Outre la truculence des citations, du moins certaines, la seule chose qui rend l’entreprise sympathique est l’obsession destructrice qui habite Eszterhas à propos de Robert McKee, gourou du scénario depuis trente ans, qui a fait fortune en organisant des séminaires un peu partout dans le monde, décrivant son infaillible méthode pour vendre des scripts aux studios.
Lire la critique sur le site : Liberation