AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,88

sur 3717 notes
Le perdant magnifique

Pour le rôle de Harry Potter, l'équipe du film a hésité entre Daniel Radcliffe et Martin Hill. En racontant la vie de celui qui ne fut pas choisi, David Foenkinos n'analyse pas seulement le sentiment d'échec, il retrace aussi cette extraordinaire aventure littéraire.

Il s'appelle Martin Hill. Fils de Jeanne et John, un couple franco-britannique qui s'est croisé lors d'un concert de The Cure, s'est marié, a mis au monde leur fils le 23 juin 1989 et s'est séparé avec fracas quinze ans plus tard. Martin est toutefois resté à Londres avec son père, devenu assistant décorateur de cinéma, et prend l'Eurostar le vendredi soir pour passer le week-end avec sa mère à Paris. le hasard veut que ce soit lors de l'une de ces fins de semaines où sa mère n'a pu le recevoir qu'il croise le producteur de l'adaptation d'Harry Potter. Son père ayant décidé qu'il pourrait l'accompagner sur le tournage de Coup de foudre à Notting Hill et éventuellement jouer un rôle de figurant.
Mais avant d'en arriver au casting, David Foenkinos va se pencher sur l'une des plus extraordinaires aventure éditoriale de la fin du XXe siècle. L'histoire de cette femme battue qui décide de rentrer en Angleterre avec son fils, vit de petits boulots et, lors d'un voyage en train du côté de Manchester imagine l'histoire d'un petit garçon apprenti sorcier va se doubler, mais comment pourrait-il en être différemment, d'une seconde histoire tout aussi extraordinaire, celle de la rencontre avec son éditeur décidée par une petite fille de huit ans. Et, alors que le livre est encore confidentiel, d'une troisième rencontre, bien entendu extraordinaire, celle de la genèse du film que l'on doit cette fois à une assistante timide et dépressive.
Alors que les ventes du livre explosent, on s'affaire pour le casting. Si les rôles secondaires sont assez vite pourvus, il n'en va pas de même pour Harry Potter. Jusqu'à cette rencontre avec Martin Hill.
Les essais sont concluants, pour ne pas dire enthousiasmants. Et ceux enregistrés avec un certain Daniel Radcliffe plutôt manqués. Mais l'équipe du film fera finalement le choix de ce dernier, sur "une intuition".
Si on imagine bien la déception que peut ressentir un jeune garçon si près du but, il est bien plus difficile de comprendre la marque profonde de cet échec dans sa vie à partir de ce moment.
David Foenkinos va alors nous rafraîchir la mémoire et nous rappeler la déferlante mondiale provoquée par la sortie du film, des volumes successifs de la série, puis des longs métrages suivants. En y ajoutant marketing et merchandising, on comprend qu'il était alors pour Martin Hill impossible d'échapper à toutes ces piqûres de rappel. Un drame dont son père ne se remettra pas. Un mal-être que sa mère cherchera par tous les moyens à guérir. Mais sans vraiment y parvenir. D'autant que son nouveau compagnon et le fils de ce dernier vont appuyer là où cela fait mal. Une souffrance d'autant plus difficile à vivre qu'elle semble ne pas trouver d'issue. Pire, la phobie est grandissante, paralysante. Il suffit à Martin de voir un exemplaire du livre trainer quelque part pour sombrer. Il va alors rêver de solitude et d'endroits isolés.
Le sentiment de l'échec indélébile est parfaitement analysé dans ce roman dont la noirceur ne s'effacera qu'avec l'épilogue, qui est un vrai morceau de bravoure.


Lien : https://collectiondelivres.w..
Commenter  J’apprécie          561
Martin est né en Angleterre en 1989, à dix ans un examen ophtalmologique va changer sa vie, sa vue a baissé, c'est ainsi que Martin commence à porter des lunettes, à la monture noire. Au même moment JK Rowling, une auteure inconnue s'apprête à connaître un succès phénoménal avec l'histoire d'un petit sorcier avec des lunettes rondes et une monture noire. Pour l'adaptation cinématographique de ce bestseller, il faut choisir un enfant de dix ans, la quête s'annonce compliquée. Fort de sa ressemblance avec le jeune héros, Martin participe au casting. Malheureusement il ne sera pas retenu, toute sa vie il va rester le numéro deux.

Après « la famille Martin », David Foenkinos nous offre à nouveau un roman très original. Pendant vingt ans nous allons suivre Martin, dont la destinée a basculé du mauvais côté et qui est hanté en permanence par l'ombre du petit sorcier qu'il aurait dû incarner. Ce récit qui se présente comme une réflexion sur l'échec ne m'a pas captivé, certes l'écriture de David Foenkinos est toujours malicieuse et teintée d'humour, mais une fois passée la surprise du sujet, j'ai trouvé que cela trainait un peu en longueur, certaines situations semblent très fantaisistes et la fin ne m'a pas convaincu. Sans aucun doute les inconditionnels d'Harry Potter seront heureux de découvrir toutes ces anecdotes sur l'univers du petit sorcier.
Commenter  J’apprécie          550
Une imagination au service d'une histoire peu banale : qu'est-ce qui a bien pu arriver au garçon qui n'a pas obtenu, de très peu, le rôle d'Harry Potter ? Comment survivre à ce rêve qui se brise violemment en quelques secondes ? Numéro deux est une fiction qui s'ancre dans la réalité, un livre que je vous recommande vivement.

Martin Hill, dix ans, vit à Londres quand deux déflagrations changent sa vie. Ses parents divorcent, sa mère part à Paris. David Heyman, producteur, repère le petit garçon brun à lunettes rondes, et lui fait tourner des essais pour le film Harry Potter. Bien que Martin ait un talent indéniable, c'est finalement Daniel Radcliffe qui obtient le rôle (je ne vous apprends rien, j'espère ?).

Ce livre tombe au bon moment, à l'heure des réseaux sociaux, nous passons notre temps à visionner des vies de rêve qui se déroulent dans des endroits merveilleux à l'autre bout de la planète. Pendant ce temps, nous mettons notre réveil pour partir à l'heure au travail. Suivant notre caractère, nous le supportons plus ou moins bien. Et encore, nous n'avons jamais vécu ce qu'a vécu Martin, échouer à rien du tout à incarner le plus célèbre sorcier du monde.

Numéro deux est facile à lire, replonger dans la folie Harry Potter et découvrir l'univers du casting, même romancé est un plaisir. Je craignais que la deuxième partie soit plus ennuyeuse, il n'en est rien tellement on se demande si Martin va s'en sortir, et si oui, comment, tant le jeune sorcier est omniprésent et ne cesse de lui rappeler son échec. C'est d'ailleurs cette omniprésence qui rend les réactions de Martin crédibles.

Pour finir, je ne vous parlerai du dénouement que pour souligner le talent imaginatif de David Foenkinos.
Lien : https://dequoilire.com/numer..
Commenter  J’apprécie          500
A sa sortie, et malgré des PAL qui débordent, je me suis offert : Numéro deux de David Foenkinos.
En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre.
Des centaines d'acteurs furent auditionnés. Finalement, il n'en resta plus que deux.
Ce roman raconte l'histoire de celui qui n'a pas été choisi.. Martin..
Numéro deux est un roman que j'ai adoré lire d'une traite. Heureusement que l'auteur précise qu'il s'agit d'une fiction car il y a tellement d'anecdotes sur Harry Potter, et le sujet est tellement bien fouillé que par moment il est difficile de deviner où est la fiction et où est la réalité !
Je suis fan d'Harry Potter et j'ai adoré découvrir le destin de Martin, qui a été le numéro deux lors du casting pour trouver le petit sorcier qui jouera dans la saga au cinéma.
C'est crédible, très bien écrit, et l'écriture est très fluide. Les pages se tournent toutes seules.
Nous découvrons Martin pendant son enfance, nous le suivons ensuite pendant son adolescence puis dans sa vie d'adulte. Il est très intéressant de le suivre sur une si grande période.
Martin est un enfant comme les autres. Il vit à Londres quand il découvre, comme de nombreux enfants, Harry Potter. Son papa travaille sur des tournages et le hasard fait que le jeune Martin va être pressenti pour jouer Harry Potter dans la future saga cinématographique.
Il est tellement convainquant qu'il se retrouve face à Daniel Radcliffe lors du casting final. Malheureusement pour Martin, Daniel deviendra Harry Potter, pas lui ! Et cet échec va conditionné le reste de sa vie.
Oh que j'ai aimé ce jeune garçon, qui m'a touché en plein coeur. Martin est un enfant comme tant d'autre jusqu'au moment où le destin s'en mêle..
Je n'en dirais pas plus car je trouve que c'est un ouvrage qui se lit, il est difficile de le raconter sans trop en dire.
J'ai adoré et c'est tout naturellement que je le note cinq étoiles.
Commenter  J’apprécie          420
« Toute vie humaine est à un moment ou un autre, gâchée par une autre vie humaine. »
Celui qui a gâché la vie de Martin Hill, le Poulidor du cinéma (et notre timide héros), c'est Daniel Radcliffe, le bienheureux acteur de Harry Potter sur grand écran. Il est celui qui l'a doublé dans la dernière ligne droite pour l'obtention du rôle, celui qui lui a pris sa vie. Et Martin ne s'en remet pas. C'est un échec qui le poursuit, le mine, lui gâche l'existence. Il ne parvient pas à surmonter cette déception…
Cela pourrait être un roman sur l'échec, c'est surtout un roman sur le deuil : deuil du père, d'une famille, de ce qui aurait pu être. Et comment on le surmonte (ou pas). C'est aussi un récit qui fourmille d'anecdotes sur Harry Potter 🧙🏻‍♀️N'ayant pas lu les aventures du petit sorcier (honte à moi), j'ai découvert de nombreuses informations le concernant. Enfin, j'ai retrouvé avec beaucoup de bonheur la plume joyeuse et bienveillante de David Foenkinos !
Certainement pas mon numéro 1, ni mon numéro 2 😉, mais une lecture très plaisante 😀
Commenter  J’apprécie          380
Allons à l'essentiel : j'ai aimé ce roman même si je ne le juge pas incontournable. En 1998, quand est sorti en France Harry Potter à l'école des sorciers, j'avais 13 ans et j'étais déjà une grande lectrice. Cette attente et cette effervescence, liées à la sortie des différents tomes et parfaitement décrites dans le roman de David Foenkinos, je les ai vécues. Et je dois vous avouer quelque chose : j'ai tellement aimé la saga Harry Potter que je ne l'ai jamais relue. Il est parfois bon de garder intact notre émerveillement de lecteur… Aussi, quand j'ai su quel était le sujet du dernier roman de David Foenkinos, je n'ai pas trop hésité. Mettre en lumière ce numéro deux – par le biais de la fiction – et offrir une vitrine à l'univers impitoyable des castings m'ont semblé une idée excellente, en plus d'être originale. Certes, il y a des détours avant que l'on n'arrive au sujet principal, et même pendant, mais ils ne m'ont pas gênée, au contraire : j'ai trouvé intéressantes toutes ces petites anecdotes qui donnent une couleur particulière au roman. C'est globalement très bien raconté et c'est, à mon sens, le point fort de l'auteur. Ce regard à la fois drôle et bienveillant porté sur les personnages m'a beaucoup plu. Je n'arrive cependant pas à dire si je suis parvenue à une forme d'empathie vis-à-vis des personnages ou si je suis restée en dehors de l'histoire… Quant à la fin, je l'ai trouvée un peu facile…

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
Commenter  J’apprécie          363
C'est la première fois que je lis cet auteur, dont j'ai pourtant déjà découvert de nombreuses citations qui m'ont touchées.

Fan d'Harry Potter, je n'ai pas pu résister à l'acquisition de ce roman, alors que « La délicatesse » m'attend dans ma bibliothèque.

J'ai trouvé la première partie quelquefois longue et embrouillée avec l'évocation de différentes personnes du monde du cinéma. Ce n'est qu'à la fin de cette première partie qu'on arrive à la terrible décision pour Martin Hill (peu avant la page 96).

La deuxième partie est consacrée à la façon dont Martin va interpréter cet échec. On entre alors (seulement) dans le vif du sujet.

La troisième partie est vraiment la plus intéressante selon moi. On découvre finalement que tout échec peut être surmonté ainsi que les pistes de solution pour triompher après un échec.

Le final est inattendu mais finalement très logique.

Bref, un beau moment de lecture si on excepte une première partie inutilement longue.
Commenter  J’apprécie          340
Dans « Numéro deux », David Foenkinos imagine la vie du finaliste qui n'a pas été retenu pour le rôle de Harry Potter dans la célèbre série de films. L'Autre. le Numéro deux. Au-delà du cadre qui parlera à tout le monde (qui ne connaît pas ou n'a pas lu Harry Potter ?), David Foenkinos livre une fable sur l'échec qui bouleverse et façonne une vie entière.

« Comment vivre avec l'idée qu'une autre personne a pris notre place ? le sentiment de traverser l'existence en étant assis sur un strapontin ». Telle est la sensation qui traversera Martin Hill, le candidat malheureux, une fois Daniel Radcliffe choisi. En effet, si Martin, découvert par le producteur des futurs films, n'avait au départ aucune ambition cinématographique, il s'est vite pris au jeu des auditions, jusqu'à croire qu'il décrocherait le rôle, qu'Harry Potter, ce serait lui. Comment se remettre d'un tel échec, vécu comme un véritable rejet ? « Ce qui est violent dans l'échec, c'est d'avoir perdu la maîtrise de son destin. C'est la soumission à la décision de l'autre. […] La pire conséquence d'un échec, c'est qu'il transforme le reste de votre vie en un échec ».

David Foenkinos montre ainsi dans son roman les conséquences d'un échec intériorisé jusqu'à l'extrême, puisque Martin prend en aversion tout ce qui peut avoir un rapport de près ou de loin au sorcier à lunettes rondes, au point de se désocialiser et de mener sa vie au fil de l'eau, sans chemin directeur. le destin fera que si Harry Potter, ce n'était pas lui au cinéma, il le deviendra dans la « vraie » vie : installé chez sa mère à la suite du décès de son père, il sera martyrisé par son beau-père et son fils, ou, pour essayer de surmonter son traumatisme, il se rendra dans un séjour à thème reproduisant Poudlard en carton-pâte et où, du fait de sa ressemblance avec le sorcier, il sera surnommé « Harry Potter »…

Pourtant, ce refus relève du hasard, du fortuit, puisque Daniel Radcliffe a été choisi sur le « je ne sais quoi » qu'il dégage. En somme, sur un élément indéfinissable. Hasard qui est déjà à la base de l'histoire d'Harry Potter et de son passage en film, une histoire en battement d'aile de papillon qui part de Joanne Rowling inconnue au chômage imaginant une histoire de sorciers, en passant par une baby-sitter dont la grand-mère décède, pour mener Martin sur le plateau de cinéma où travaille son père et où il est découvert, jusqu'au refus final. Ainsi, à quoi tient un échec ?

« On associe toujours le hasard à une force positive qui nous propulse vers des moments merveilleux. de manière étonnante, sa version négative est très rarement évoquée, comme si le hasard avait confié la gestion de son image à un génie de la communication. La preuve : on dit communément « le hasard fait bien les choses », ce qui occulte totalement l'idée qu'il peut tout autant mal les faire. »

Un final intéressant, bien qu'un peu attendu, mènera Martin jusqu'à l'acceptation de son sort, en lui faisant examiner l'autre face de l'échec : le succès. Est-ce que la vie qu'il aurait mené s'il avait incarné Harry Potter serait plus agréable ? Plus facile ? Autre, sûrement.

J'ai ainsi beaucoup aimé ce roman de David Foenkinos, le premier que je lis de lui. J'ai aimé qu'il aille au-delà du sujet, forcément attirant, pour en tirer quelque chose de plus universel, sur l'épreuve que représente un échec et l'importance qu'on peut lui en donner. Mais également le travail que cela coûte de le surmonter. Son style est agréable et percutant, malgré quelques tendances à l'aphorisme (ce qui n'est pas en soi un gros défaut). Bref, un auteur dont je prendrai plaisir à lire autre chose.
Commenter  J’apprécie          330
C'est en 1999 !
Tout le monde se souvient de l'ascension fulgurante de J. K. Rowling, auteur de l'épopée du petit sorcier mondialement connu sous le nom de Harry Potter, best-seller incontournable.
L'oeuvre littéraire est adaptée au cinéma et vient le temps du casting pour ce premier rôle très prometteur. Deux candidats sont retenus, un seul va devenir le héros des aventures au château Poudlard fameuse école de sorcellerie. le vainqueur sera Daniel Radcliffe et par conséquent Martin Hill restera le numéro deux !
Martin est un jeune homme sensible, il vit cette épreuve comme un échec au point de se sentir envahi voire hanté par l'histoire de Harry Potter. Il faut dire que partout on trouve une affiche, une pile de livres relatant les aventures en plusieurs tomes de l'apprenti sorcier. Difficile de s'en sortir, les slogans sont omniprésents.
David Foenkinos pointe le doigt sur les opportunités que la vie nous réserve mais aussi et surtout sur l'échec. Comment vit-on un tel échec si proche du but ultime ?
La place de numéro deux reste collée à la peau de celui qui voit sa chance s'effondrer devant lui. Martin va nous mener sur son chemin, et partager avec nous les rebondissements suite à cette expérience.
L'écriture est fluide et agréable, le roman se lit facilement et offre un bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          330
David Foenkinos est un auteur français que j'affectionne particulièrement car il est l'un des seuls qui parvient à m'émouvoir à chaque livre que je lis de lui. Cela a encore été le cas avec son dernier « Numéro deux » que j'ai, enfin, sorti de ma pile à lire à l'occasion d'une lecture commune organisée par le site lecture commune.com

Dans ce nouvel ouvrage, il est parti de l'univers d'Harry Potter et plus particulièrement, de ses films. En 1999, alors que les lecteurs dévoraient cette saga, il a été décidé de les adapter sur grands écrans. A cette occasion, il a fallu décider qui incarnerait le jeune sorcier. David Foenkinos nous conte ici la vie du jeune garçon qui est parvenu jusqu'au casting final face à Daniel Radcliffe.

Détail très intéressant : on y apprend plein d'anecdotes dans ce livre au sujet des coulisses des livres et films de Harry Potter. Les ayant lus bien plus jeune, j'ai éprouvé un vrai plaisir de me replonger dans ce monde-là.

Encore une fois, David Foenkinos est parvenu à me charmer par son écriture sensible avec l'histoire touchante de ce garçon, Martin Hill. On se rend alors compte du monde impitoyable du cinéma et de ces castings où les difficultés pour les personnes « restant sur la touche » sont nombreuses et combien chaque échec doit être ardu à surmonter, surtout pour la confiance en soi.

Empreint d'une profonde empathie, ce livre devrait charmer tant les fans du célèbre sorcier que ceux qui ne le sont pas. Contant une belle leçon de vie, pleine de courage et de résilience, j'ai complètement dévoré ce bouquin, une lecture « cocon » dans laquelle je serais bien restée plus longtemps.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
Commenter  J’apprécie          312





Lecteurs (6649) Voir plus



Quiz Voir plus

Numéro deux (David Foenkinos)

Comment s’appelle la mère de Martin Hill ?

Jeanne Chabrol
Jeanne Godard
Jeanne Rohmer
Jeanne Truffaut

20 questions
83 lecteurs ont répondu
Thème : Numéro deux de David FoenkinosCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..