Avec "La Bête", le réalisateur Bertrand Bonello reprend à sa manière la nouvelle "La Bête dans la jungle", de Henry James, en plongeant Léa Seydoux dans un futur dystopique qui rappelle notre propre présent et dans lequel les émotions n'ont plus lieu d'être. Il est l'invité de Géraldine Mosna-Savoye et Nicolas Herbeaux.
Visuel de la vignette : "La Bête" de Bertrand Bonello, 2024 - Carole Bethuel
#cinema #léaseydoux #film
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Henry JamesRobert Louis Stevenson
Malika Bey Durif (Traducteur)Michel Le Bris (Éditeur scientifique)/5 6 notes
Malika Bey Durif (Traducteur)Michel Le Bris (Éditeur scientifique)/5 6 notes
Résumé :
Henry James, Robert Louis Stevenson : le rapprochement étonne. Que pouvaient donc avoir à se dire le maître subtil des anamorphoses et l'éternel vagabond, rêveur d'îles au trésor ? Et pourtant ! James - à la différence, il est vrai, de trop de ses admirateurs - tenait Stevenson pour le plus grand écrivain de son temps, le seul à pouvoir le comprendre, comme le seul à pouvoir lui apprendre - à voir, à faire voir, d'une image, d'un mot, d'un silence. Et Stevenson lui ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Ce matin, toujours au lit (quand même il était tôt !) j'ai terminé la lecture de la correspondance de Daphné et Oriel, un peu triste, pauvre Daphné ! Mais que lire ? Les fidèles et infatigables lecteur de Babelio m'avaient donné envie de me replonger dans Henri James, "Une amitié littéraire", j'avais oublié, et je le confesse le livre datant de 1987 a même une légère odeur de moisi ! Qu'est-ce qui a pu rapprocher deux auteurs si différents : la passion pour la fiction. La présentation de Michel le Bris est passionnante, d'habitude je saute préface et présentation, pas cette fois-ci.
Donc à suivre....
Donc à suivre....
Citations et extraits (2)
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Dans la préface de Michel Lebris, j'ignorais la bonté de Henri James, ici à l'égard de Stevenson. De quel droit jugerions nous sa vie ? Avec une telle apparence de la plénitude physique, qu'importe si la littérature en souffre ? Oh oui j'ai bien peur qu'en n'en souffre ! Tout cela ne peut l'aider. Mais nous devons changer notre point de vue et être heureux, simplement de ce qui survivra, de ce qu'il pourra nous donner encore. Après tout il a bien du talent.
dans les maisons où les romans et nouvelles de Henry James trônent au salon, les récits de Stevenson sont généralement relégués dans la nursery, regrettait djéà Janet Adam Smith, en 1948.
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