AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,94

sur 605 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Le grondement sourd des Enfers s'est fait entendre depuis les profondeurs de la Terre à la lecture de ce chef-d'oeuvre. Dans le vaste univers de la littérature j'avais, de nombreuses fois, rencontré des personnages noyant leur désarroi dans l'alcool, mais jamais depuis le regard et la pensée propres du protagoniste. Malcolm Lowry, dans une langue tantôt rythmée tantôt chaotique, faisant suivre temps calme, montée fiévreuse et crise éthylique, noie le lecteur des vapeurs incessantes de tequila et de mescal. On espère une délivrance ou on craint le pire au fur et à mesure que Lowry dévoile un pan du passé des personnages sous la menace discrète et permanente du volcan Popocatepetl.

Enfin, même si j'admire son talent critique, j'ai regretté de lire la préface de Maurice Nadeau proposée dans l'édition Folio. Elle défriche trop les pistes broussailleuses que Lowry a volontairement élaboré dès le premier chapitre et j'aurais aimé m'y perdre comme on découvre un monde. L'auteur lui-même avait été contraint par son éditeur de rédiger une introduction pour la publication de son roman qui figure aussi dans cette édition. Mais sa malice et sa détermination à ne rien céder aux sirènes du marché ont fait de ce texte introductif un petit bijou d'ironie.

PS : Comme souvent depuis quelques années, les éditions Folio sont chargées de coquilles et d'erreurs. Que le lecteur en rencontre une ou deux, on peut le tolérer, mais au bout d'une petite dizaine cela commence à agacer. Quand on est éditeur, le respect des oeuvres ne devrait-il pas être une règle?
Commenter  J’apprécie          180
Comment convaincre de lire le roman de Malcolm Lowry alors qu'il faut bien, sans doute, avertir le lecteur quant à la dimension d'abord rétive du texte, évoquer l'opposition entre le minimalisme de son intrigue et la lenteur inversement proportionnelle avec laquelle elle se déroule ? Comment rendre ne serait-ce qu'une part de son infinie richesse et de sa virtuosité ? Comment exprimer la manière dont il vous prend aux tripes en même temps qu'il vous enlace de la sombre beauté de ses improbables circonvolutions ?
Le premier des douze chapitres (qui compte une centaine de pages), nous emmène dans la ville mexicaine de Quauhnahuac, qui comme chaque année en ce jour de 1939, fête ses morts. Nous y suivons Jacques Laruelle, un producteur de films français, au gré de ses pensées et des réminiscences que suscite le spectacle des festivités. Livrées sur le vif, avec leurs ellipses, leurs interruptions brutales et spontanées, le sens et la logique des événements auxquels il est fait allusion sont d'emblée confus pour le lecteur. Il y est question d'une certaine Yvonne dont Jacques Laruelle a été l'amant, et d'un ami de jeunesse, Geoffrey Firmin, surnommé le Consul, dont on pressent, à sa seule évocation, l'envergure romanesque.

La suite du récit nous ramène exactement un an en arrière, et étire sur les onze chapitres suivants le déroulement d'une unique journée, en égrenant les heures, voire les minutes. En ce "jour de miracles et de visions" de la Fête des Morts 1938, Yvonne, séparée de Geoffrey qui vient d'être démis de ses fonctions de consul, revient à Quauhnahuac, visiblement désireuse de renouer les liens avec cet époux qu'elle n'a jamais cessé d'aimer. Hugh, le demi-frère du Consul, est par hasard présent lui aussi.

Yvonne livre un combat perdu d'avance. L'amour profond qui la lie à Geoffrey est pourtant réciproque, mais elle doit faire face à un adversaire contre lequel elle sait ne pouvoir lutter. le Consul est en train de sombrer, et rien ne pourra le retenir. Il chute dans les abîmes de l'alcoolisme, n'est plus investi que dans les périls et les complications de sa vie d'ivrogne, obnubilé par le nombre de verres qu'il va boire ou qu'il a bus, par le trajet à effectuer pour tomber comme par inadvertance sur une cantina où il pourra l'espace d'un instant assouvir son obsession, se donnant bonne conscience avec une mauvaise foi qui n'abuse même pas lui-même.

C'est une affaire de déambulations, à la fois physiques, psychiques et morales. La promenade matinale du duo Yvonne-Hugh, puis la virée du trio formé avec l'ajout de Geoffrey dans un lieu choisi après quelques tergiversations sont l'occasion de suivre, presque mètre après mètre, les déplacements des protagonistes, en même temps que nous pénétrons leurs labyrinthiques errances intérieures. Les pensées que font naître les situations, les individus et les lieux qui les entourent semblent à la fois diluées et décortiquées, qu'il s'agisse de considérations vénielles ou de douloureux questionnements existentiels. Elles se font aussi parfois extrapolation, imagination d'un avenir dont on sait qu'il n'adviendra jamais.

Celles de Geoffrey sont les plus erratiques et les plus obscures, alternance de logorrhées, de réflexions elliptiques ou tronquées, hallucinations éthyliques qui parent les lieux d'une dimension cauchemardesque et incertaine, donnent aux individus des airs menaçants, tout cela contrastant d'une manière qui serait cocasse, si tout cela n'était pas si pathétique, avec l'air permanent de fraîcheur et de bonne santé qu'affiche le Consul, vierge de tout signe extérieur de débauche.

Il vit là le jour le plus long de sa vie, et c'est comme si c'étaitaussi le jour le plus long de notre vie – et ça, c'est quand même très fort-, qui à la fois se distend et hoquette, comme si certaines de ses séquences devaient se répéter à jamais, c'est du moins l'impression que peuvent donner l'évocation de cette affiche d'un combat de boxe que l'on aperçoit régulièrement sur les murs de la ville, ou le surgissement, à plusieurs reprises, d'un mystérieux et inquiétant cheval marqué au fer rouge d'un sept sur sa croupe. Et comme en contrepoint, l'immuable silhouette du Popocatepetl surplombe cette funeste journée dont les événements sont comme des touffes d'herbe auxquelles Geoffrey se raccroche sans enthousiasme, stoppant ainsi momentanément une dégringolade qu'il sait inéluctable.

C'est un texte magnifique, empreint d'un désespoir profond, qui à la fois accède à une rare amplitude et pénètre au plus près de l'intime. Il a d'ores et déjà acquis une place à part dans ma vie de lectrice, dans la catégorie de ces titres qui, en dépit des -ou grâce aux ?- efforts qu'il requiert, vous donne tout du long la conviction de découvrir une oeuvre exceptionnelle.

Et pour finir un petit conseil, le même que je donne à tout lecteur qui entame "Le bruit et la fureur" de William Faulkner : pour une fois, lisez la préface !

Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
Commenter  J’apprécie          1712
Je termine "Au dessous du volcan".
J'ai tenté de lire ce livre pendant des années sans jamais parvenir à dépasser au mieux la page 100. Emporté dans le tourbillon d'une écriture pleine de symboles et de lumière. Celle du Mexique, celle de l'auteur, celle de l'amour dont je sais enfin qu'il trace l'irrémédiable nécessité de se convaincre, de nous convaincre, de son éternelle puissance. Quelque chose à laquelle on aspire et qu'à la fois on rejette tout en la désirant fermement... un premier cercle.
J'ai lu enfin la préface. Je ne lis jamais les préfaces, pensant, idiot, qu'elles gâchaient le plaisir de la lecture. Je voulais découvrir le livre par moi-même. Idiot. Encore une fois. Idiot de m'être ainsi refuser la lecture de ce livre depuis des années. Pour sûr, certains penseront que je fais là acte de pensée magique? Mais la magie réside dans ce long poème en prose qu'est "Au dessous du volcan". On pourrait n'y voir que l'histoire d'un alcoolique en quête de rémission. Rémission de ses péchés, rémission de son addiction, rémission de son amour. Mais on est entrainé dans l'enfer, peu à peu. On se laisse porter par la nonchalance, le destin, sur des chemins qu'on imagine concentriques jusqu'à nous écrouler, vain, remis, complet.
J'ai lu chaque mot. En manquer un eut été échouer dans la musicalité des phrases, dans la description des paysages, des scènes, de ces à-côtés qui règlent le roman comme un véritable univers auquel on cherche, l'auteur, les personnages, le lecteur, à se connecter pour retrouver de notre caractère entier et renaitre enfin dans ce jardin perdu, éden particulier, éphémère si l'on n'y prend garde.
On en revient avec une sorte d'insécurité mâtinée d'un plaisir incompréhensible: entre la mystique de la mort, omniprésente, et une manière de rêve qui parfois s'immisce dans le chapitre qu'on croit volontiers à l'irréalité du monde qui nous entoure tant les descriptions sont d'une telle précision que seul un rêve en puisse donner l'expression.
Il y a peu de livres aujourd'hui qui nous remplissent à ce point de sentiments, d'émotions, de connaissance, de passion. Peut-être parce qu'un tel livre, comme d'autres tout aussi puissants, est impraticable pour bon nombre, et c'est bien dommage de tout réduire de façon si superficielle.
Commenter  J’apprécie          141
Lu il y a cinq ans, j'avais une impression de lecture extraordinairement difficile, d'avoir galéré tout au long des nombreuses pages d'un roman que je trouvais répétitif.
Relecture donc et constat : je ne suis plus le même lecteur. Beaucoup de livres lus entre-temps et un travail avec des personnes alcooliques me font dire...
Une écriture puissante et inventive, des thèmes universels (amour, couple, alcool-ivresse...), une construction fine et ciselée et imparable. Une atmosphère hallucinamment pesante, pesante, pesante... Quelle force, quelle évocation-émotion, waw. On sent que le gars sait de quoi il parle, quel vécu... Quel roman !
Commenter  J’apprécie          130
Bon j'avoue, quand je l'ai fermé je n'ai pas pu me retenir de relire le début. Malcolm Lowry nous livre, sous l'apparence du désordre, un roman remarquable de maîtrise. Ne dit-on pas, pour les acteurs que le plus difficile est de jouer une personne ivre ? C'est la même chose pour les écrivains, comment rendre cette obsession, ces "trous" dans le temps, cette répétition perturbée par des variations infimes ... Eh bien, je dois le reconnaître, par son écriture, par l'organisation de la trame narrative, Malcolm Lowry y est parvenu. Bien entendu, ne l'ayant lu qu'une fois, je n'ai pu qu'entrevoir le grand sujet du roman, le démon. Je le devinais, écrasé par le poids de ces deux volcans énormes (qui pourtant son présentés comme quelque chose de positif, par moments). de mémoire, le docteur Vigil affirme que l'ivresse du Consul vient d'une maladie de l'âme ; de mon mieux j'ai essayé de déterminer quelle était cette maladie de l'âme ; est-ce la culpabilité liée à l'ancienne exaction qu'il a commise ? Alors, le parallèle avec Lord Jim serait trop poussé ; pourquoi mentionner tout le sujet de la Kabbale, sur laquelle le Consul dit préparer un livre, que vient faire cette histoire d'amour avec Yvonne ? Quel est le rôle de Hugh dans tout ça ? Je continue néanmoins de pencher pour cette théorie, car l'issue du roman, et tout le parallèle avec la parabole du Bon Samaritain me laissent penser que le Consul avait un poids sur la conscience lié à un manquement au devoir de charité ; il recevrait le dernier "companero" qui lui est adressé par un inconnu avec tant de joie car il le verrait comme un pardon. Mais cette analyse ne me satisfait pas. Je n'apporte aucune réponse, je le crains, et je suis aussi déçu que vous. J'espère en trouver moi-même quand je le relirai, avec plus d'attention, cette fois. Alors, je me pencherai avec plus de rigueur sur les innombrables références littéraires du roman.
Commenter  J’apprécie          122
Cet article a été publié sur : http://souslevolcan.over-blog.com/

C'est le livre d'une histoire d'amour qui sombre dans le mescal. C'est une idylle aussi belle et incompréhensible que le Mexique aux yeux d'un homme dont l'ivresse est tout autant ce pays et ses couleurs que son désespoir et sa solitude. C'est la chute d'un homme au travers duquel l'humanité chancèle, titubant au coeur d'un jardin merveilleux jusqu'à la nuit, où elle s'effondre dans la boue et la trivialité.
J'ai commencé la lecture de ce livre le coeur serré. Je m'y ennuyais, prêt à m'arrêter en chemin, poursuivant ma route uniquement guidé par l'influence de sa réputation et de quelque chose de plus impalpable, une impression, une odeur. Je regardais cette grande masse liquide comme une eau dormante et ennuyeuse, mais, de temps à autre, quelque chose passait sous la surface et me disait : tient bon.
Et puis ce que je pressentais est arrivé, à la page 155, lorsque le consul bondit soudain sur ses pieds, j'ai été frappé par un éclair, un éclair intense, comme un premier shoot d'héroïne.
J'ai vu dans cet éclair toute la beauté de ce livre, de ce poème, toute sa force de pénétration. Ce n'est pas un livre qui parle à l'âme, c'est un livre qui regarde en nous jusqu'au vertige. Il fouille notre pulpe intime pour faire de chacun de nous un témoin de la beauté et de la cruauté de notre monde, et de l'amour, et de la mort.
Sa magie m'accompagne depuis de longues années et il ne se passe pas un seul mois sans que j'y songe, comme s'il était toujours sur mon chevet et que j'allais encore m'enivrer à la coupe de ses beautés. Je ne divague pas, le romantisme m'écoeure, mais il faut bien, face à ce miroir inverti de nous-mêmes, faire preuve d'humilité et dire : ce livre est une merveille comme il en existe peu. Il me bouleverse.
S'il fallait convaincre encore, je dirais de prendre un exemplaire Folio édition 2004 et de lire page 554 à partir de : « La pluie tomba plus dru tout à coup… » jusqu'à ce que le livre vous tombe des mains, arrachant à vos lèvres un Mon Dieu… Alors, il y aura aussi page 252 ( le chat et l'insecte), page 265 (le consul dans la salle de bain) et puis toutes les pages à partir de 155.
J'ai commencé sa lecture le coeur serré, je l'ai achevé le coeur douloureux, répétant comme un mantra que je n'ai pas de mot (Magnifique, prodigieux, sublime, inégalable, sont-ils des adjectifs tout à fait suffisant ?) pour en saluer l'intense beauté.

Lien : http://souslevolcan.over-blo..
Commenter  J’apprécie          120
On sort d'Au-dessous du volcan comme on sort d'une longue ivresse, sonné, incapable de comprendre pourquoi on a trouvé ce roman si beau et si épuisant.

Les personnages, le consul en particulier, qui est allé jusqu'au bout de la nuit alcoolique, errent de tavernes en cantinas, ils avancent à petits pas titubants vers le vide et tombent du haut de leur terrible solitude dans une mort qui n'est pas bien différente de leur vie.

L'écriture elle-même est ivre, le lecteur se noie dans le mescal des mots du consul, il l'accompagne dans sa dérive, il la vit avec lui, tout en posant aussi sur cette mystérieuse tragédie le regard d'Yvonne, l'épouse qui revient par amour mais qui ne revient pas vraiment tant la distance entre le consul et le reste du monde semble infinie.

Et puis, il y a le Mexique, ce paradis à l'envers où l'on monte vers l'enfer du Popocatepetl, ce jardin d'Eden dévasté devenu prison, cette arène où le taureau ne comprend rien au sacrifice dont il est la victime. Tout, autour du consul, d'Yvonne et de Hugh semble vaciller, comme si le monde avait soudain décidé de tourner dans l'autre sens.

Au-dessous du volcan est-il un chef-d'oeuvre ? Sans doute, puisqu'il fait partie de ces livres dont on sait à la première lecture qu'on n'en a que frôlé les merveilles.
Commenter  J’apprécie          100
Roman-phare, roman-fleuve, roman éprouvant. Au-dessous du volcan est un livre incroyablement complexe et qui, pourtant à sa sortie en 1947, séduisit un large public. Au centre de l'oeuvre, qui écrase les autres productions de Malcolm Lowry, Geoffrey Firmin est un ancien consul britannique au Mexique qui a atteint la quarantaine et se laisse dériver vers l'alcoolisme le plus profond en la petite ville de Cuernavaca, abandonné il y a un an de cela par sa femme, Yvonne. Celle-ci revient, en même temps que le frère de Geoffrey - et Yvonne et Hugh ont eu une aventure - auprès du Consul. le roman se déroule en une seule journée de 1938, qui s'annonce comme longue et terrible pour Geoffrey.
Il serait complexe et inutile, surtout, de résumer pareil roman. Voilà les évènements d'une journée comme les autres, à ceci près qu'il s'agit de la fête des morts au Mexique, voilà les évènements qui décideront finalement de la vie d'un homme qui n'est plus que l'ombre de lui-même, et qui tâche de reprendre possession de sa vie tout en sachant, en sentant, que celle-ci lui a définitivement et irrémédiablement échappé.
Grâce à l'alcool, Geoffrey est lucide. A cause de l'alcool, il disparait et rend impossible tout amour avec Yvonne. le roman décrit avec une minutie extraordinaire les mécanismes psychologiques d'un homme qui se tue sciemment et en même temps inconsciemment, usant d'une langue riche, foisonnante, précise, musicale même, où chaque mot prend une importance considérable. On prend conscience, en même temps que Geoffrey, de la réalité tangible de la séparation définitive entre lui et Yvonne mais on espère, sans y croire totalement, que tout est encore possible. Là est la poésie tragique du roman, et qui le fait si grand.
Commenter  J’apprécie          100
Un excellent roman, de l'acabit de l'"Ulysse" de Joyce. L'histoire nous mène jusqu'au Mexique à Quauhnahuac, la ville où se dressent au loin en témoins deux volcans : le Popocatepetl et l'Ixtaccihuatl. le héros poursuit son bonhomme de chemin, en borracho accomplit, jusqu'à une fin qu'il sait probablement inéluctable, une véritable tragédie grecque en somme, jouissive jusqu'au dernier mot inscrit sur la page et qui est d'ailleurs remplit de symboles empruntés à la mystique juive, au Talmud, au jardin d'Eden, à l'éternel retour Nietzschéen.
On en ressort bouleversé en ayant le sentiment d'avoir été secoué dans tous les sens.
Commenter  J’apprécie          108
Ce livre c'est de la poésie , de la grande poésie.C'est un mélange complexe de dialogue entrecoupées de pensées abrupte.Le personnage principal cache un lourd secret et se noie dans l'alcool, les autres personnages tourne autour de lui, mention spécial aussi au demi-frére et au personnage féminin surtout au début quand elle pense et regrette les années passées.C 'est triste c' est beau, certain passage m ont marqués.Je pense souvent à ce livre et notamment à ce personnage tout en nuance qui aime puis rejette,pas de spoil lisez-le.Grande oeuvre.
Commenter  J’apprécie          91




Lecteurs (1829) Voir plus



Quiz Voir plus

Au-dessous du volcan

Dans quelle ville se passe l'intrigue du roman ?

Oaxaca
Mexico
Quauhnahuac
Los Angeles

18 questions
19 lecteurs ont répondu
Thème : Au-dessous du volcan de Malcolm LowryCréer un quiz sur ce livre

{* *}