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4,04

sur 1195 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'avais adoré l'adaptation cinématographique de Légendes d'automne, au début des années '90, donc c'est avec beaucoup d'enthousiasme que je me suis lancé – enfin – dans ce bouquin. J'ai été très surpris de constater qu'il s'agissait en fait d'un recueil de trois nouvelles, dont la dernière est l'histoire qui a donné son nom à l'ensemble.

Les deux premières, malgré des débuts prometteurs, m'ont déçu au fur et à mesure que j'avançais dans ma lecture. Et je crois que ce qui a «sauvé» la troisième, c'est les images qui m'étaient restées du film. Je crois que Jim Harrison avait trois intrigues avec beaucoup de potentiel, trop peut-être pour des nouvelles, qui auraient pu constituer trois romans distincts. Je suis resté avec cette impression «d'entre-deux» : ces histoires contiennent, selon moi, trop d'éléments qui s'étirent pour une nouvelle mais ça manquait la profondeur d'un roman. Dans tous les cas, je sentais toujours une certaine distance entre l'histoire et moi-même. Peut-être à cause de la narration, ou de moi aussi, je n'arrive pas à mettre le doigt dessus.

Pourtant, les premières pages de Une vengeance m'ont accroché. Ce pauvre paysan mexicain qui trouve un homme grièvement blessé, abandonné dans le désert, du mauvais côté de la frontière. Un médecin aux méthodes peu orthodoxes lui vient en aide. J'ai trouvé tout ça intriguant. Vraiment ! Puis on retourne en arrière, on découvre comment le mourrant Cochran s'est retrouvé là, son amour pour Miryea, les dealers, etc. Plus j'avançais, plus je trouvais cette histoire un peu exagérée et prévisible alors mon intérêt s'est émoussé.

Pareillement pour la deuxième nouvelle, L'homme qui abandonna son nom. Pire, même, ce Nordstrom, désabusé par sa femme et sa carrière, il m'a laissé indifférent assez tôt. Il a beau tout larguer et essayer de se refaire une vie, je m'en moquais, même de ses mauvaises rencontres. Dommages. Je suis passé à côté de toutes ses réflexions sur le sens de la vie mais tant pis.

La seule nouvelle qui a trouvé grâce à mes yeux est la dernière, Légendes d'automne. Mon dernier visionnage du film date un peu mais il me semble qu'il était assez fidèle, à quelques détails près. J'ai retrouvé plusieurs personnages que j'avais appréciés donc il est difficile de dire si leurs descriptions étaient suffisantes ou c'est les souvenirs que j'avais gardés du film qui ont opéré à merveille. Dans tous les cas, ils sont uniques, fascinants, du vieux William Ludlow à ses trois fils, en passant Isabel qui mène sa vie bourgeoise à Boston et par ses employés Un Coup (l'Amérindien) et Decker. Chacun apporte sa contribution à cette magnifique fresque familiale. Sans oublier cette ode aux grands espaces (Montana, Canada, océans et Afrique) et aux événements marquants de l'époque (Première guerre mondiale, prohibition). J'aurais souhaité que cette histoire s'étire sur des centaines et des centaines de pages. Mais bon, il faut se contenter de ce dont on a sous les yeux. Pour plus, il y a les adaptations cinématographiques !
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J'avais bien des attentes concernant ce recueil de trois novellas :

J'aime énormément le film "Légendes d'automne".
J'aime les grands espaces américains et la littérature américaine contemporaine et Jim Harrison est présenté comme une référence en la matière.
La quatrième promet "Trois hommes, trois vengeances, trois histoires d'une intensité et d'une violence à couper le souffle".
Très bien, tout pour me plaire.

Lecture...
Première impression : c'est... viril. C'est bien la première fois que je ressens ma condition de femme en lisant un bouquin ; d'habitude, je n'ai aucun mal à m'identifier aux personnages masculins même violents, même animés de désirs qui me sont étrangers... mais là, impossible. Je reconnais une belle plume et des passages auréolés d'une certaine grâce mais je suis restée complètement étrangère aux trois novellas.

De grands espaces du Midwest point. La nature est rapidement évoquée dans "Légendes d'automne" mais sans plus.
La quatrième grossit l'importance de la thématique de la vengeance : fallait-il trouver à tout prix un lien entre les trois histoires, même hasardeux ? C'est plutôt mince comme lien...

Bref, je n'ai rien ressenti.
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Quelle déception ! Autant j'ai aimé les 2 nouvelles réunies sous le titre "Nageur de rivière", hymne à la nature et aux grands espaces de l'ouest américain, autant j'ai été déçue par les trois nouvelles de ce recueil qui tient son titre du troisième récit : "Légendes d'automne".
Ma déception est principalement due à la sécheresse de ton de "Légendes d'automne" justement ; car la densité des informations que Jim Harrison délivre dans ce récit, tellement schématisé, laisse cruellement le lecteur sur sa faim. Oui, tant et tant d'événements se produisent dans cette centaine de pages que le lecteur s'imagine avoir affaire à un résumé, qui par sa froideur et sa concision, due inévitablement au raccourci induit par ce format, empêche le lecteur de se couler dans ce récit qui aurait dû l'emporter, tant le départ en était prometteur ; ce que réussit parfaitement le film qui en a été tiré !
On cherche ici désespérément le souffle des grands espaces ainsi que l'humanisme qui animent habituellement la prose de Jim Harrison, ce qui disparaît ici sous un amas d'informations beaucoup trop abondant pour permettre au lecteur de communier avec cette nature sauvage, dont Jim Harrison s'est fait le chantre.

Quant aux deux autres nouvelles, la première conte la vengeance d'un homme, gravement blessé, suite à un tabassage, et laissé pour mort dans la nature, et elle émeut bien davantage, car elle donne aux différents personnages infiniment plus de substance, tout en décrivant leur évolution psychologique.

Pour la seconde, profondément différente et apparaissant anachronique dans ce recueil, du moins à mon sens, elle nous décrit un homme, fatigué de tout ce qui a fait son existence et qui libère par la danse son corps et son esprit de toutes les scories accumulées durant sa vie conjugale et son expérience professionnelle.

Dans une des nouvelles, il est rapporté que Teddy Roosevelt prétendait : "j'aime boire le vin de la vie avec un peu de cognac dedans" ...
Hélas, on cherche désespérément le cognac dans ces trois récits, sauf le premier qui nous en offre une goutte ... mais c'est insuffisant.
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Les romans de Harrison font entrevoir en chacun de nous l'ombre portée du criminel, du tricheur et du saint.
Au surplus, le style est à lui seul un chef d'oeuvre, une leçon pour les auteurs français plus habiles à sodomiser les mouches de la ponctuation, à sacraliser des arguties qu'à livrer une inspiration urgente.
Le roman, pour Harrison, c'est la religion du délire, il enivre les mots, les saoule à mort ; il écrit à tue-tête et bâtit des phrases où se devinent encore les ahans et les suées.
Jim Harrison est un écrivain passionné, donc il nous passionne.
(Yann Queffelec, Le Nouvel Observateur, 1981. 4ème de couverture chez 10/18, édition de 1994)
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Recueil de trois nouvelles qui sont à l'image de l'auteur : taillées dans le roc, burinées par le soleil. Ici, on ne fait pas dans la dentelle, c'est viril, on s'entretue pour des histoires de femmes, de drogue, d'alcool... on tue, on lave son honneur mais on peut également pardonner. La rédemption existe!
Ces nouvelles sont bien ancrées dans le substrat du grand-ouest américain, celui des grands espaces, des colts et des fusils. Il faut être de bonne constitution pour se sortir des pièges et des embuscades que peuvent réserver la vie.
La dernière nouvelle (Légendes d'automne) a fait l'objet d'une réalisation cinématographique en 1994 plutôt bien réussie, avec de prestigieuses têtes d'affiche (Anthony Hopkins et Brad Pitt).
Pour conclure, je ne peux pas dire que j'ai été emporté par ces trois nouvelles ni par l'écriture. Néanmoins, elles méritent le détour et Jim Harrison garde tout mon respect et mon estime. D'ailleurs, je vais lire "Dalva"!
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Aie-je eu affaire à trois grandes nouvelles ou à trois petits romans ? Je n'en sais rien, tout ce que je sais, c'est que j'ai eu affaire à trois récits qui mettent en scène des hommes aux prises avec leur vengeance.

Mais la vengeance vaut-elle toujours le coup ? Ne nous ronge-t-elle pas sans pour autant nous apaiser puisque lorsque l'être cher est perdu, la mort du responsable ne le fera jamais revenir ?

En tout cas, nos trois hommes auront des manières bien particulières de se venger et de répondre à la question sur le fait de l'utilité de la vengeance.

Dans les trois récits, j'ai grandement apprécie le premier, avec Cochran, un ancien militaire, qui ne trouve rien de mieux que de tomber amoureux de la femme de son ami, magnat de la drogue et mexicain peu commode lorsqu'on lui fait pousser des cornes.

J'ai aimé le début, lorsque Cochran est retrouvé et qu'on ne sait pas qui il est et ce qu'il faisait là, à moitié mort. Son histoire, que l'on nous conte au fil des pages, est intrigante et sa vengeance sera pour le moins assez sanglante… Avant que tous ne se rende compte de l'inutilité de la chose.

Ce que j'ai moins aimé, c'est que sur la fin, il y ait moins de dialogues et que les paroles nous soient présentées en phrase plutôt qu'en véritable dialogues.

« Il appela son neveu et lui ordonna de donner quelques uns de ses vêtements à Cochran puis de veiller sur sa mère et de ne pas la quitter un instant ».

La seconde m'est un peu passé au-dessus je dois dire et j'ai sauté directement à la troisième, celle dont on tira un film émouvant et qui donne son titre au recueil « Légendes d'automne ».

Bon, on oublie le film, la nouvelle n'est pas tout à fait la même, enfin, c'est le film qui ne lui est pas fidèle, mais la puissance de l'écriture de Jim Harrison se trouve dans le récit, dans les personnages, dans les blessures de Tristan Ludlow, dans sa vengeance, qui fut sanctionnée, alors que l'utilisation de gaz moutarde non.

Tristan est un personnage que j'ai aimé, il est blessé dans son âme depuis la mort de son frère cadet à la Première Guerre Mondiale, parce que le père, imbécile, y envoya ses fils pour défendre son Angleterre natale, avant de se rendre compte, un peu tard, que la guerre de 14 n'avait plus rien à voir avec les guerres qu'il avait faite.

Tristan, c'est l'homme qui fuit sa famille pour tenter de trouver la paix et qui ne la trouvera pas et le jour où il se posera enfin sur les terres familiales et semblera trouver un ancrage, la Mort viendra lui reprendre ce qui le faisait se sentir en paix.

Trois récits, trois époques différentes, trois hommes que rien ne relie si ce n'est des destinées marquées par la solitude, les trahisons et l'envie de se venger. La violence de leur vies les a brisé, la Vie ne leur a jamais fait de cadeau, reprenant ce qu'elle leur avait donné après qu'ils y ai gouté et pris goût.

Trois hommes qui ont souffert au plus profond d'eux-mêmes, qui ont dû se battre pour vivre ou survivre et qui n'avaient que deux options devant eux : renaître de leurs cendres tels des phénix ou continuer de souffrir jusqu'à en mourir.

Un roman qui met en avant des hommes, où les femmes sont bien souvent l'instrument de leur chute, le tout sans nous jeter la pierre. C'était la fatalité.

(3,5/5)

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Comme sous le titre "Légendes d'automne" se cachent trois grosses nouvelles (ou petits romans selon la préface), ma critique va s'appliquer individuellement à chacune d' elles car mon avis est loin d'être homogène.

La première porte un titre plus qu'explicite : "Une vengeance", sous lequel se cache une intrigue plutôt banale où un homme séduit la femme d'un autre et fait voler leur amitié en éclat. La suite est aisée à deviner : sous le chaud soleil du Mexique, le règlement de compte sera terrible. C'est ici que le talent de l'auteur pour décrire les paysages et l'ambiance (on sent la poussière et la sueur sur le visage des protagonistes) m'a séduite en premier. L'idée de rédemption de la fin atténue un peu la violence de l'histoire. 11/20

La deuxième "L'homme qui abandonna son nom" m'a laissée au bord de l'exaspération et à deux doigts de l'abandon. Désolée, mais je n'ai rien compris à ce type qui danse et qui veut changer de vie... 1/20. J'ajouterai qu"une phrase prononcée par le personnage principal m'a tout simplement horrifiée : "C'est la vie qu'elles n'ont pas encore vécue qui éveille le désir des hommes pour les très jeunes filles. Avoir douze ou treize ans, être un peu bébête, sans souci et se mouvoir avec cette grâce maladroite. Rien d'étonnant dans ce désir ; le monde, tel qu'il se présente, est tellement effrayant."

Heureusement, la troisième histoire "Légendes d'automne" dont le livre porte le titre (son sens par contre m'échappe) m'a réconciliée avec l'auteur en me faisant renouer avec ma passion de jeunesse : les westerns. J'adorais cet univers peuplés d'hommes virils à la gâchette facile (j'ai un peu changé...). Tristan, dont l'enfance a été bercée par les rites indiens, incarne tout à fait cet idéal, mélange de traditions et de modernité. Violence, rivalités, vengeance, des mots difficiles qui résumeront son destin, si brièvement éclairé par les flammes de l'amour ou de l'amitié. 16/20

Pour résumer, une première rencontre avec celui que l'on présente comme une légende américaine, bien mitigée et très loin de l'emballement positif de la plupart des critiques. Certes, l'écriture est parfois percutante, âpre et entière à l'image du personnage de Jim Harrison, mais j'attends d'avoir lu "Dalva" qui m'attend dans un recoin de ma PAL pour finaliser mon avis. En général, j'ai du mal avec les nouvelles, je n'aurais peut-être pas dû commencer par ce titre. A suivre...

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Ce recueil est composé de trois novellas. « Elles célèbrent la vie lorsque les tragédies les plus terribles s'accumulent » écrit François Busnel dans la préface.
La première, « Vengeance », pourtant la plus violente, est celle que je préfère. J'ai trouvé l'histoire bien racontée. le romancier, avec un simple détail, donne du relief à une scène. Et comme le dit Truman Capote : « L'art est fait d'un détail bien choisi, qu'il soit pure imagination ou qu'il distille la réalité ». J'avais l'impression d'être au cinéma. Ce sentiment a persisté lors de la lecture des deux autres textes, mais de façon moins vive. le film était moins bon !
Dans « Légendes d'automne » et particulièrement dans « L'homme qui renonça à son nom », l'écriture a été un obstacle à une lecture plaisante. Lire a été comme gravir une pente avec trente kilos sur le dos. Fort heureusement, le romancier, dans le dernier tiers de chaque récit, s'est concentré davantage sur les actions des personnages. Leurs pensées plutôt opaques jusque là avaient été pour moi une pierre d'achoppement. Dans ces dernières pages, elles ne viennent plus freiner ma lecture et se fondent davantage dans le récit. le style devient plus fluide. le rythme s'accélère. Sans l'ombre d'un doute, Jim Harrison maîtrise ses « chutes ».
Pour finir, j'ajouterais que j'ai aimé les descriptions de paysages (Montana…) et la mise en évidence de quelques pages de l'Histoire des États-Unis (la prohibition…).
Il y a donc de beaux et intéressants passages dans ce recueil « Légendes d'automne ». Il n'en demeure pas moins que je me suis beaucoup ennuyée.
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3 histoires de vie (et de mort !) qui ont comme point commun d'être, en gros, les récits, denses, serrés, intenses, de la vie d'hommes marquée par une forte histoire d'amour, zébrée de violence physique (pour 2 d'entre elles) et où l'on picole pas mal (mais pas autant que chez Bukowski et pas plus que chez Kerouac..).
Une manière tendue d'écrire : j'ai lu vite, probablement à cause de cette tension dans les récits. Pas de descriptions longues (c'est l'anti-Balzac !) ni de portraits psychologiques fouillés : la personnalité des personnages se dessinent peu à peu par leurs (ré)actions, leurs choix..
Je me demande si Harrison (dont j'avais entendu tant de compliments que j'ai été un peu déçu) part d'éléments réels rencontrés lors de voyages ou de lectures, ou s'il "invente" tout. Des personnages ayant existé apparaissent parfois (le Général Custer par exemple), ce qui me laisse supposer qu'il fait peut-être des recherches historiques pour reconstituer ces vies. Si vous avez des réponses à cette question..
Au contraire, le terme ( "légendes") laisserait penser qu'il invente des vies, des personnages, mais ça peut aussi être pris dans le sens où les hommes dont il écrit la vie, sont de véritables légendes, au sens de héros, des hommes aux parcours et personnalités fortes, ayant frôlé la mort de près ou ayant tué. Il y a aussi des portraits forts de femmes. Et puis, régulièrement, une engeance qu'il ne décrit pas et qu'il nomme "les putes". Je serais curieux de savoir s'il a consacré un récit à une de ces "putes".
Le titre originel est "légends of the fall" ("légendes de la chute". Cette chute d'eau qui sort du canyon ?), ce qui est plus fidèle à l'esprit du livre que "légendes d'automne" qui laisse penser qu'on va avoir de belles descriptions de paysages automnaux nord américains.. mais (déjà dit) Harrison n'écrit pas beaucoup de descriptions : plutôt des actions, des faits, et, de temps à autres, quelques réflexions qui m'ont paru un peu définitives...
C'est très cinématographique, très "scénario" (pas étonnant qu'il en ait écrits).
Contrairement à la majorité des critiques, c'est la deuxième nouvelle qui m'a le plus plu : pas de violence "américaine" et un personnage attachant, mais je ne suis pas sûr de bien en comprendre le titre : a -t-il abandonné son nom (tempête du nord) car il se met peu en colère et qu'il préfère le soleil ? ;)
Dalva semble meilleur. à voir..
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La première histoire m'a beaucoup plu, celle du cadre, il a la mauvaise idée de tomber amoureux de la femme d'un marchand de drogue mexicain. Laissé pour mort dans la panpa, il sera receuilli par des Mexicains qui vont le remettre sur pied ; lui laissant le temps de préparer sa vengeance.
Les deux autres histoires, m'ont très vite ennuyées ; elle sont une suite de situations dramatiques, sans un petit quelque chose qui surprenne le lecteur. La narration est la même, simple et entrainante, c'est les récits qui sont fades.
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