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3,74

sur 2078 notes
David Foenkinos nous propose une balade à travers les souvenirs du narrateur. Les souvenirs sont entrecoupés d'autres souvenirs des membres de sa famille ou d'autres personnalités. J'ai trouvé ce roman bien écrit, même s'il est quelque peu décousu.
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même si le passé est derrière nous, nos souvenirs nous permettent de nous construire un futur
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C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur et le constat reste le même: David Foenkinos a une écriture simple mais extrêmement poétique et ça me plait beaucoup !

J'ai beaucoup aimé le fait qu'à chaque personne citée lors de l'histoire, on évoque l'un de ses souvenirs par contre, à certains moments de la trame, je me suis un peu ennuyée et c'était dur de ne pas arrêter la lecture. Il faut passer les cent premières pages pour que de l'action arrive...

Il y a un peu d'humour placé dans les notes de bas de page, ce qui rajoute parfois un peu de piment !

Je me suis ennuyée dans ce roman, vraiment. J'aime beaucoup l'écriture de Foenkinos mais son histoire m'a ennuyée.

Vers la fin, j'ai eu l'impression qu'il y avait quelques incohérences temporelles, je n'ai pas tout compris.

La toute fin m'a bien plu mais pas assez pour remonter mon avis sur ce livre.

Deux amies m'avaient beaucoup parlé de ce roman, trop peut-être pour que je l'apprécie à sa juste valeur ce qui fait qu'en l'ayant fini, ma première réaction a été un grand " ENFIN!"


Ma critique complète: http://justemechapper.over-blog.com/2015/09/les-souvenirs-critique.html
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Ce livre nous encercle dans une bulle de nostalgie à mi-chemin entre le parfum de la madeleine, la table en fornicat et le regard débordant d'amour de notre grand-mère chérie. L'auteur nous transporte littéralement dans le train de son personnage. Lorsque celui-ci court, notre esprit court avec lui et l'encourage tel un supporter en casquette jaune ne voulant rater le passage du Tour de France annuel. Lorsque le personnage est inquiet, on ne peut s'empêcher de vouloir à tout prix se mettre dans la peau de 'Colombo pour apaisé ses pensées. Lorsque le personnage est soulagé, on relâche la pression qui nous tenait depuis quelques pages. Ce livre est un vrai marathon émotionnel, un slalome époustouflant entre nos propres souvenirs et la fiction du roman. Ce livre est d'une délicatesse sans limite.
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Décidément j'adore le style de David Foenkinos !! J'ai découvert l'auteur par hasard, en flânant, et j'avais été séduite par le texte de sa quatrième de couverture de son roman « La délicatesse » que je trouvais (et trouve toujours) drôle, original et recherché, poétique et vraiment bien écrit aussi.

Ce second roman lu de l'auteur vaut son titre de l'insertion par David Foenkinos de souvenirs de diverses personnes, d'un personnage principal de l'histoire comme du « boulanger du coin » ou encore de personnes célèbres.

Et surtout, il est vraiment très très bien écrit ! C'est un vrai régal, on a plaisir à lire ces phrases pensées avec tellement de soin : souvent si bien dites et recherchées, d'autres fois si imagées ou encore si poétique… Il plane également un caractère optimiste, joyeux, drôle…

C'est également un roman à personnages, auxquels on s'attache rapidement et que l'on a plaisir à suivre ! le petit-fils est un jeune étudiant qui se cherche. On suit sa construction de jeune homme et ses envies de rencontrer l'amour. Il rêve de devenir écrivain, pour plaire aux filles, mais pour l'amour des mots aussi. En attendant, il est réceptionniste de nuit dans un hôtel, c'est bon pour l'inspiration.

Les parents ont finalement qu'un rôle secondaire mais amènent un côté comique à l'histoire : tout juste à la retraite, la déprime laisse place à l'envie d'une seconde jeunesse.

Le récit est parsemé de situations et anecdotes rocambolesques. Il nous amène aussi à travers la vie d'habitants de Paris, mais aussi en Normandie ! Je ne vous raconte pas tout, mais on croise aussi un tas d'autres personnages plus étonnants les uns que les autres…
Lien : http://notecuivree.fr/2015/0..
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J'ai trouvé ce livre vraiment touchant. J'ai adoré la relation entre la grand-mère et son petit fils, mais ce que j'ai le plus aimé c'est le style d'écriture de David Foenkinos, très fluide et ponctué de nombreuses touches d'humour. le récit est très vivant car il est composé de souvenirs de nombreux personnages, qu'ils soient réels ou fictifs.
Ce roman m'a donné envie de découvrir d'autres écrits de cet auteur
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Superbe ouvrage, tout en douceur et émotion. L'alternance de souvenir de sa vie de jeunes adultes et de mémoires de personnages qu'y ont croisé son histoire ou de personnalités cités dans ce livre sont du meilleur effet. Sans doute l'un des meilleurs romans de Foenkinos
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On a là une très belle histoire, vraiment. C'est beau, c'est triste, c'est émouvant, c'est bien écrit, du bon Foenkinos quoi ! J'ai beaucoup aimé. Les personnages sont vraiment attachants, leur histoire est très bien racontée. Cela ne vaut pas Charlotte qui pour moi reste le meilleur livre de Foenkinos, mais c'est quand même un chouette bouquin.
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Une merveille
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J'avais adoré" la délicatesse"...j'étais restée sur ma faim avec "en cas de bonheur"...troisième tentative avec "les souvenirs"...

J'ai beaucoup aimé la première partie, axée sur la grand-mère du narrateur, sur le questionnement de la vie qui passe, du vieillissement...sur cette façon dont la vieillesse nous dépossède au yeux des autres de ce que l'on est ou l'on a été...point positif aussi ces souvenirs intercalés entre les chapitres (procédé qui n'est pas sans rappeler les anecdotes distillées tout au long de la "délicatesse")

Hélas trois fois hélas, la seconde partie du livre bascule dans une histoire d'amour guimauve, le narrateur se contemple beaucoup le nombril, s'écoute beaucoup penser (et il en devient insupportable) , Foenkinos se regarde beaucoup écrire et franchement ce n'est pas passionnant...on dirait qu'après avoir épuisé sa très bonne idée de départ, il s'est trouvé dépassé par le sujet et n'a pas su quoi en faire.

A lire pour la moitié du livre. le reste peut être oublié.
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Comment le grand-père du narrateur s’est-il cassé deux côtes et fracturé le crâne ?

Il est tombé dans la douche.
Il est tombé dans les escaliers.

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