Toujours dans ce même ton situé dans l'espionnage et l'explosion diplomatique, une tension extrême et une situation catastrophique : un bon résumé de ces quelques 300 pages.
Pour les habitués du genre, il se lit sans problème, des personnages avec des caractères assez fort presque parodiques à la limite de super héros avec un langage assez haut en couleur...!
Un cocktail de batailles épiques pour agrémenté le tout en fait une lecture rapide, agréable presque jubilatoire si l'on ne veut pas trop se prendre la tête. Rythme à 100 à l'heure, marathon effréné...
Lecture plaisante !
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Un vrai mauvais western ! Avec des personnages et des situations caricaturés, un duel final à la O.K. Corral sans émotion, l'auteur s'amuse - tout seul - à jouer le cow-boy entre Londres et New York.
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Elle chercha à tâtons son revolver dans la poche droite du trench-coat, le sortit et le manipula d'une main experte pour vérifier qu'il était en état de marche. C'était une arme peu utilisée, un colt .22 semi-automatique à huit coups, relativement petit mais redoutable, surtout avec son silencieux. Une arme de femme pour certains, mais pas lorsqu'on l'utilisait avec des balles à pointe creuse.
Il y a des limites au politiquement correct. Je ne tiens pas à l’envoyer dans une expédition aussi risquée, en pleine nuit et sous la pluie, pour tenter de neutraliser l’un des pires spécimens que l’IRA nous ait jamais balancé dans les pattes.
Ces choses-là, parfois, sont comme un puzzle. On essaie des combinaisons, on cherche en vain dans toutes les directions, puis soudain les pièces s’assemblent comme d’elles-mêmes et l’image apparaît, bien nette, dans tous ses détails.
Il y a trop de choses dans les ordinateurs de nos jours, voilà le problème. Malgré toutes les précautions, ils ne sont jamais complètement inviolables.
Elle serait l’aiguille, et Londres la meule de foin. Il y a huit millions d’Irlandais au Royaume-Uni. Une sacrée diaspora.
Luciano - Jack Higgins - LTL # 173