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EAN : 9782809420753
100 pages
Panini France (19/10/2011)
3.81/5   13 notes
Résumé :
Ian Edginton et Davide Fabbri ont imaginé qu’un météore, tombé près de Londres en 1854, a réveillé les morts. Transformés en zombies, ceux qui dormaient jusqu’ici en paix deviennent avides de chair humaine. Vingt ans plus tard, les services secrets de Sa Majesté ont réussi à les maîtriser.Le calme est revenu… mais pas pour longtemps. Un dénommé Moriarty a l’intention de se servir des morts-vivants pour renverser le gouvernement. Qui appelle-t-on à la rescousse dans ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Ce livre - un comics en fait - je l'avais zappé en découvrant sa couverture pour le moins "horrible". On y voyait une sorte de Sherlock Holmes en zombie, bouffé par les vers, en décomposition totale.

Bref, peu séduisante... J'imaginais un Holmes en zombie, revenant d'entre les morts, les bestioles en prime.

C'est sur un autre forum que j'appris que la couverture était indépendante du contenu (merci à Jean-Claude pour l'info, en passant). Il y a des zombies, mais ce n'est pas le grand détective !

En fait, la couverture était juste là pour un coup de pub. Cela avait eu l'effet contraire chez moi, ne cherchant même à découvrir cet album.

Une fois que je le sus, je me mis en quête de cet album et je le dévorai.

Oui, il est bien ! du moins, pour ceux que le fantastique et les zombies ne rebutent pas dans un univers victorien.

Je n'ai rien contre les zombies, mais ce n'est pas mon genre de prédilection. Alors, les morts-vivants mélangés à une histoire où Holmes est présent, ce pouvait être casse gueule au possible et j'aurais pu détester l'ouvrage.

Examen réussi : les auteurs ne se sont pas plantés.

Voyons ce qu'ils nous ont concocté comme histoire...

L'histoire démarre par un flashback, nous ramenant en 1854 alors qu'un météore traverse le ciel londonien, emmenant dans sa traîne un mal profond et inconnu.

Et, comme un malheur n'arrive jamais seul, c'est forcément sur l'East end que s'abat cette vague de peste zombie. Les gens meurent, reviennent à la vie et contaminent les vivants...

Oui, pas de nouveautés dans le genre : les bons vieux zombies restent les même.

Les services secrets réussiront à contenir la menace, ensevelissant au passage une partie de la ville pour prendre le maximum de précautions.

Mais 44 ans après (alors que le quatrième de couverture parle de "20 ans après"), à l'aube du XXe siècle, le mal refait surface.

Sherlock Holmes est revenu d'entre les morts (façon de parler, hein) après l'épisode des chutes du Reichenbach (mais nous savons qu'il n'était pas mort puisque non tombé, au contraire de Moriarty) et il est bien décidé d'enquêter sur ces morts qui ne le sont pas tout à fait, quand bien même les services secrets le lui interdiraient.

Quant à l'origine de ce regain de peste moribonde... Chuut, c'est un secret !

Comme je vous le disais, le scénario aurait pu sombrer dans les tréfonds de la connerie ou du farfelu, surtout avec une couverture kitch à mort et son côté "série B".

Cela ne laissait pas présager une véritable histoire, avec une intrigue développée et bien construite.

Bon, je ne vais pas vous mentir non plus, je me suis doutée de certaines choses...

On sent que l'oeuvre de Conan Doyle n'est pas une inconnue pour l'auteur et la passionnée de l'oeuvre holmésienne que je suis, ça fait toujours plaisir.

Grâce soit rendue à l'auteur : Watson n'est pas le benêt de service ! Alléluia ! Les auteurs en auraient-ils fini avec le Watson bête comme ses pieds ? C'est à espérer vu que les derniers Watson sont plus relevés au niveau intellectuels que certains que j'ai déjà lu et vu.

Non seulement il est intelligent (mais moins que Holmes, normal) et sa relation avec Holmes est celle d'une amitié profonde. Un plaisir aussi de découvrir que Mycroft, le frère de Sherlock, est également bien utilisé.

N'oublions pas Lestrade et ce bon vieux colonel Moran... Ironie, pour le colonel.

Graphiquement parlant, le dessinateur s'en sort haut la main.

Les décors de Londres sont fouillés, on a l'impression d'y être, les plans sont très variés et le rendu des scènes d'action sont de bonne facture.

Oui, il y a de l'action, des combats et du dégommage de zombies à la sulfateuse (de l'époque).

Bref, une belle variation sur notre légendaire détective tout en introduisant un élément fantastique sans (trop) dénaturer le mythe.

Comme pour les bédés où Holmes était face au suceurs de sang, les auteurs s'en sortent haut la main.

Le découpage est très "cinématographique", c'est rythmé, on ne s'embête pas, on frissonne et c'est visuellement soigné.

Le seul problème pourrait venir du trop-plein d'action. Oui, il en faut, mais trop d'action nuit à l'action et aurait pu causer la mort de ce bon scénario.

Attention, je ne sous-entend pas que le trop-plein d'action est pas là pour masquer le manque de scénario, comme dans certains blockbusters

Non, le scénario est fouillé, mais nous avons l'habitude de voir (enfin, de "lire") Holmes disserter et aiguiser son sens de l'observation et de la déduction. Ici, il le fait moins. J'aurais aimé plus de réflexion.

Malgré tout, hormis ce petit bémol, j'ai passé un bon moment auquel je ne m'attendais pas du tout.

Un récit culotté, fallait oser, ils l'ont fait, prouvant que avec un bon scénario, rien n'est impossible.

Lecteurs sensibles, attention, il y a de la décapitation dans l'air... ça grouille de vermines et quand il faut s'en débarrasser, on ne le fait pas avec de la dentelle. On dégomme et on ferraille sec !

N'oubliez pas de bien nettoyer votre sabre ensuite. On ne sait jamais, vous pourriez en avoir besoin dans quelques secondes...

A découvrir.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Ce tome contient les 5 épisodes de la minisérie du même nom, qui forment une histoire complète indépendante de toute autre. Ces épisodes sont initialement parus en 2010. le scénario est d'Ian Edginton, les dessins et l'encrage de Davide Fabbri (avec 6 pages dessinées par Tom Mandrake), et la mise en couleurs de Carrie Strachan.

En 1854, un météorite s'écrase dans un quartier de Londres en libérant un gaz verdâtre, avec un effet inconnu. Quelques mois plus tard, le médecin de quartier constate plusieurs morts semblables. Il finit par tomber sur un cas où le défunt revient à un semblant de vie, dans un état qui fait peur à voir. En août 1898, Sherlock Holmes et le docteur Watson démantèlent un club très privé où les riches de ce monde pouvaient s'offrir des divertissements pour assouvir leurs vices les plus inavouables. Dans le même temps une équipe de terrassiers découvre un cadavre qui reprend soudain vie. L'inspecteur Lestrade convoque Holmes et Watson à Scotland Yard pour qu'ils examinent le cadavre. L'affaire leur est retirée par des agents des services spéciaux de sa majesté. Il n'en faut pas plus pour qu'Holmes s'empare de l'affaire.

Rien que la couverture peut tenir le lecteur de comics éloigné de cette histoire : Sherlock Holmes contre des zombies. Difficile de faire plus racoleur, plus mercantile, et plus factice comme idée d'histoire. À tous les coups, il va s'agir d'un gugusse ressemblant vaguement au célèbre détective (ressemblance vraisemblablement limitée à la tenue vestimentaire) en train de se battre physiquement contre une horde de morts vivants sans personnalité et sans originalité.

Toutefois en feuilletant ce tome, le lecteur constate que Davide Fabbri a fait un réel effort de reconstruction historique. À l'opposé de décors vagues et impersonnels, il s'applique à reproduire la mode vestimentaire de l'époque, les façades de Londres, les décors intérieurs. Il n'y a pas des arrières plans dans toutes les cases, et les contours des formes sont légèrement arrondis, ce qui donne une apparence de surface un peu inoffensive. Mais la reconstitution est assez étoffée pour que le lecteur puisse se projeter dans l'environnement de cette époque.

Le lecteur doit quand même faire un petit effort supplémentaire parce que Carrie Strachan a décidé de privilégier une couleur dominante dans plusieurs séquences, noyant ainsi les détails des dessins. Par exemple dans l'épisode 2, lorsque Holmes et Watson explorent les tunnels souterrains, la voûte des tunnels est noyée dans une ombre épaisse qui masque les détails de maçonnerie que Fabbri a réellement dessinés.

Fabbri a conçu une apparence svelte pour Sherlock Holmes qui sourit régulièrement, en faisant un personnage séduisant et agréable. le docteur Watson fait son âge et son poids, sans qu'il n'en devienne une caricature. Mycroft Holmes manque peut-être un peu de personnalité graphique par rapport à la description qu'a pu en faire Arthur Conan Doyle. Fabbri a pris le parti de les dépeindre comme des individus normaux, sans en faire des personnages de légende. Cette forme de modestie visuelle sied bien à l'histoire et évite de les transformer en héros d'action, aux muscles saillants et à la mâchoire contractée.

Tom Mandrake dessine les 8 pages dévolues à la suite des événements de 1891 à Meiringen en Suisse, dans un très beau noir & blanc, dans le plus pur style de Gene Colan. Cela sied parfaitement à cette évocation du passé.

Ces dessins permettent donc au lecteur de se plonger dans le Londres de 1898 détaillé sans être glauque, pour une enquête sur une infestation de zombies. Si l'idée de faire s'affronter zombies et Sherlock Holmes ne donne pas confiance, le nom du scénariste laisse espérer un récit bien construit, et d'une évocation de cette période un peu consistante. Ian Edginton avait en particulier réalisé un très beau croisement entre des monstres lovecraftiens et une aristocratie so british dans le premier tome des aventures d'Ampney Crucis : Vile Bodies (en anglais).

Comme Fabbri, Edginton a le bon goût et l'intelligence de ne pas vouloir en faire de trop. Il ne prétend pas être Conan Doyle à la place de Conan Doyle. Il utilise la mythologie de Sherlock Holmes, avec respect et mesure. Il insère assez de détails pour qu'il ne s'agisse pas d'un personnage générique servant de portemanteau au nom ; il n'en met pas de trop pour que cela ne devienne pas une exégèse réservée aux seuls initiés.

Edginton insère également suffisamment de détails pour que l'intrigue trouve bien ses racines dans l'époque où elle se situe (plutôt qu'un scénario générique sans rapport avec l'époque). Il trouve un adversaire à la taille d'Holmes et une logique satisfaisante pour la présence des zombies et leur mode propagation. L'intrigue réserve plusieurs surprises et Holmes ne résout pas tout; tout seul, à grands coups de poing.

Contre toute attente, cette histoire réussit le pari de mettre en scène un Sherlock Holmes acceptable, qui ne se transforme ni en superhéros, ni en personnage d'action générique. Scénariste et dessinateur ont assez potassé leurs références pour que l'intrigue se nourrisse organiquement de l'époque à laquelle elle se situe. Cette histoire ne révolutionne ni le genre des zombies, ni Sherlock Holmes, et ne déconstruit ni l'un ni l'autre. Il s'agit juste d'une bonne histoire, plutôt originale, ce qui n'est déjà pas rien. Les 2 mêmes auteurs ont réalisé un épisode spécial mettant Sherlock Holmes face au docteur Jekyll, puis une deuxième minisérie opposant Holmes à des vampires. Ces histoires sont regroupées dans Sherlock Holmes versus Dracula (en anglais).
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J'ai trouvé la couverture de cette bande dessinée assez attrayante, presque comique, et surtout irrévérencieuse. Je m'attendais à quelque chose de plus drôle, plus pétillant que ce que j'y ai trouvé. Ce n'est malheureusement qu' une énième histoire de zombies : une comète (verte), des gens se transforment en zombies, puis mordent d'autres personnes qui se transforment en zombies à leur tour et ainsi de suite, jusqu'au moment où se sont les héros qui se trouvent menacés... J'ai déjà vu ça mille fois, je crois que concernant les histoires de zombies, je sature complètement. Et quand cela se passe dans les milieux populaires, la moitié des voyelles est remplacée par des apostrophes, c'est illisible. Bref, ce n'est pas drôle du tout, les personnages sont caricaturaux, Les auteurs confrontent la mythologie de Sherlock Holmes à celle des zombies, et ressortent tous les clichés des deux genres. C'est lourdingue, sans finesses, de la tarte à la crème.
Et il y a un autre truc que je commence à ne plus supporter, c'est les dégradés numériques, d'ailleurs la colorisation devrait plutôt être qualifiée de coloriage sophistiqué, bourré d'effets, artificiel et laborieux, mais il n'y a pas le moindre souci d'harmonie (un euphémisme), une souffrance pour mes yeux. J'ai eu beaucoup de mal à arriver au bout, je voulais quand même connaître la fin, mais une fois fermé, la seule chose que j'en retiendrais, c'est que ce n'était pas pour moi.
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Voici une BD qui traîne dans ma bibliothèque depuis des années. Cette dernière m'avait été offerte par mon meilleur ami. Il sait que j'aime les zombies. Mais j'étais très dubitatif d'inclure Sherlock Holmes dans ce type de récit.

Mais j'ai été forcé de constater que c'est un des meilleurs commics que j'ai jamais lu. Les auteurs partent sur le principe (selon Moriarty) que si une comète blanche aurait amené la vie sur Terre, qu'une comète verte pourrait amener la mort.

L'idée est bien trouvée et prend rapidement sa place dans cette excellente histoire. La malédiction serait tombée sur Londres à l'époque de la grande peste et aussi du grand incendie. Une fois de plus l'idée est bien pensée pour rendre l'histoire crédible en y faisant coïncider certains événements historiques.

Et une aventure de Holmes ne serait pas une vraie aventure de Holmes sans Morarty. Ce dernier aurait dû trouver la mort lors de leur dernier affrontement ou Morarty tombe dans la chute d'eau. Un de ses hommes de mains lui fait une injection en plein coeur afin de le transformer en un monstre assoiffé de sang

Holmes n'a d'autre choix que se dresser face à lui pour un affrontement sans pitié. En plus d'une grande qualité graphique, l'histoire nous tient en haleine d'un bout à l'autre. Un vrai régal.

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Victorian Undead est un comics américain écrit par Ian Edginton. Il y a deux tomes à ce comics .Le tome 1 , réunit les six volumes de la série Sherlock Holmes contes les zombies. le tome deux se compose de deux histoires : Jeckyll&Hyde et Sherlock Holmes contre Dracula.
Dans ce premier tome, Sherlock Holmes et Watson sont confrontés à une épidémie qui transforme les gens en zombies.
L'histoire débute par la traversée, du ciel de Londres en 1854, par un météorite. Après cette traversée, une épidémie de zombies se déclare. Les services secrets de la majesté arrivent à contenir cette épidémie et à la garder secrète durant quelques années. Mais, en août 1898, les zombies se réveillent et Moriarty s'en sert comme une armée afin de renverser le gouvernement .
Je ne connaissais pas ce comics (d'ailleurs,c'est mon tout premier comics). C'est d'abord, la couverture qui m'a attirée. Voir le fameux détective en zombie, j'ai trouvé cela original et osé. Ensuite et enfin, ce sont le titre et l'histoire qui m'ont intriguée. Je me suis donc lancée dans la lecture. Je fus agréablement surprise. On retrouve tous les éléments d'une histoire de Sherlock Holmes : les personnages, son caractère,son esprit de déduction....J'ai été un peu déçue par la fin (même si elle laisse entrevoir une suite) car je l'ai trouvée trop rapide à mon goût .Dans l'ensemble, c'est un bon comics et il me tarde de trouver le tome 2.
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critiques presse (2)
ActuaBD
30 décembre 2011
Sherlock Holmes face à une armée de zombies. Un pitch alléchant, si on aime les deux thèmes, et finalement bien amené par les auteurs qui ont la bonne idée de garder le ton léger de cette association saugrenue.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BullesEtOnomatopees
21 novembre 2011
Edginton et Fabbri réussissent une belle variation sur le légendaire détective, en introduisant un élément fantastique sans (trop) dénaturer le mythe. Ces deux habitués des adaptations [...] optent pour un découpage très cinématographique, rythmé et visuellement soigné. Seul bémol, commun à de nombreuses relectures actuelles : le trop-plein d’action, là où l’on aimerait parfois voir Holmes disserter et aiguiser son sens de l’observation et de la déduction.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il n'y avait pas de pouls. Sa chair était froide et pâle, et j'ai vu des traces de lividité cadavérique,ces tâches sombres formées par un afflux de sang quand le cœur s’arrête. Même la bouche et les yeux n'étaient plus humectés. Cette misérable créature était un macchabée, point.
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Toi aussi t'as péché d'ton temps Madge! Et puis avec tout l'gin et la bière que tu te t'mets dans l'gosier tu distingues plus ton cul de d'ton coude la moitié du temps !
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-Vous ne pouvez pas le soupçonner! Il est mort!
-Je l'ai été aussi, rappelez-vous.Et ils le sont mais cela ne semble nullement les déranger.
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-Ah, j'y suis...3 ars 1854: une comète est passée très bas.Ses dimensions étaient visibles à l’œil nu. Sa queue, d'un éclat vert et violet surnaturel, a fait tomber une pluie de lumière sur certains quartiers.
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Il a prétendu aider son frère à profaner les corps de sa mère et de sa sœur tout juste décédées.Elles seraient revenues de l'au-delà pour mes attaquer...
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