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EAN : 9782277213178
J'ai lu (26/02/2001)
3.18/5   11 notes
Résumé :
Michel Demuth est né en 1939 à Lyon. Il a publié son premier récit de science-fiction en 1958. Les Editions J'ai Lu ont publié Les Galaxiales qui reçurent le Grand Prix de Science-Fiction.

Dans Les années métalliques, Michel Demuth a rassemblé une quinzaine de nouvelles qui n'appartiennent pas au cycle des Galaxiales. Elles aussi témoignent de la riche invention, poétique et subversive, de l'un des principaux représentants de la S-F française.>Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Quatre livres font l'événement du mois ; chacun d'eux est cependant plus que le quart d'un événement.
Trois sont publiés dans la collection Présence du futur. Et selon une tradition fameuse, les trois mousquetaires d'Elisabeth Gille sont quatre, à cause de Noô qui se subdivise en Noô 1 et Noô 2. Avec un Ailleurs et demain plus étincelant que jamais, cela fait cinq volumes ce mois-ci... Seul contre trois — dont un biplan — Michel Demuth, le champion de Laffont, ne part pas battu.
Andrevon nous a enfin donné le grand bouquin que nous attendions de lui. Voici que paraît l'enfant comme des maîtres : Dick et Zelazny. Demuth réédite ces récits presque légendaires qui nous faisaient rêver si fort au début des années soixante. Il termine son recueil par un inédit qui est une des trois ou quatre meilleures nouvelles de science-fiction que j'aie jamais lues.
Wul est revenu. le père de Niourk et de Zarkass se jette comme un fou dans l'arène où hurlent les jeunes loups. Il ne m'a pas convaincu ; mais il va me donner l'occasion de lutter contre ma subjectivité... et d'abord de préciser que cette chronique se veut aussi objective que possible.
Enfin, l'événement dans l'événement, c'est que la sélection comprend trois Français contre un Américain, ou plutôt deux moitiés d'Américains. Serait-ce le commencement de la décolonisation ?
Au moment où j'écris ces lignes, je n'ai complètement terminé que le roman d'Andrevon — avalé en une moitié de nuit, dès réception. Ma chronique sera rédigée sur le vif. Deus irae, de Dick et Zelazny vient seulement d'arriver. Je m'enfonce dans ses entrailles chaudes avec un mélange de délice et de répugnance. le recueil de Michel Demuth est un gros volume qui alterne textes anciens et inédits. J'ai entrepris de l'explorer à l'aventure. Et puis Les années métalliques, est un si bel objet qu'on n'ose pas le manipuler et le feuilleter sans d'extrêmes précautions, ce qui ralentit la lecture mais augmente le plaisir.
Noô m'a causé bien du souci : ça fait au moins un mois que je me traîne dans ce livre ; je n'ai pas encore fini le deuxième volume. Mais je précise tout de suite que ma réaction n'est pas exemplaire. Au contraire... La plupart de mes correspondants — qui sont nombreux — ont beaucoup apprécié Noô. le plus enthousiaste est Andrevon soi-même qui a été tellement impressionné par le style de Wul qu'il parlait de jeter sa machine à écrire aux déchets radioactifs.
Dans un souci d'objectivité, j'ai voulu nuancé mon impression par celle d'un visiteur du moment, Didier Duval, jeune auteur-lecteur (et responsable d'une pachothèque), qui m'a prêté ses notes sur ce livre.

Quelques remarques générales pour commencer.
le désert du monde de Jean-Pierre Andrevon est présenté sous une couverture originale et qu'on ne peut apprécier pleinement qu'après avoir lu le livre. Lequel doit être abordé avec quelques précautions. La présentation en quatrième de couverture est presque trop bavarde. Ne la lisez que d'un oeil. Vous pouvez aussi sauter le prologue. A mon sens, il n'est pas indispensable et Andrevon l'a peut-être écrit par excès d'honnêteté intellectuelle, de même que les séquences au cours desquelles apparaissent, ou plutôt dialoguent les « manipulateurs ». Surtout, ne haussez pas les épaules après quelques dizaines de pages en vous disant : « Ça va, on a compris. » Vous ne pouvez pas avoir compris.
Voir rassemblés les noms de Philip K. Dick et de Roger Zelazny sur une jaquette couleur de sang séché et au-dessus d'un titre énigmatique et terrifiant, eh bien, cela vous procure un frisson d'une rare intensité. J'en ai oublié un bon moment d'avaler ma salive. Mais si on retourne le livre, on lit cette phrase qui n'est pas très encourageante : « Après l'holocauste qui a mis fin à la Troisième Guerre Mondiale, deux Eglises se disputent les rares survivants... » Il ne manque qu'une majuscule à Holocauste !
Oui, encore la troisième. Encore une histoire de religion post-cataclysmique. Même Robert Merle n'avait pas échappé à cette tentation. Après tout, ce sont des choses plausibles. On se demande avec un soupçon d'inquiétude ce que Dick et Zelazny ont pu en tirer de neuf. Que la colère de Dieu soit avec vous, mes frères en science-fiction.
Les années métalliques sous couverture métallisée : c'est naturel. Cette couverture est à peu près la même que celle de Dune (première édition) : une des plus réussies de la collection ailleurs et demain depuis un bon bout de temps. C'est mieux que beau ; c'est lourd, c'est mat et brillant à la fois. Au toucher, c'est lisse, doux, presque froid. le papier et la typographie augmentent l'agrément de la lecture. Trois cent quarante-cinq pages de texte serré. Environ quatre heures de lecture...
Avez-vous remarqué que le rapport nombre de signes/prix devient très intéressant pour les gros volumes ? Pour des livres comme Tous à Zanzibar ou Dune il est égal à celui du Fleuve Noir. Ici, il est comparable à celui de Foetus-Party, l'excellent mais court roman de Pierre Pelot, publié dans Présence du futur... (C'était notre minute économique).
Michel Demuth reçoit enfin la consécration qu'il méritait.
Une nouvelle des Années métalliques commence par cette phrase merveilleuse : « Les tortues avaient oublié les saisons, » C'est de la pure quintessence de science-fiction.
Noô... C'est gros, c'est long ; la typographie est minuscule. Des heures de lecture à bon marché, c'est vrai. Je feuillette ces deux volumes pour la cinquantième fois et un sentiment de culpabilité gros comme une planète me submerge. Je n'ai pas aimé le commencement. Ni la fin. Les annexes à la manière de Dune (trente pages à la fin du deuxième volume) ne m'ont pas convaincu. Même le style, souvent admirable, devient lassant par accumulation ou excès... Mais cela est une impression subjective. Beaucoup de lecteurs n'ont éprouvé aucune lassitude, ont exprimé une admiration totale pour l'écriture et absorbé coup sur coup les deux volumes.
Et, en toute objectivité, je dois reconnaître que la dernière oeuvre de Stefan Wul est assez extraordinaire et d'une certaine façon inégalée en France.

C'est par Noô que je vais commencer. Je recopie textuellement mes premières notes : Ecriture d'une foisonnante richesse, souvent très efficace ; manque trop de simplicité... Evoque pour moi l'époque de la Ligue Maritime et Coloniale... Exotisme, exotisme... Début difficile à avaler. (Mais ce genre revient à la mode : voir Les Flambloyants de Patrick Grainville, prix Goncourt l'an dernier...) Allons, allons : la nostalgie est toujours ce qu'elle était... Des pages exaspérantes de bavardage culturel incroyablement rétro. On a parfois l'impression de lire un vieux livre de prix retrouvé au grenier...
Des raccourcis saisissants, des remarques d'une extrême finesse : « Tous ceux qui ont souffert du deuil savent qu'il rend animiste » (p. 23). Des descriptions admirables : « Pliée, plissee, vermiculée à l'extrême, la pierre lèprée de mousses laissait pendre quelques chevelures parasites. (...) de grosses racines se musclaient vainement à l'assaut des blocs » (Noô 1 p. 65). Mais cela devient vite pâteux et étouffant. Les images sont souvent très belles, très denses, très fortes. Mais elles tombent parfois dans la parodie et Ponson du Terrail n'est pas loin : « Et cette voix, mon Dieu, qui me marche pieds nus sur les sens » (Noô 2 p. 174).
P. 248 du premier volume, le narrateur avoue : « Accueillir des mots pareils, quelle caresse à mes nerfs d'esthète ! » Voilà peut-être le sens de ce livre : une oeuvre d'esthète, qui se grise (et parfois se gargarise) de mots...
Craignant d'être injuste avec Stefan Wul, auteur presque unanimement admiré, je vais céder la parole à mon ami Didier Duval.
« J'ai lu Noô il y a un mois, » écrit-il, « les huit parties en trois jours. Malgré le temps passé à cette lecture, beaucoup d'éléments, de séquences événementielles, se sont fondus et perdus dans ma mémoire. Il ne me reste que des impressions : les .premières — somme toute — qui m'assaillirent au cours de mon voyage de décrypteur inlassable.
Dès le départ, s'impose une sensation d'exotisme omniprésent : géographique, ethnologique, mythologique, politico-philosophique, la volonté de l'auteur paraît s'orienter d'emblée vers un seul but : dépayser le lecteur, que ce soit sur la Terre ou sur la planète Soror, le séjour sur ces mondes correspondant à l'enfance et à l'adolescence du narrateur, Brice le Creurer... »
Brice est le fils d'un ethnologue français. Jeune enfant, il vit avec ses parents quelque part dans le Haut-Orénoque. Pour moi, le récit évoque tout de suite Batouk, le roi de la Forêt vierge (de Max-André Dazergues ; réécrit par Alexandre Vialatte. Didier Duval note comme « sources d'émerveillement » le vocabulaire précieux et rare, le baroquisme des descriptions et de l'écriture.
A l'âge de treize ans, Brice perd ses parents dans un accident d'avion et se lance à leur poursuite dans la jungle. Il passe très vite d'une Amérique parallèle (historiquement datée d'avant la guerre, avec des Indiens pittoresques et pas de guérilleros) a une planète peuplée par des descendants de Terriens qui parlent français, On frôle ici le sujet du beau livre de Gene Wolfe, La cinquième tête de Cerbère. Mais on reste à un niveau beaucoup plus superficiel. le ton est celui du roman d'aventures pour adolescents. Pourtant, le style contredit cette impression par sa force, son exactitude, son harmonie tout à fait exceptionnelles.
Sur Soror, en compagnie de son père adoptif, Jouve Deméril, Brice découvre un monde exotique, une société plus bizarre qu'étrangère, qu'il décrit avec une précision sans faille et un luxe de détails presque incroyable. Très grande précision aussi dans la description et la construction des sciences imaginaires : noologie, mathématiques structurelles (ou quelque chose de ce genre) bio-sociologie, etc.
Bon. Tout cela est un peu gratuit, mais Brice est un témoin hors ligne. Il voit sans cesse des choses extraordinaires. Je suppose que si j'allais sur une autre planète, je verrais aussi des choses extraordinaires : je suis sûr que je ne les raconterais pas aussi bien que Brice. Tant pis. Brice aime ça ; je crois que je ne l'aimerais pas. Dommage. Brice assiste à des événements excitants, époustouflants : ça, c'est la vie quand on voyage dans la galaxie.
Je n'aime pas beaucoup les voyages, mais je ne voudrais pas en dégoûter les autres.
Après Noo 1, il y a Noô 2 : honnêtement, je m'en serais passé. On repart. Beaucoup d'aventures, un peu d'amour (elle s'appelle Prairiale), pas mal d'exotisme, de l'action à la pelle. Tout cela, bien dit et bien mené, mais péchant par excès, pléthore et redondance. Narration et descriptions sont toujours de qualité, mais le style faiblit. Stefan Wull laisse passer des clichés qui sentent le Fleuve noir moyen : « Il fallait en avoir le coeur net » (p. 137).
Brice écrit quelques lignes plus haut : « Chassant tous mes rêves, rejetant toutes ces puérilités, je décidai d'agir. » Bonne idée : mais c'est un peu tard.
A mon sens, le principal défaut de Noô (outre sa longueur excessive), c'est de n'être ni tout à fait un roman pour adultes, ni tout à fait un roman pour adolescents, Ce n'est pas tout à fait un roman pour adultes à cause du personnage central, à cause du ton, à cause d'une certaine gratuité que mon ami Didier Duval a notée aussi et qui, dit-il, « va s'intensifiant de chapitre en chapitre ». Il ajoute que le héros ne présente d'épaisseur que par son talent d'écrivain... Et Noô n'est pas vraiment un livre pour adolescents à cause de son esthétisme, de son style extrêmement travaillé, et aussi parce que Brice, le personnage principal et le narrateur, n'intervient guère dans l'action, l'auteur n'exploitant pas la plupart des situations en sa faveur. « Il ne saura pas dépasser !a fascination de l'exotisme et sa propre curiosité, écrit mon lecteur-conseil, pour réagir par rapport au milieu... » Eh oui, Noô, ce n'est ni Tschaï ni Dune. Et il n'y a pas à le regretter. Noô, c'est Noô : une rentrée assez fracassante pour Stefan Wul. Je ne le recommanderai même pas aux lecteurs : tout le monde l'a déjà lu !

Je vais maintenant parler du roman de Jean-Pierre Andrevon, le désert du monde, sur un ton de subjectivité non pondérée. Je suis enthousiasmé par ce livre. Je ne peux pas prouver que j'ai raison, mais je peux prouver que je suis sincère, et cela grâce à un concours de circonstance assez étonnant.
le hasard est grand : il n'y a pas de hasard. Une belle formule (il me semble qu'elle est de Gérard Klein, mais je n'en suis pas sûr...). Je venais de finir le désert du monde ; j'étais encore sous l'onde de choc de cette lecture et j'avais le coeur inverti et l'esprit désarticulé {cela dit pour situer précisément le niveau d'intensité de mes impressions ? lorsque Andrevon soi-même m'a écrit. Il m'annonçait qu'il avait décidé de préparer pour Présence du futur une anthologie dans le style Harlan Ellison : Andrevon contre tous... c'est-à-dire une série de nouvelles écrites en collaboration par Andrevon et un certain nombre de participants. Andrevon et X, Andrevon et Y, Andrevon et Z (X, Y, Z étant d'ailleurs, à mon avis, les moins bons du lot), etc., naturellement. J'étais parmi les heureux élus, J'ai répondu à Andrevon que je souhaitais reprendre le début-de son livre, qui m'avait extraordinairement impressionné, en essayant de le traiter dans mon style et d'imaginer une autre situation réelle et une autre explication finale. Difficile, surtout dans une nouvelle... J'ai une idée, mais elle ne vaut pas celle d'Andrevon ; elle est moins forte et moins simple.
le désert du monde exploite une idée de science-fiction très originale (renouvelant ainsi un thème qui paraît au départ plutôt banal) et qui est aussi très forte et très simple. Voyez le monde inverti, l'étonnant roman de Christopher Priest : c'est à la fin que les choses se gâtent un peu, parce que l'explication est tout de même un tantinet trop compliquée. L'explication d'Andrevon est simple comme un... Bon Dieu ! Un mot de trop a failli m'échapper.
le désert du monde n'a aucun rapport avec les livres que j'ai cités ou désignés par allusions, si ce n'est celui de la qualité. Sur ce plan, je le comparerai volontiers, aussi, à deux romans de Dick : le temps désarticulé et La vérité avant-dernière. Mais le roman d'Andrevon n'est pas dickien, et cela pour une raison simple et forte elle aussi : il est extraordinairement français. Il est français comme le meilleur Barjavel ou un excellent Merle. Voilà. Moi, ça me fait très plaisir. Les inconditionnels de la littérature anglo-saxonne feront peut-être la fine gueule. Mais combien en reste-t-il ?
Très bien, je vais vous raconter le début de l'histoire, puisque le présentateur le fait sur la couverture, de façon un peu trop explicite à mon avis. (A sa place, j'aurais simplement mis la première ligne du premier chapitre et les trois dernières lignes du livre... Un slogan : on ne raconte pas Andrevon ; on le cite...) Un homme se réveille dans un village désert, jonché de cadavres. Il ne comprend rien. Il ne se souvient pas de ce qui est arrivé. Il découvre peu à peu qu'il est amnésique et qu'il est le seul survivant, dans une maison, dans un village pleins de cadavres. « Il se passait quelque chose d'anormal ! » (p. 18). Il se passe, en fait, un certain nombre de choses anormales dans la réalité. L'homme est seul ; il essaie d'organiser sa vie dans le village. Vous avez reconnu cette situation : c'est celle de quelques films célèbres : le survivant et Demain les mômes. Attendez un peu, « Mais les squelettes, idiot, les squelettes ? » (p. 90).
La première partie, jusqu'à la rencontre du chien (p. 103), est constituée par un récit à la fois immobile et haletant, et une description impeccable d'un décor hurlant de réalisme. Notez bien qu' « Il » est seul (si on excepte les « voix ») pendant une centaine de pages ; seul avec les cadavres et les rats. Et pourtant, on lit ces pages presque sans reprendre son souffle. A certains moments, j'éprouvais une impression de malaise et d'excitation, à la limite de la souffrance, que je ne peux analyser ici et que j'appellerai « vertige de réalité ». Je connais cette sensation, mais je ne l'ai pas rencontrée souvent : chez Hardellet, peut-être, chez Curtis, Merle ou Simenon. La condition en est une observation riche et exacte, une psychologie calculée au micron près et un style aussi simple que précis -toutes choses qui ne courent pas les rues étroites de la littérature.
Puis arrive le chien. (J'oubliais : malgré tout, il se passait quelque chose d'anormal...) Quand on fait vivre un personnage totalement solitaire pendant la moitié d'un roman, il n'est pas facile de lui donner un compagnon digne de lui. Et puis les écrivains, surtout les écrivains de science-fiction, en savent généralement beaucoup moins sur les chiens que les chiens sur les évêques. La réussite est parfaite. Si j'avais assez de place, j'aimerais citer toute la page de la rencontre. C'est peut-être un détail, mais ce sont de tels détails qui donnent à un récit son épaisseur, sa densité : accumulez-en quelques centaines de cet acabit, v
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Relu avec plaisir ces nouvelles de SF française des années 60 . de la qualité d'écriture , les grands thèmes du space opéra traités avec originalité , poésie et mystère . J'aime particulièrement « Nocturne pour démons » .
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
En nous il y a du Mal .Il y a des passions , de la folie.Mais surtout l'instinct de la défense .En vérité , qui eût dit ,un jour, que les loups garderaient les moutons?
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Emission consacrée à la vision du futur imaginée par les auteurs de sciences fiction.
- Michel DEMUTH, directeur littéraire aux éditions "OPTA" ; Jacques GOIMARD, professeur de science fiction ; Jacques SADOUL, directeur littéraire aux Editions "J'ai lu" ; Jacques VAN HERP, critique : les thèmes de la surpopulation et du pouvoir ; les structures des villes et des sociétés ; la lutte...
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