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EAN : 9782810011643
92 pages
L'artilleur (01/03/2023)
4.04/5   12 notes
Résumé :
Le 9 août, le groupe de travail n°1 du GIEC a publié dans le cadre du 6ème rapport de l’organisme un document de près de 2 000 pages, dont il est précisé qu’il a été rédigé par 751 auteurs émanant de 66 pays, qu’il cite plus de 14.000 références et a pris en compte 78.007 commentaires de gouvernements et d’experts. Un tel ensemble est évidemment illisible par quiconque.

C’est pour remédier à cette lacune qu’a été écrit le présent opuscule dans le but... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Un résumé facile à lire de la question climatique.(90 pages)
Le livre commence par 17 graphiques qui illustrent la stupidité de la psychose collective qui règne sur la question.
Le grap 17 en particulier à lui seul démonte les arguments des "prophètes de l'apocalypse".
Il est issu d'un article de 2001 du géophysicien US Robert Berner. (American Journal of Science) pour ceux qui systématiquement questionnent la source...On remarquera que personne ne demande la source... lorsque les journalistes répètent en boucle leurs stupidités.
Ce graphique a été maintes fois validé par de nombreux scientifiques.Il montre que la densité de CO2 dans l'atmosphère a été jusqu'à 40 fois supérieure à la densité actuelle dans les dernières 600 millions d'années qui ont précédé.
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Les émissions annuelles de CO2 de notre pays ne représentent que 1/20 000e de la masse de CO2 atmosphérique et celles de toute l'Union Européenne que 1/2000e. La masse mondiale actuelle de 3200 milliards de tonnes n'a rien de dramatique. Elle fut beaucoup plus importante du temps des dinosaures. La végétation était luxuriante. On oublie aussi de dire que le CO2 est bon pour la croissance des plantes. Les efforts gigantesques demandés aux pays, aux entreprises et aux citoyens pour réduire leurs émissions de gaz dits « à effets de serre » ne servent donc pas à grand-chose, d'autant plus que les plus gros producteurs (Chine, Inde, Etats-Unis et autres pays du tiers-monde) promettent beaucoup mais agissent peu. Contrairement aux affirmations mensongères du GIEC, la température terrestre moyenne n'a pas connu de « réchauffement accéléré » depuis les accords de Paris de 2015, mais plutôt une légère baisse. Tout au long de l'Histoire, les températures ont toujours varié avec des périodes plus douces (Moyen Âge) ou de petits âges glaciaires (XVIe-XIXe siècle). Les Nordiques baptisèrent le Groënland (Terre verte) car ils y cultivaient et des arbres y poussaient à leur époque… Très bien équipée en réacteurs nucléaires et en barrages, la France ne devrait même pas avoir besoin de recourir aux éoliennes et aux panneaux photovoltaïques. Quand il y a trop de vent ou de soleil, nous nous retrouvons en surproduction, nous sommes alors obligés d'exporter 80% du surplus à vil prix et même de freiner nos centrales ! Energies vertes et nucléaires sont incompatibles. Et on oublie de dire que 6 millions d'enfants meurent chaque année dans le Tiers-monde par manque d'accès à l'électricité et à l'énergie. Jamais les dirigeants des pays pauvres n'accèderont aux demandes des pays riches…
« Le climat par les chiffres » est un court essai direct, bien étayé et bien écrit qui remet les pendules à l'heure et l'église au milieu du village. Christian Gerondeau renverse trente ans d'intimidation intellectuelle en prouvant, sur la base des chiffres officiels que les affirmations des plus hautes autorités au sujet du climat sont infondés pour ne pas dire mensongères. Toute la première partie de l'ouvrage présente une batterie de graphiques officiels avec commentaires et explications qui laissent rêveur. Nous aurait-on menti depuis si longtemps ? Tout ce narratif répété, martelé à longueur d'émissions et de bulletins météo (présentés sur fond rouge pour faire plus chaud) ne serait donc que fantasmes et science-fiction ? Mais alors quel en serait le but ? Instaurer une écologie punitive ? Créer les conditions d'un appauvrissement généralisé des pays qui participent à cette « dé-carbonisation » ? L'auteur ne répond pas à ces questions. Il n'entre ni dans la politique ni dans les polémiques. Il se contente de présenter des faits et des chiffres. La réalité. Et elle ne colle pas vraiment avec la fiction réchauffiste…
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Ouvrage au contenu surprenant pour quiconque avec un minimum de bagage scientifique : comparaison entre des flux et des masses (pour justifier que la France n'émet presque rien par rapport au CO2 dans l'atmosphère), utilisation de données localisées pour contredire des moyennes (la non-hausse des eaux à Brest!), historique du taux de CO2 sur 600 millions d'années, soit bien avant l'humanité, zoom sur la température depuis 2015 au lieu de moyennes avec comparaison par rapport à l'ere pre-industrielle, etc.

Bref une série de fiches qui ont l'air scientifiques mais en sont très loin. L'auteur invoque un diplôme de polytechnicien, une marque de crédit semble t'il en France, mais obtenu il y a plus de 60ans, et qui ne fait pas de lui un climatologue ni même un scientifique.

On préférerait tous naturellement se convaincre que tout va bien et continuer à franchir allègrement les limites planétaires, ce qui peut rendre ce type d'ouvrage séduisant à première vue. Dommage qu'il n'y ait pas davantage de revues de cette forme dangereuse de littérature climato-sceptique.
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Videos de Christian Gerondeau (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christian Gerondeau
Davantage de CO2, c?est moins de pauvreté, moins de morts et moins de famine sur la planète.
Depuis 1990 les émissions de CO2 des pays en voie de développement ont triplé, et deux milliards d?êtres humains sont sortis de la pauvreté. Les deux phénomènes sont indissolublement liés.
En favorisant la photosynthèse, le CO2 contribue en outre massivement à la lutte contre la faim dans le monde. Ainsi, l?augmentation de plus de 40 % de sa présence dans l?atmosphère a-t-elle accru à elle seule la production mondiale de céréales de 600 millions de tonnes par an, soit 80 kilos par être humain !
Face à ces avantages, y a-t-il lieu de craindre un réchauffement massif de notre planète ? Les données qui ouvrent le livre montrent sans ambiguïtés que les annonces de hausse brutale qui ont cours depuis trente ans sont démenties par les faits.
Ce qui est certain en revanche, c?est que nous gaspillons des dizaines de milliards d?euros en voulant réduire nos rejets de CO2. Les émissions annuelles de notre pays représentent un dix-millième (1/10000) de la masse de CO2 présente dans l?atmosphère terrestre, et celles de l?Union Européenne un millième (1/1000). Ce que nous faisons ne sert à rien.
Ce livre démonte l?une des psychoses majeures de notre époque, dont il décrit l?origine, les mécanismes et les bénéficiaires.
http://www.editionsdutoucan.fr/livres/essais/co2-est-bon-planete#.WgmztoWcGcw
Ingénieur Polytechnicien, Christian Gerondeau a été responsable national et européen de la sécurité routière et il a sauvé des dizaines de milliers de vies par les mesures qu?il a fait adopter. C?est dans la même poursuite de l?intérêt général qu?il se mobilise depuis une dizaine d?années pour une politique de l?environnement non idéologique soucieuse avant tout des êtres humains.
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