“‘J’ignorais que tu avais une telle affection pour moi, Sam’, me dit Lubitsch. Et je répondis quelque chose comme : ‘Eh bien, je l’ignorais aussi, mais quand je t’ai vu mort, ça m’a donné...’ Je me souviens d’avoir hésité, et que c’est lui qui a trouvé le mot juste : ‘Un élan ? – Exactement !’, ai-je répondu – et nous avons tous les deux souri.”
Si Ernst Lubitsch et Samson Rapahelson s’estimaient et se respectaient, une pudeur réciproque empêcha long...
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