sommerville lui offre 50 000 livres pour acquérir son périodique. Henry, homme intègre qui croit en la mission éducative et en l'honorabilité de la presse, pour qui La Lumière du Nord représente bien plus qu'un métier, refuse. Mais son épouse Alice, femme mondaine et sophistiquée, impressionnée par ne l'entend pas de cette oreille: "Mais, Henry...Je ne pense pas à moi, bien que je sois terriblement fatiguée d'Hedleston et de ses habitants. N'allez-vous pas réfléchir? Vous n'avez jamais su tirer parti des occasions qui se sont offertes à vous..." (Page 16).
Mais Sommerville n'est pas du genre à renoncer facilement, d'autant que Smith, second du directeur général du magnat de la presse, ferait n'importe quoi pour saisir sa chance en prenant la direction de la Lumière du Nord transformé en organe de presse à scandale. Face à l'entêtement d'Henry Page, ses adversaires lui déclarent une guerre, dans laquelle tous les coups sont permis: "Nous avons résolu de prendre pied dans le pays, de nous y établir par tous les moyens légaux. Nous vous faisons une offre généreuse. Votre refus nous contraint à lancer un journal d'opposition. C'est ici un pays libre. Nous avons le droit d'entrer dans la lutte, vous en conviendrez avec nous...Nous disposons de moyens que vous ne soupçonnez même pas." (Page 57).
Le nouveau journal que les adversaires de Page veulent fonder s'appuyant sur le projet de construction d'un nouveau centre atomique à Utley, ville voisine d'Hedleston, assorti d'un vaste plan de constructions urbaines, projet qui rapporterait beaucoup d'argent, La Lumière du Nord subit des assauts répétés qui fragilisent sa position établie depuis des décennies, les désertions des abonnés se faisant toujours plus nombreuses. Qui sortira vainqueur de cette lutte acharnée? Et à quel prix?

L'intrigue se déroule dans la petite ville fictive d'Hedleston, figurant l'archétype de la cité provinciale qui vit au rythme de la messe dominicale, de la lecture du quotidien régionale, du petit café du matin. Une atmosphère paisible, où rien, ou si peut, ne se passe jamais. En totale opposition avec la capitale: "Il y avait peu de monde sur le marché aux farines, vieux quartier commerçant de Hedleston, avec son réseau de ruelles et d'étroits passages convergeant sur Victoria Square, où les bureaux et l'imprimerie de Page exhibaient leur façade dont la patine trahissait une origine remontant au dix-huitième siècle. le pavé rond des rues désertes sonnait sous les pas; l'écho en renvoyait le bruit. Plus qu'à n'importe quel autre moment du jour ce vieux quartier semblait à Page le coeur de cette résidence northumbrienne où sa famille vivait et travaillait depuis cinq générations." Pages 9-10).
La Lumière du Nord: La salle de rédaction donnait "sur une cour pavée; c'était une grande pièce bien éclairée dans laquelle travaillaient presque tous les reporters. La place manquait et Henry avait dû louer l'immeuble voisin pour y installer ses presses, bien démodées, elles aussi, mais elles avaient vaillamment travaillé, depuis bien des années et Henry les aimait." (Page 29)=> Description tout en finesse d'un lieu qui est plus qu'un décor, qui a une âme et un vécu: "Elle est née en 1769, fondée par Daniel Page, l'adversaire de Wilkes, l'apôtre de la liberté de la presse et du droit de publier les rapports parlementaires..." (Page 57).
En conclusion: 
Ce qui est remarquable avec "La Lumière du Nord" est son incroyable modernité, tant dans le sujet traité, la lutte entre un journalisme de proximité et de qualité, et une presse de masse motivée par le chiffre plutôt que par le contenu. N'est-ce pas un débat toujours d'actualité? le combat mené par Henry Page met en exergue des arguments totalement en contradiction: lui prône l'ancienneté du journal, sa réputation, son souci de transmettre des informations de qualité portant sur la vie socio-économique et culturelle de la région, tandis que ses adversaires justifient leur vision du journalisme de masse par le goût du public pour le scandale et le voyeurisme, sous couvert de liberté de la presse. Mais les lecteurs ne peuvent-ils être éduqués de manière à élever leurs centres d'intérêt au-dessus de contenus vulgaires et débilitant? On a vu le mal que peut faire une certaine presse aux aguets du moindre cancan, sans aucun respect pour la vie privée des personnes visées (Je pense notamment à Lady Diana, poursuivie sans relâche par une meute de paparazzi).
Le +: Sans jamais sombrer dans le misérabilisme, ni l'apitoiement, A. J. Cronin excelle à inciter le lecteur à manifester de l'intérêt et de la sympathie pour ce journal local fondé sur des valeurs humaines aux antipodes de la presse en scandale alors en plein essor. On ne peut que soutenir le combat de son directeur pour le conserver tel quel et continuer de proposer à ses lecteurs un contenu de qualité, sans céder à la facilité des ragots et autres rumeurs sulfureuses. Mais, dans un souci d'équité, l'auteur donne également la parole à ses adversaires. Un roman qui mérite toute votre attention et qui, j'en suis persuadée, vous séduira...
Lien : https://legereimaginarepereg..
Commenter  J’apprécie          50
Qui a dit que A.J. Cronin est un écrivain de l'ancien temps ? « La Lumière du Nord » est là pour vous prouver le contraire : rien de plus actuel que cette chronique impitoyable sur les moyens mis en oeuvre par certains groupes de presse contre d'autres. Vous trouvez que la société d'aujourd'hui est impitoyable ? Dites-vous bien que ça ne date pas d'hier, et que c'était déjà le cas dans certains milieux :
Nous sommes au début des années 50 (1950, faut pas charrier, quand même), en Ecosse dans une petite ville moyenne, nommée Hedleston. Henry Page, est le propriétaire et directeur de « La Lumière du Nord », (« The Northern light »), un journal local dont la qualité n'a d'égale que la longévité (il a été fondé en 1769 par un ancêtre du directeur actuel). Henry Page est un homme intègre et idéaliste (un personnage hautement « croninien »), qui a une très haute idée de son métier de journaliste (informer, éduquer, rendre les lecteurs plus intelligents, principes que devraient revoir certains plumitifs et certains animateurs de télévision, je dis ça je dis rien), et qui souhaite le meilleur pour sa ville, et aussi pour sa famille, sa femme Alice (mondaine et ambitieuse) et ses enfants Dorothy et Davis, ainsi que Cora, la femme de David. Mais un spéculateur de haut vol (et le mot « vol » peut être pris dans tous les sens), Vernon Somerville, (vous trouverez bien un équivalent dans nos grands chevaliers d'industrie contemporains, capitalistes implacables et sans scrupules), a décidé de faire main basse sur « La lumière du nord » qui, une fois a sa botte pourrait servir les ambitions politiques locales. Après avoir tenté vainement de l'acheter, il déclare une guerre ouverte, lui le pot de fer, au petit pot de terre qu'est Henry Page. le roman est le récit de cette guerre qui ne recule devant aucune bassesse, calomnie, chantage, atteintes à la vie privée, etc.
Le thème principal, la lutte des gros contre les petits, a une résonnance particulière dans ce domaine de la presse : ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle le quatrième pouvoir, la communication (dans un sens ou dans l'autre) est la clé pour le vote des gens (nous en avons quotidiennement la preuve). Et ce thème lui-même se diversifie : le roman met en opposition la presse à gros tirage et celle à petit rendement (argument économique), mais aussi une presse qui abrutit à celle qui rend intelligent (argument éthique), presse à scandales (tabloïds) contre presse traditionnelle (« le Times », ou ici « La Lumière du Nord »).
Cronin fait un portrait au vitriol de cette société déshumanisée où l'être humain n'a plus sa place : l'appât du gain, l'ambition, les intérêts personnels sont portés au pinacle des actions humaines alors que ceux et celles qui sont porteurs et porteuses de « valeurs » vont tout droit à l'échec.
Mais Cronin n'oublie pas non plus les répercussions psychologiques chez ces personnages fragilisés, bousculés, dont la vie privée se voit livrée en pâture à un lectorat avide de sensations (particulièrement, celle de se moquer de plus malheureux que soi). de ce point de vue, Cronin est là encore un merveilleux conteur, qui nous fait partager les états d'âme de ses personnages, tristesse et joie, colère et honte, et par-dessus tout, espérance et foi dans l'avenir…
Peut-être avez-vous vu ce joli film « Vous avez un message » de Nora Ephron (1998) avec Tom Hanks et Meg Ryan, lui-même remake d'un film plus ancien (et tout aussi agréable à regarder) : « The shop around the corner », Ernst Lubitsch – 1940) : c'est l'histoire d'un grand magnat de la librairie, propriétaire d'une chaîne de magasins, qui jette son dévolu sur une petite librairie de quartier qui avait fait le bonheur de plusieurs générations de lecteurs. Eh bien, « La lumière du Nord » c'est la même chose, en plus dur, plus réaliste.
Plus « contemporain » hélas.
Mais que cela ne vous empêche pas de lire ce livre prenant et captivant, comme tous les romans de Cronin.
Commenter  J’apprécie          60
Aujourd'hui, cuisante défaite: Je n'ai pas réussi à lire un livre jusqu'au bout, ce qui est extrêmement frustrant. D'habitude je me fais un devoir de terminer les livres, aussi pénibles à lire puissent-ils paraître, dans l'espoir parfois vain de voir le style s'améliorer au fil des pages.

Mais pour celui-ci je n'ai pas franchi le cap des 10 pages oO

Il s'agit d'un livre d'Archibald Joseph Cronin, intitulé “La lumière du nord”, datant de 1958, et que j'ai trouvé dans la rue (je comprends désormais pourquoi). Si vous n'en avez jamais entendu parler, ce n'est pas que l'histoire a eu la sagesse de bien vouloir le faire sombrer dans l'oubli, c'est juste que vous n'êtes pas au point question littérature anglaise...

http://lelabo.blogspot.com/2006/09/cronin-la-lumire-du-nord.html
Commenter  J’apprécie          01


Video de A. J. Cronin (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de A. J. Cronin
La Petite Librairie, c'est tous les quinze jours ! Vos libraires Gérard Collard et Thomas Raymond vous présentent leurs dernières pépites littéraires. Ils sont accompagnés de chroniqueurs : Jacqueline Pétroz, Didier Debroux, Mélanie Cheymol ou encore Jean-Edgar Casel ! Un programme qui vous réservera des surprises et des rencontres exclusives ! A NE PAS MANQUER !!!!!!! • • Journal intégral - 1815-1818 de Gaspard Gourgaud et Jacques Macé aux éditions Perrin https://www.lagriffenoire.com/1031168-encyclopedie-journal-integral---la-bibliotheque-de-sainte-helene.html • Les premières enquêtes de Lizzie Martin de Patricia Ann Granger et Delphine Rivet aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/1019626-nouveautes-polar-les-premieres-enquetes-de-lizzie-martin.html • Sang chaud de Kim Un-Su aux éditions Matin Calme https://www.lagriffenoire.com/1030156-nouveautes-polar-sang-chaud.html • La femme révélée de Gaëlle Nohant aux éditions Grasset https://www.lagriffenoire.com/1029111-divers-litterature-la-femme-revelee.html • 18.3: Une année à la PJ de Pauline Guéna aux éditions Denoël https://www.lagriffenoire.com/1029494-livres-politiques-183-----une-annee-a-la-pj.html • Rituels de Philippe Charlier aux éditions du Cerf https://www.lagriffenoire.com/1032145-divers-voyage-rituels.html • Aldobrando de Cretonne & Gipi aux éditions Casterman https://www.lagriffenoire.com/1030784-achat-bd-aldobrando.html • Wild West - tome 1 - Calamity Jane de Thierry Gloris et Lamontagne Jacques aux éditions Dupuis https://www.lagriffenoire.com/1031949-achat-bd-wild-west-t1-----calamity-jane.html • La maison de l'abbaye de Jean d'Aillon aux éditions 10-18 https://www.lagriffenoire.com/1028948-nouveautes-polar-la-maison-de-l-abbaye.html • La Dictatrice de Diane Ducret aux éditions Flammarion https://www.lagriffenoire.com/1031487-divers-litterature-la-dictatrice.html • La Citadelle de Archibald Joseph Cronin aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/1017369-divers-litterature-la-citadelle.html • Les Magnolias de Florent Oiseau aux éditions Allary https://www.lagriffenoire.com/1028896-divers-litterature-les-magnolias.html • • Chinez & découvrez nos livres coups d'coeur dans notre librairie en ligne lagriffenoire.com • Notre chaîne Youtube : Griffenoiretv • Notre Newsletter https://www.lagriffenoire.com/?fond=newsletter • Vos libraires passionnés, Gérard Collard & Jean-Edgar Casel • • #lagriffenoire #bookish #bookgeek #bookhoarder #igbooks #bookstagram #instabook #booklover #novel #lire #livres #lapetitelibrairie #conseillecture #editionsmatincalme #editionsgrasset #editionsdenoel #editionsducerf #editionscasterman #editionsdupuis #editions1018 #editionsflammarion #editionslivredepoche #editionsallary
+ Lire la suite
autres livres classés : littérature écossaiseVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus


Lecteurs (40) Voir plus



Quiz Voir plus

La dame aux oeillets

Quel est le nom du peintre de la miniature "La dame aux oeillets"?

Sigmund Holbein
Hans Holbein l'ancien
Hans Holbein le jeune
Ambrosius Holbein

11 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : La dame aux oeillets de A. J. CroninCréer un quiz sur ce livre

{* *}