Vous connaissez beaucoup d'auteurs capables de vous faire un bon roman policier gore et drôle à la fois, et qui en plus et français ? Et bien voilà un de mes auteurs préférés, Brigitte Aubert ! Quelque soit le roman, je ne suis jamais déçue. du policier au thriller, à la parodie sanglante ou au conte de fées (cruel), ou bien un roman rempli de zombie, cet auteur réussi toujours à m'emmener dans son récit.
Ici j'ai retrouvé Marcel Blanc, sympathique agent de police qui est une fois encore entraîné bien malgré lui dans une sordide enquête de tueur en série complètement givré. Givrés, les flics le sont tous un peu aussi, et c'est bien ce qui est drôle ici. On en profite pour égratigner les liens du couple, les souvenirs de jeunesse, et c'est parti pour une enquête aussi amusante que dégoûtante de sang frais.
Un bon moment de lecture ! "Encore" madame Aubert, s'il-vous-plaît !
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Plus jeune j'avais adoré une nouvelle écrite par cette même autrice avec un idée de génie sur le lien enquêteur/meurtrier.
Ici l'essai n'est pas du tout transformé.
Le livre n'est pas foncièrement mauvais mais rien d'original, il s'agit un polar avec des éléments de surnaturel qui ne vont nulle part.
Je ne suis pas un fan de polar, ce qui n'aide pas, il faut bien en convenir.
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La suite du couturier de la mort ... Marcel Blanc et ses investigations.
Un petit thriller absolument génial, j'ai adoré ...
Le style est gore et spécial, mais c'est ce que j'aime lire.
On est presque sur la scène de crime, on sent les odeurs ... le coeur battant on arrive à la dernière page du roman et ... on regrette presque que cela s'arrête.
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Comment est-il possible de trouver un éditeur en écrivant si mal ! c'est tellement déplorable que j'ai craqué et n'ai même pas réussi à terminer le bouquin ! pourtant ça ne m'arrive quasiment jamais !
Même l'histoire un peu bêbête n'est pas parvenue à me faire surmonter le style de l'auteure.
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Quand Brigitte Aubert pousse le sadisme à son paroxysme, ce livre est vraiment pour les amateurs du genre !
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Technologie vingt et unième siècle. Si vous avez plus de pile dans votre clé pour ouvrir les portières, savez clic clic, et ben la bagnole démarre pas.
La plupart des gens croyaient que les patients externes du centre médico-psychiatrique étaient des ´ gagatchous éructants. Or, près de quarante pour cent d'entre eux, lestés de leurs traitements, arrivaient à se stabiliser et à travailler, plus ou moins épisodiquement.
S'agissait-il d'un tueur désorganisé vivant près de la mer et attaquant sur une impulsion des passants innocents correspondant à ses fantasmes narcisso-sexuels ? Ou d'un criminel hyperméticuleux cherchant des proies à haut risque pour le plaisir du fun ?
Il n'était pas amateur, il ne fréquentait que des poétesses et, les rares fois où il avait consenti à transformer leurs débats en ébats, il s'était dit que c'était plus fatigant que le vélo et moins satisfaisant pour l'état général.
Moi qui croyais que la réincarnation consistait à revivre dans un nouveau corps ! Pas à le subir ! C'est de la triche ! Je suis là, comme un parasite, un alien paralytique incapable de faire mouvoir le pantin qu 'il habite !
La chronique de Carole S - Funerarium
Notre chroniqueuse du jeudi, Carole S. ne connaissait pas les ouvrages de Brigitte Aubert avant de lire "Funeraium" (éditions Points). Et on peut dire que notre serial-lectrice est tombée sous le charme de ce thriller...