Qui, de l'homme, Pierre, ou de la femme, Anna, soumet l'autre, l'absorbe, le phagocyte, le recrée à sa propre image dans le miroir déformant des mots ? Lequel des deux impose son "un" ? L'un, puis l'autre, accomplissent ce forfait conjugal. Verbatim. Avec passion, minutie et véhémence. La bande-son des scènes est un rempart contre l'oubli. Mais elle est lacunaire, remontée, truffée de bruits parasites et de paysages sonores qui viennent en perturber l'écoute. A deux...
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