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Le Vicomte de Bragelonne - 3 tomes tome 1 sur 3

Jean-Yves Tadié (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070400515
902 pages
Gallimard (25/11/1997)
4.09/5   470 notes
Résumé :
Au mois de mai 1660, le vicomte de Bragelonne arrive au château de Blois, porteur d'une lettre annonçant à Monsieur, le frère de Louis XIII, l'arrivée de Louis XIV et de la cour. La nuit suivante, un homme se présente au monarque : c'est le roi d'Angleterre Charles II, dépouillé de son royaume, qui vient demander au roi de France de l'argent ou des hommes afin de reconquérir sa couronne. Mazarin refuse. Sur le chemin du retour, Charles II rend visite à Athos qui lui... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Purée, mais Louise de la Vallière a été la maîtresse de Louis XIV, qui est tombé sous son charme à l'occasion du mariage de son frère Philippe d'Orléans !
L'angoisse ! car Raoul de Bragelonne est amoureux de Louise depuis son enfance, et vient, à la fin du tome 1, de demander sa main à son père Athos, comte de la Fère !
Que va-t-il se passer ? vite ! vite ! je commande le tome 2 : Raoul ne va quand même pas tuer le roi, c'est impossible, il faut respecter la Grande Histoire !
.
Toujours aussi savoureux, Alexandre Dumas modifie imperceptiblement L Histoire, par le biais de ses mousquetaires !
Mais qui est ce milord inconnu qui vient solliciter une audience au jeune Louis XIV ?
Mais qu'en est-il de la puissance de Jules Mazarin, et de la scène digne de "L'avare" de Molière, quand il s'agit de son testament ?
Mais comment faire tomber Nicolas Fouquet, tellement affable, mais dont la richesse menace l'autorité du roi ?
Mais quel est cet Obélix qui soulève d'énormes pierres à Belle-Ile ?
Mais quel est cet austère évêque de Vannes, qui penche pour Fouquet contre le roi ?
Mais comment calmer Buckingham, fils de l'ancien duc, amoureux lui aussi d'une reine ou presque reine ?
Mais où est passé ce Raoul de Bragelonne qui n'apparaît vraiment au milieu du livre, après que D'Artagnan et Athos aient accompli leurs exploits ?

Waouh, c'est vrai que le XVIIè siècle me passionne, mais j'admire, après 3 volumes ( 2700 pages ), la plume de l'auteur, sans doute toujours bien "servi" par Auguste Maquet, mais aussi par des chroniqueurs de l'époque du roi-pas-encore-soleil ! D'ailleurs, on voit celui-ci prendre de l'autorité à la mort du cardinal, mais il n'est pas encore tout puissant, gêné par les millions de Fouquet.
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Voilà, j'y suis...
J'ai terminé la première partie de cette fresque magnifique.
Les mousquetaires lu à l'adolescence, Vingt ans, lu...vingt ans après et ce Vicomte beaucoup plus tard : maintenant.
L'histoire, ma foi, dans cet épisode, c'est la jeunesse de Louis XIV, encore sous la coupe de Mazarin et le couronnement de Charles II d'Angleterre fortement aidé par D Artagnan et Athos (comte De La Fère) dont Bragelonne est le fils adoptif. Lequel Bragelonne est amoureux de Louise de la Vallière.

Mais ça, tout le monde le sait ou pratiquement tout le monde. Mais ce plaisir là, cette lecture, ce fut un régal, un vrai avec la tête qui vit de ces histoires et les ruptures, dues au sommeil ou autres moment nécessaires de la vie, comme un manque, un empêchement, l'impression de redevenir un gamin privé de dessert. C'est fort, encore maintenant que j'y repense en écrivant ces mots si petits par rapport au bonheur ressenti.
Dumas (ou Maquet?) est un mage! Ces aventures, mazette, ces combats et l'histoire, la grande comme on (je) l'aime avec ses rebondissements, ses complots et les aventures romanesques de ces personnages, tous autant qu'ils sont, font, pour moi, des moments inoubliables.
Le tome 2 à suivre, mais pas tout de suite, tant que ces 900 pages (+ les notes) ne sont pas assimilées.
Que du bonheur. Il faut lire ce vicomte là!
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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On a le plaisir de retrouver une fois de plus les aventures des trois mousquetaires avec D'Artagnan, pour ce premier tome de le Vicomte de Bragelonne, faisant suite aux trois mousquetaires, et vingt ans après,..cette fois-ci, la mission est de restaurer le roi Charles II, le roi sans royaume, au trône de l'Angleterre...
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Que d'intrigues, que d'intrigues !
Dix ans environ ont passé depuis Vingt ans après. Nous retrouvons au Louvre d'Artagnan, lieutenant des mousquetaires, Louis XIV, Mazarin qui règne toujours à la place du roi, Anne d'Autriche ; nous retrouvons à Blois Mlle de la Vallière, Raoul de Bragelonne et le comte de la Fère alias Athos. Plus tard, nous retrouverons Porthos et Aramis, devenu évêque, en Bretagne.
Ils sont tous là pour de nouvelles aventures ! Entre l'enlèvement de monsieur Monck à Newcastle, la restauration de Charles II d'Angleterre (fils du malheureux Charles I que nous avions vu condamné à mort dans Vingt ans après), la mort du cardinal Mazarin, le surintendant Fouquet qui fortifie Belle-Île-en-Mer et D Artagnan envoyé comme espion, le mariage de Monsieur frère du roi avec la jeune Madame Henriette soeur de Charles II, nous n'avons pas le temps de nous ennuyer !

Quel bonheur de retrouver Dumas ! Vraiment, à mes yeux, bien peu de romans d'aujourd'hui savent me tenir en haleine comme les siens. On a toujours du mal à les lâcher, même à des heures tardives et après des journées épuisantes. On observe la cour, on chevauche à travers le pays, on se bat l'épée avec les personnages ! Je n'ai fait qu'une bouchée (ou presque) des 870 pages de ce premier tome du Vicomte.
Alors, une seule chose à dire... Au suivant !
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Autant j'ai lu très tôt les Trois Mousquetaire et Vingt Ans après, autant j'ai longtemps attendu avant de lire le Vicomte de Bragelonne. Je préférais relire, et re-relire, les tomes précédents de la trilogie, plutôt que de découvrir la fin de héros si importants pour moi.
Le début du roman n'est cependant tragique, au contraire, c'est un tourbillon de rire, d'amour et de plaisir, avec la rencontre de deux jeunes filles et d'un amant qui n'est peut-être pas assez aimé. Ce Vicomte de Bragelonne apparaît si peu dans les trois tomes, qu'il n'est évidemment pas le héros du roman dont il porte pourtant le nom. Comme il a été effacé du coeur de sa maîtresse, il est effacé de ses propres aventures, là où son père et ses amis, ses quatre pères, vivaient leurs aventures en combattant pour deux rois, pour une reine tels des chevalier au service de la Dame, pour la France même, lui n'est là que aimer, aimer à en souffrir et à en mourir.
Le héros véritable est donc Louis XIV, et le Vicomte de Bragelonne conte dans ses trois tomes le récit de sa prise de pouvoir personnelle. L'ascension du roi, qui devient véritablement roi, passe par ses succès militaires - grâce à D Artagnan, ses conquêtes amoureuses, son contrôle de l'Etat en excluant Fouquet, sa domestication des Grands avec l'étiquette de cour, son absolutisme ne tolérant aucune contestation - Athos à la Bastille, et son culte des arts enrôlés dans sa célébration glorieuse.
L'ère de l'épopée chevaleresque et des exploits individuels est donc terminée. Alors, oui, D Artagnan tente d'abord de réunir ses amis pour relancer une expédition en Angleterre, mais ce n'est plus le courage qui triomphe des obstacles, mais l'argent. A ce titre, Planchet gagne encore une place, du valet au confident et maintenant à l'ami de d'Artagnan, lui le boutiquier intéressé et paresseux.
Les Mousquetaires sont devenus objets de légende, mais eux-mêmes ne combattent plus ensemble, mais l'un contre l'autre : Aramis et D Artagnan s'affrontent, par les mots certes, mais il s'agit bien d'un duel.
D'Artagnan cependant trouve encore dans ce tome des occasions de s'illustrer, tant par son courage que par sa ruse et sa grandeur d'âme, prouvant que malgré l'âge, il reste un héros - au contraire, Raoul reste représenté comme un enfant.
C'est donc un tome où le rythme est encore assez vif, avec des péripéties et des rebondissements - ce qui ne sera pas le cas du deuxième. Cependant, on peut être un peu submergé par la masse de personnages nouveaux, sans arriver encore à voir les principaux fils de l'intrigue. Il faut donc continuer !
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Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
Charles II dégagea sa main de celle du roi, et se reculant pour le saluer avec plus de cérémonie,
— De tout mon cœur, merci, répliqua-t-il, sire, mais j’ai prié sans résultat le plus grand roi de la terre ; maintenant je vais demander un miracle à Dieu.
Et il sortit sans vouloir en entendre davantage, le front haut, la main frémissante, avec une contraction douloureuse de son noble visage, et cette sombre profondeur du regard qui, ne trouvant plus d’espoir dans le monde des hommes, semble aller au-delà en demander à des mondes inconnus.

(p. 184-185)
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— Maintenant, sire, qu’aurai-je à faire des finances ?

— Tout ce que M. Fouquet ne fera pas.

— C’est là ce que je demandais à Votre Majesté. Merci, je pars tranquille.

Il partit en effet sur ces mots. Louis le regarda partir. Colbert n’était pas encore à cent pas du Louvre que le roi reçut un courrier d’Angleterre. Après avoir regardé, sondé l’enveloppe, le roi la décacheta précipitamment, et trouva tout d’abord une lettre du roi Charles II. Voici ce que le prince anglais écrivait à son royal frère :

« Votre Majesté doit être fort inquiète de la maladie de M. le cardinal Mazarin ; mais l’excès du danger ne peut que vous servir. Le cardinal est condamné par son médecin. Je vous remercie de la gracieuse réponse que vous avez faite à ma communication touchant lady Henriette Stuart, ma sœur, et dans huit jours la princesse partira pour Paris avec sa cour.

« Il est doux pour moi de reconnaître la fraternelle amitié que vous m’avez témoignée, et de vous appeler plus justement encore mon frère. Il m’est doux, surtout, de prouver à Votre Majesté combien je m’occupe de ce qui peut lui plaire. Vous faites sourdement fortifier Belle-Isle-en-Mer. C’est un tort. Jamais nous n’aurons la guerre ensemble. Cette mesure ne m’inquiète pas ; elle m’attriste… Vous dépensez là des millions inutiles, dites-le bien à vos ministres, et croyez que ma police est bien informée ; rendez-moi, mon frère, les mêmes services, le cas échéant. »

Le roi sonna violemment, et son valet de chambre parut.

— M. Colbert sort d’ici et ne peut être loin… Qu’on l’appelle, s’écria-t-il.

Le valet de chambre allait exécuter l’ordre, le roi l’arrêta.
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Vers le milieu du mois de mai de l’année 1660, à neuf heures du matin, lorsque le soleil déjà chaud séchait la rosée sur les ravenelles du château de Blois, une petite cavalcade, composée de trois hommes et de deux pages, rentra par le pont de la ville sans produire d’autre effet sur les promeneurs du quai qu’un premier mouvement de la main à la tête pour saluer, et un second mouvement de la langue pour exprimer cette idée dans le plus pur Français qui se parle en France :

— Voici Monsieur qui revient de la chasse.

Et ce fut tout.

Cependant, tandis que les chevaux gravissaient la pente roide qui de la rivière conduit au château, plusieurs courtauds de boutique s’approchèrent du dernier cheval, qui portait, pendus à l’arçon de la selle, divers oiseaux attachés par le bec.

À cette vue, les curieux manifestèrent avec une franchise toute rustique leur dédain pour une aussi maigre capture, et après une dissertation qu’ils firent entre eux sur le désavantage de la chasse au vol, ils revinrent à leurs occupations. Seulement un des curieux, gros garçon joufflu et de joyeuse humeur, ayant demandé pourquoi Monsieur, qui pouvait tant s’amuser, grâce à ses gros revenus, se contentait d’un si piteux divertissement :

— Ne sais-tu pas, lui fut-il répondu, que le principal divertissement de Monsieur est de s’ennuyer ?

Le joyeux garçon haussa les épaules avec un geste qui signifiait clair comme le jour :

— En ce cas, j’aime mieux être Gros-Jean que d’être prince.
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Les malheureux s'attachent aux moindres espérances, comme les heureux aux plus grands bonheurs, et lorsqu'il faut quitter le lieu où cette espérance leur a caressé le cœur, ils éprouvent le mortel regret que ressent le banni lorsqu'il met le pied sur le vaisseau qui doit l'emporter pour l'emmener en exil. C'est apparemment que le cœur déjà blessé tant de fois souffre de la moindre piqûre ; c'est qu'il regarde comme un bien l'absence momentanée du mal, qui n'est seulement que l'absence de la douleur ; c'est qu'enfin dans les plus terribles infortunes, Dieu à jeté l'espérance comme cette goutte d'eau que le mauvais riche en enfer demandait à Lazare.
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Les malheureux s'attachent aux moindres espérances, comme les heureux aux plus grands bonheurs, et lorsqu'il faut quitter le lieu où cette espérance leur a caressé le cœur, ils éprouvent le mortel regret que ressent le banni lorsqu'il met le pied sur le vaisseau qui doit l'emporter pour l'emmener en exil. C'est apparemment que le cœur déjà blessé tant de fois souffre de la moindre piqûre ; c'est qu'il regarde comme un bien l'absence momentanée du mal, qui n'est seulement que l'absence de la douleur ; c'est qu'enfin dans les plus terribles infortunes, Dieu à jeté l'espérance comme cette goutte d'eau que le mauvais riche en enfer demandait à Lazare.
Un instant même l'espérance de Charles II avait été plus qu'une fugitive joie. C'était lorsqu'il s'était vu bien accueilli par son frère Louis. Alors elle avait pris un corps et s'était faite réalité ; puis tout à coup le refus de Mazarin avait fait descendre la réalité factice à l'état de rêve. Cette promesse de Louis XIV sitôt reprise n'avait été qu'une dérision. Dérision comme sa couronne, comme son sceptre, comme ses amis, comme tout ce qui avait entouré son enfance royale et qui avait abandonné sa jeunesse proscrite. Dérision ! tout était dérision pour Charles II, hormis ce repos froid et noir que lui promettait la mort.
Telles étaient les idées du malheureux prince alors que couché sur son cheval, dont il abandonnait les rênes, il marchait sous le soleil chaud et doux du mois de mai, dans lequel la sombre misanthropie de l'exilé voyait une dernière insulte à sa douleur.
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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