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sur 120 notes
Le ciel est bleu, le soleil est à son apogée, les oiseaux chantent l'arrivée de l'été, puis il y a ce banc où est assis cet homme. Il n'attend que nous pour se conter. C'est lui, Victor Hugo.

Les voix se délient, les pages caressent entre poésie et tranches de vie, Victor Hugo, le grand, l'incandescent, le maître délie quelques uns de ses secrets le temps d'un été avec lui.

C'est une autobiographie plus qu'agréable, ça fourmille d'anecdotes sur la vie de ce grand écrivain. Sa passion et dévotion pour le peuple, son regard attiré par les plus miséreux, ses sources d'inspiration dans la crasse parisienne pour écrire les mille pages des misérables. Son admiration pour nous, les femmes, belles ou laides. Ses infidélités à sa femme Adèle, sa douleur à la mort de sa fille Léopoldine, son acuité à soulever les tables lors de séances spirites. Une petite mine d'informations toujours digestes grâce à de petits chapitres, des informations variées, parfois analysées, parfois brutes et toujours des passages des écrits de Hugo. Poésie, lettres, pamphlets, ça roucoule pour donner corps et âme au récit informatif.
Les auteurs de ce bel été avec Victor Hugo ne manquent pas d'humilité, ils explorent avec respect et délicatesse la vie de l'homme. C'est parfois un peu naïf car Victor Hugo n'était pas un homme parfait. Henri Gourdin dans Léopoldine ne manquera pas de remettre les pendules à l'heure. L'homme était peu présent et peu aimant pour ses enfants.
Laura El Makki et Guillaume Gallienne ne rentrent pas dans la face plus obscure de l'écrivain. Ils jouent la corde des confidences, ils nous emmènent sur ce banc, pour un été avec Victor Hugo. Et c'est bon quelques heures en sa compagnie. C'est bon de se rappeler qu'un homme dantesque savait se pencher sur le laid côté de la vie, parler aux miséreux, leur donner corps et espoir dans beaucoup de ses écrits. C'est quelques heures à se remplir bouche et âme d'une exceptionnelle humanité. C'est redonner poids et conscience au peuple et au temps qui arme pour soulever la misère du sol. Un encrier à la place des bombes. Redonner la parole aux mots, leur donner force et légitimité pour que le peuple se soulève, voilà pourquoi Victor Hugo ne laisse personne indiffèrent.

« Je déclare qu'il y aura toujours des malheureux, mais qu'il est possible qu'il n'y ait plus de misérables. »
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Un moment des plus plaisants avec ce texte très vivant, rédigé par Guillaume Gallienne et Laura EL Makki,
fruit d'une série d'émissions diffusées pendant l'été 2015, sur France Inter...
Cette lecture divertissante et instructive nous fait "réviser" le parcours et les grands textes de Victor Hugo ; texte découpé en brefs chapitres thématiques, complété par une bibliographie sélective :

L'enfance, Adèle, l' épouse, Paris, les écrits de jeunesse, Hugo et les femmes, Dieu, Napoléon Ier, Napoléon le petit, Juliette Drouet, "Les Misérables", L'exil, la mer, le rêve européen, Shakespeare, La folie, Hugo dessinateur, le goût du Moyen-Age, l'Humour, La défense des Noirs, Les tables tournantes, la musique, Théophile Gautier, Eugène Delacroix, etc.

Le grand mérite de ce petit volume est de remettre l'accent sur des oeuvres moins connues, comme les romans , "Claude Gueux"..., Bug-Jargal (Texte où Hugo, dès l'âge de seize ans, s'intéresse à l'esclavage et aux droits des Noirs), l'étude sur William Shakespeare... trois ouvrages que je n'ai jamais lus et qui chacun, m'interpelle, et me donne grande envie de m'y plonger , très prochainement !!...

"Le roman -Claude Gueux- offre l'un des plus beaux plaidoyers d'Hugo pour l'éducation. (...)
"Messieurs, il se coupe trop de têtes par an en France. Puisque vous êtes en train de faire des économies, faîtes-en là-dessus. Puisque vous êtes en verve de suppressions, supprimez le bourreau. Avec la solde de vos quatre-vingt bourreaux,, vous paierez six cents maîtres d'école.
Songez au gros du peuple. Des écoles pour les enfants, des ateliers pour les hommes. Savez-vous que la France est un des pays de l'Europe où il a le moins de natifs qui sachent
lire ? (p. 158-159)"


Même si je sais bien que j'enfonce des "portes ouvertes"...je trouve toujours aussi extraordinaire l'actualité des combats, des engagements du poète : l'abolition de la peine de mort, l'éducation, la remise en question du monde judiciaire, la défense des pauvres, des exclus...des Noirs , le refus de l'esclavage, l'art engagé, citoyen...dirait-on...,jusqu'à ce rêve européen...

Je ne peux résister à retranscrire les lignes concernant cette Europe magnifiée, idéalisée:

"Un jour viendra où vous France, vous Russie, vous Italie, vous Angleterre, vous Allemagne, vous toutes nations du continent, sans perdre vos qualités distinctes et votre glorieuse individualité, vous vous fondrez étroitement dans une unité supérieure et vous constituerez la fraternité
européenne [...]. Un jour viendra où il n'y aura plus d'autres champs de bataille que les marchés s'ouvrant au commerce et les esprits s'ouvrant aux idées. [...] Comme tous les peuples lointains se touchent ! Comme les distances se rapprochent ! Et le rapprochement, c'est le commencement
de la fraternité. (p. 119)"
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Un petit livre qui se lit en une soirée et qui m'a fait comprendre à quel point la vie et les engagements de Victor Hugo sont indissociables de son oeuvre. Ce n'est pas le guide du routard mais c'est le guide du lecteur. Bien que d'autres biographies soient plus abouties, celle-ci est tout-à-fait convenable, j'abonde dans le sens d'Oran, une autre babélionaute qui vient de faire sa critique alors que je commençais la mienne car il me semblait utile de parler de ce livre.
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L'une des injustices de la langue française est que l'on dit de la langue française qu'elle est "la langue de Molière", alors qu'on devrait dire qu'elle est "la langue de Victor Hugo" sachant toutes les registres de langue qu'il a utilisé dans son oeuvre. D'autant plus lorsqu'on sait à quel point il a été malmené par les classicistes.
C'est un débat. Et ceci n'est que mon opinion et n'a pas de valeur universelle (ou nationale, bien entendu).

Repéré lors de la dernière émission de François Busnel, et aimant beaucoup Victor Hugo, il était plus que prévisible que j'allais me jeter sur ce petit livre !

La construction de ce récit, qui est une "compilation" de chroniques de Guillaume Gallienne sur l'écrivain, m'a beaucoup fait penser au livre de Michel Zink ( Bienvenue au Moyen Age).
Le choix de rédiger un livre sous forme de vignettes thématiques rend bien sûr la lecture très rapide et facile.

Si sur le fond, il n'y a pas grand chose de transcendant, ce livre a le mérite de donner des repères sur ce grand écrivain génial (et sans aucun doute insupportable pour ceux qui le fréquentaient) qu'était Victor Hugo.
Les auteurs font bien ressortir ce que la littérature doit à Hugo, mais aussi l'actualité de ses combats et de son oeuvre. Et bien sûr, quelques rappels biographiques pour mieux cerner l'auteur et la légende qu'il s'est lui-même construite en quelque sorte.

Je remercie donc Babelio et les éditions des Equateurs pour ce partenariat qui m'a permis cette petite pause hugolienne entre deux lectures.
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Merci à fanfannouche24 de m'avoir appris qu'il s'agissait d'une retranscription de textes lus sur France Inter en 2015, chose que j'ignorais complètement, donc merci à ce babeliote de me permettre d'avoir une attaque pour commencer cette critique.
Critique est un bien grand mot en réalité car, d'un, je ne me considère pas comme tel (je ne pense pas avoir les compétences requises) et de, deux, que dire, lorsque dans un ouvrage comme celui-ci, tout vous a plu. Il s'agit d'une biographie très peu ordinaire, dans le sens où elle n'est pas écrite dans le sens chronologique mais classée par thème, qui sont par la suite, largement développés pas nos deux auteurs que sont Laura El Makki et Guillaume Gallienne. Pour se plonger dans la vie d'un tel homme, grande figure de l'Histoire, comme Victor Hugo, il fallait avoir sacrément de cran, ce que nos deux auteurs réussissent à merveille ici. Pas une fausse note, pas un seul faux pas et qui plus est, et voilà où je démontrerais encore plus leur véritable talent, il s'agit d'une biographie qui ne se lit pas comme telle mais plus comme un roman. le lecteur n'est pas assailli de date : Victor Hugo est né en telle année, puis il a fait ses études avant de...Non, rien de ce genre. C'est un peu comme si le romancier devenait le héros de ses propres oeuvres et qu'il nous présentait sa famille, ses nombreuses maîtresses, ses passions, ses goûts, ses amis et s conviction politique comme si il parlait avec une vieille connaissance. C'est en ce sens que je trouve le titre de cet ouvrage extrêmement bien choisi : Certes, il s'agit de la vie de Victor Hugo mais décrite non pas comme un Grand homme de la littérature française mort depuis deux siècles mais comme si le lecteur se remémorait des discussions avec un ami qu'il n'a pas revu depuis longtemps. A travers ce texte remarquable, le lecteur ne peut se dire qu'une chose : avoir envie de faire une overdose de Victor Hugo, lire tous ses écrits jusqu'à plus soif, chose que je serais bien tentée de faire car je suis bien loin d'avoir lu toutes ses oeuvres, moi qui n'est même pas lu (oui, je sais, honte à moi) les mille et quelques pages de "Notre-Dame de Paris"). Ici, le lecteur (re) découvre non seulement un romancier, un amateur d'art et de musique mais avant tout un homme et surtout un père qui a été meurtri dans sa chair suite au décès de sa chère enfant Léopoldine. Quoi de plus dramatique en effet, que ce soit pour un homme ou pour une femme, que de voir ses enfants disparaître avant eux ? Je ne connais pas cette blessure là et espère n'avoir jamais à la connaître car je n'ose imaginer rien de plus affreux et l'on a beau être un homme que la France entière adule et être reconnu de ses pairs (même si, comme on le constate après la lecture de cet ouvrage, Hugo a dû subir quelques critiques bien acerbes), l'on reste néanmoins un être humain, avec ses points fortes, certes, mais aussi ses faiblesses !

Que dire de plus si ce n'est que cette lecture m'a passionnée et que je ne peux que vous la recommander ! Victor Hugo, point, il n'y a rien à ajouter !
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Le thème de notre prochaine réunion de notre petit club littéraire, est, une fois de plus, emprunté à une liste Babelio « Si l'été nous était conté ».
J'avais apprécié, il y a quelques années de passer un moment au coeur de juillet avec Montaigne, cette fois-ci, j'ai choisi la compagnie de Victor Hugo, un livre lu avant le solstice d'été.
Une biographie composée de quarante- quatre chapitres brefs qui racontent l'enfance, la jeunesse, la vie d'adulte du grand écrivain, mais aussi son oeuvre monumentale, ses engagements politiques, ses combats, ses convictions, son humour, son ego …
Certes ce petit livre n'a pas la prétention de tout dire, de dévoiler de l'inédit, mais la présentation choisie par Laura El Makki et Guillaume Gallienne permet de revisiter certains épisodes un peu oubliés ou au contraire de les remettent en lumière.
Un petit livre à croquer, à savourer comme un hors d'oeuvre estival bien frais, bien gouteux qui ouvre l' appétit pour lire ou relire alors plus consistant : ses poèmes, ses discours, son théâtre, et quelques -unes de ses neuf romans
Un été hugolien ? pourquoi pas !
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« Un été avec Victor Hugo » fut présenté et raconté par Laura El Makki et Guillaume Gallienne. La parution de ce livre combla l'été 2016 mais il peut se lire l'été 2018 et tous les étés à venir.
Une promenade « hugolienne » nous rappelle la puissance de ce géant de la littérature française et universelle.
Universelle car cette voix prémonitoire nous laisse pantois devant l'avant-gardisme et l'audace avec lesquels il défendit l'homme dès le premier quart du dix-neuvième siècle.
Son combat pour la liberté de l'art, l'abolition de la peine de mort, la reconnaissance des femmes, contre le travail des enfants, contre l'esclavage, l'idée d'une Europe sans frontières et monnaie unique, pour l'éducation rappelle le temps qu'il a fallu aux hommes pour se dépêtrer de ses préjugés et autres idées reçues.
La modernité de ses « coups de colère » s'inscrit encore dans notre siècle débutant. Il suffit d'observer, de regarder, d'écouter…
Victor Hugo, poète, romancier, auteur dramatique, dessinateur, homme politique, orateur…, toutes les facettes de cet « Ego Hugo » sont évoquées et secouent le lecteur.
Emphase romantique, surabondance d'images en ses poèmes, vers inscrits à jamais en notre mémoire, romans inoubliables, théâtre historique, le Hugo des discours, des engagements politiques malmène à bon escient notre conscience d'homme contemporain.
De l'humour aussi, des douleurs infinies (la mort de ses enfants), des amours, des élans de vie puissante, Victor Hugo, malgré le temps qui passe, rappelle à l'homme qui il est, ce pour quoi il vit…
Aucune concession (un exemple : son exil prolongé).
L'amour de la vie et l'amour des hommes, l'espérance, voilà les seules concessions accordées, les ailes du géant demeurent et se figent au-dessus de la masse.
« Les Rayons et les Ombres » se profilent à travers ce livre de lecture aisée, parcourant les moments clés de cet homme hors du commun, académicien et pair de France.
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Après Montaigne, Proust, Baudelaire, c'est à passer "Un été avec Victor Hugo" que nous invite ce nouvel opus des éditions des Equateurs, créé à partir de l'émission diffusée sur France Inter.
La vie et l'oeuvre de Victor Hugo sont évoqués au travers de différents thèmes : les femmes, l'éducation, le peuple, Napoléon.
Les chapitres sont courts mais vont à l'essentiel.
Parfois des visages inattendus de ce géant de la littérature nous surprennent: le goût pour le spiritisme, les tables tournantes.
On redécouvre un Victor Hugo très en avance sur son temps, notamment au sujet de l'Europe, des droits des femmes, des droits des Noirs, de l'abolition de la peine de mort.
Avec à chaque fois des extraits de ses discours qui résonnent encore très fortement dans le monde que nous traversons.
Un très bel ouvrage qui se lit d'une traite.
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La série "un été avec" est faite pour me plaire. Relire ses classiques est mon sport préféré, chaque nouvelle lecture étant riche de découvertes.

Mettre ses pas dans ceux de Victor Hugo, c'est enfiler des bottes de sept lieues, et parcourir mille lieux sur les épaules de ce bon gros géant pour qui le monde entier était à peine assez grand. Car tout ce qu'il entreprend est immense, en littérature comme en politique, ses voyages comme le nombre de ses amantes, son regard visionnaire de l'avenir comme ses évocations de l'aube de l'humanité.

Victor écrit des poèmes, des romans, des pièces de théâtre, des articles, des pamphlets, des discours, il peint, il dessine, il fait tourner les guéridons, mais qu'il s'enflamme ou qu'il se désespère, il n'est jamais petit.

Le Victor Hugo ne se dévalue pas avec les siècles: en 1959 il valait 5 nouveaux francs, aujourd'hui il cartonne au box-office avec les adaptations des Misérables ou de Notre-Dame de Paris.

Bref, il est mort mais toujours en bonne santé.
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Il s'agit d'une biographie de Victor Hugo répertorié par thèmes. Un thème est un chapitre. Les chapitres sont courts et il y en quarante-trois.

Victor Hugo a écrit trois cents septante six livres. Comment dresser un portrait de l'homme et de ses oeuvres ? Cela a été magnifiquement réalisé par Laura El Makki, de façon concise, ce qui fait pour mon bonheur une lecture facile.

Avant la lecture de ce livre, je savais peu sur Victor Hugo, mais je me suis promis de me racheter.

J'ai gardé un excellent souvenir de la version cinématographique des Misérables, celle ou Lino Ventura tenait le rôle de Jean Valjean.

Pour lui les petites gens, isolé, abandonné, pauvres sont des héros, obscurs certes mais parfois plus grand que les héros illustres. Son livre jette une lumière sur le désespoir. Jean Valjean, un bagnard a retrouvé la liberté après vingt ans de bagne pour avoir volé un pain. L'auteur a mis dix années pour écrire ce livre. Ses sujets de prédilection sont : la politique, le progrès, le peuple.

L'épouse de Victor Hugo était Adèle Foucher. Ils eurent cinq enfants. Léopold meurt peu après la naissance. Léopoldine meurt noyée. Charles meurt d'une apoplexie. Adèle, son père dû l'interner. Elle mourut de folie quelques années plus tard. C'est dire ce que cet homme a été éprouvé dans sa vie.

Victor Hugo eut une maîtresse en la personne de Juliette Drouet. Théophile Gautier, fidèle du clan Hugo la décrit dans : « Mademoiselle Juliette ». J'ai effectué des recherches et ne trouve nulle part trace d'un livre de ce nom.

Victor Hugo croit en Dieu mais est anti clérical.

Son premier roman est Han d'Islande ; ensuite, il s'intéresse à l'injustice sociale et écrit : « le dernier jour d'un condamné ». Il reprend le même thème dans : « Claude Gueux ».

L'écrivain est d'abord royaliste. Il se rallie ensuite à l'idée républicaine pour finalement devenir un farouche opposant au Second Empire. Louis Napoléon Bonaparte dit Napoléon III renverse la République, fait ratifier par plébiscite. Hugo se sent trahis et part en exil : Bruxelles, Angleterre, Jersey, Guernesey. Là il se passionne pour la mer et écrit : « Les travailleurs de la mer ». Il revient en France dix-neuf ans plus tard.

En 1878, Hugo est victime d'un malaise, peut-être une congestion cérébrale. Il part ce reposé, quatre mois en sa demeure à Guernesey. Ce mauvais état de santé met fin à ses activités d'écriture.

En 1885, à Paris, Hugo est victime d'une congestion pulmonaire. Il meurt sept jours plus tard.

Adèle Foucher a écrit un livre : « Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie ». Je n'en trouve trace nulle part.

Synthétiser la vie de ce personnage illustre n'est pas chose aisée car tant de faits accomplis par lui ont toutes leurs importances. Je pense pouvoir dire que ce livre est une pépite. En ce qui me concerne, pour mieux en saisir le contenu, j'ai dû apprendre en autodidacte l'histoire de France couvrant cette période. Ce livre me donne envie de lire de lire certains romans et textes de théâtre de Victor Hugo.

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