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3,92

sur 9748 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ce livre prouve s'il en etait besoin, que l'on peut écrire sur un sujet grave et sensible (la perte d'un conjoint et d'un enfant), et en faire une histoire plate, ennuyeuse, et de qualité littéraire médiocre.

L'art d'écrire ne réside pas tant dans l'importance du sujet traité, que dans le talent et le style de l'auteur. Or ici, un style d'une pauvreté affligeante, largement emprunté au langage de tous les jours.

L'histoire qui aurait pu être captivante, ne dégage au final ni émotion ni force, et s'avère même cousue de fil blanc. On se doute à l'avance que l'héroïne qui a quitté son pays pour fuir son malheur, tombera dans les bras d'Edward, l'Irlandais lourdaud et rustre, au coeur finalement tendre.

Bref, un livre insipide. Une pure perte de temps...!
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Publié dans un premier temps en auto-édition, remarqué par Michel Lafon, prolongé par une sortie en poche chez Pocket, ce premier roman d'Agnès Martin-Lugand s'est venu à plus de 300 000 exemplaires. Un succès phénoménal, sympathique, et qui a du faire rêver plus d'un auteur en herbe...

Alors, comment, pourquoi, ce livre a-t-il pu plaire au plus grand nombre ? C'est la question que je n'ai arrêté de me poser durant le temps de la lecture de ce court roman, au contenu tellement léger, inconsistant, qu'il m'a fallu moins d'une heure pour surfer sur ses pages et pour l'achever (seul élément à porter à son crédit : je l'ai lu jusqu'au bout, car c'est très facile à lire, pas méchant et pas malsain).

Et je n'ai pas trouvé de réponse crédible, car ce roman est une catastrophe.

Lire la suite de ma critique sur le site le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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La pauvreté de l'écriture, de l'intrigue, des dialogues créent la sensation que l'on se moque du lecteur. Ça glisse vers l'absurde tant les personnages manquent de présence, les clichés s'enchaînent tout au long du roman. Je ne vais pas m'étendre, d'autres l'ont fait et bien formulés. N'empêche, il me vient en tête un grand nombre d'auteurs méconnus qui mériteraient que l'on s'intéresse à eux plutôt qu'à Agnès Martin-Lugand !

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Alerte coups de gueule
Je savais qu'un beau jour je deviendrai réac, mais je ne pensais pas que ça arriverait avant mes 30 ans tout de même, et bien si...
Alors voilà, j'ai voulu commencer il y a quelques jours ce livre d'Agnès Martin-Lugand, très bien noté, d'autant que l'on m'a souvent conseillée l'autrice. Cet ouvrage qui a tout de même ce qualificatif de livre "feel good" m'a beaucoup gênée. Certes le style est facile, simple et donc fluide, ça se lit vite, la trame est plutôt bien orchestrée pour que l'on tourne les pages rapidement, mais par contre cette relation entre Edward et Diane la narratrice m'a totalement choquée!
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La couverture et le titre de ce roman ont attiré mon attention. Hélas, cette histoire est pleine de clichés et d'une banalité extrême. le style est très moyen et décrédibilise l'histoire. J'ai eu l'impression de déjà-vu. C'est une déception car j'en attendais plus.

Lien : http://lilasviolet.blogspot...
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Mon avis va être du même acabit que ce roman : court... En effet, en à peine 180 pages, l'auteur fait passer son héroïne par toute une palette d'émotions. Malheureusement, je suis passée complètement à côté.

Diane vient de perdre son mari et sa fille dans un accident de la route. Elle sombre pendant un an dans la dépression, puis décide de partir s'installer dans un village perdu d'Irlande, laissant à Paris sa famille, ses amis et son café littéraire, Les gens heureux lisent et boivent du café. le pitch aurait pu être intéressant mais l'auteur tombe rapidement dans le piège de tous les clichés du genre : le meilleur ami homosexuel, la veuve éplorée, la nouvelle amie complètement foldingue et le mystérieux et ténébreux voisin... qui s'avère être un parfait salaud mais dont l'héroïne va - bien évidemment - tomber éperdument amoureuse... J'ai bien aimé le personnage de Diane, même si elle est assez gamine. Hélas j'ai eu en horreur Edward. Mais si, vous vous souvenez ? le ténébreux voisin ! Et bien, ce charmant monsieur est en réalité un rustre, vulgaire et antipathique et pourtant, il va changer d'attitude du tout au tout en quelques pages seulement ! Et oui, m'sieurs-dames, c'est la magie des livres !

Trêve de plaisanterie, l'écriture n'est aucunement transcendante et quand la fin arrive, je me suis dit "tout ça pour ça ??!!" et je me suis également dit "heureusement qu'on m'a prêté ce livre et que je ne l'ai pas acheté..."
Lien : http://rhapsodyinbooks.eklab..
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BOF ! Titre attirant mais c'est tout. Diane vient de perdre son mari et sa fille dans un accident de voiture et tente de faire son deuil et se reconstruire doucement. Pour cela, elle décide de quitter Paris pour aller s'installer en Irlande. le temps va faire son oeuvre ainsi que les rencontres qu'elle fera là-bas. Style et dialogues d'une grande platitude et banalité. Aucune surprise, on devine ce qui va se passer. Que de clichés, de personnages caricaturaux, aucune analyse psychologique. Aussitôt lu aussitôt oublié ! Surtout ne pas l'acheter, si possible, à emprunter !
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Je ne sais pas pourquoi on m'a conseillé ce livre. Je ne sais pas non plus pourquoi je suis allée au bout du livre, peut être parce qu'il se lisait vite et que jusqu'au bout j'ai cru que ça allait changer. Mais déjà à la 20eme ou 30 ème page, le beau brun torturé met son poing dans le mur car olallala je suis un homme qui ne sait pas maîtriser ses émotions je suis so dark. Stop romantiser les cons violents, vraiment, yen a suffisamment dans la vraie vie pour qu'en plus on se les farcisse dans les livres. Et ensuite vint "l'autre femme", dont l'apparition crée un triangle amoureux factice, juste bon à permettre de cracher un discours misogyne pendant de trop longues pages.

Les personnages sont donc tous caricaturaux, les sentiments sont creux, l'écriture trop simple pour réhausser ou complexifier le tout. Bref, à éviter.
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J'en reste pantoise. Ce qui me contrarie, c'est l'impression de m'être fait arnaquer.
Je venais de lire "L'Epopée du perroquet" dont la niaiserie m'avait agacée. Mais la fraîcheur de l'héroïne sauvait partiellement le reste et la première de couverture annonçait un peu la couleur.
Avec "Les gens heureux... ", jolie couverture, titre alléchant, résumé prometteur... C'est tromperie sur toute la ligne ! J'ai rarement lu une histoire aussi creuse.
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Je vais vous mettre tout de suite dans le bain de ce que m'inspire ce roman : d'un nullité affligeante ! Il est rare que je parle d'un roman en ces termes mais là, franchement, au secours... J'ai oscillé pendant la lecture du rire sarcastique à la colère. Parce que non seulement c'est niais, mais en plus c'est écrit sans aucune recherche.

C'est l'histoire de Diane, une Française qui a perdu mari et fille dans un accident de voiture. Après plusieurs mois de dépression, elle décide de partir en Irlande, pas parce que ce pays l'attire vraiment, mais parce que son défunt mari rêvait d'y aller. Elle met le doigt au hasard sur la carte du pays et paf, elle atterrit à Mulranny (village balnéaire du comté de Mayo). Elle loue un "cottage" (une maison, quoi !), tenu par Abby et Jack. Son voisin est un lugubre irlandais du nom d'Edward, neveu de des propriétaires. Mais en fait, nan, mieux que ça, il est quasi-orphelin et ce sont Abby et Jack qui l'ont élevé, avec sa soeur Judith, une nénétte aux cheveux auburn et qui s'habille en mni-kilt... Ah ! j'oubliais le chien (peut-être le personnage le plus intéressant du livre : Postman Pat, qu'il s'appelle !).

Selon Diane, les Irlandais ont comme facteur commun déterminant d'être des géants rugbymen, mangeurs de moutons et buveurs de whisky. Déjà, là, ça commençait à me chauffer un zeste : en Irlande il est pourtant bien connu qu'on ne boit pas du whisky mais du whiskey, avec un E ! Et puis pour le gigantisme au pays du leprechaun, je ne pense vraiment pas que ce soit ce qui frappe quand on descend de l'avion ! Et pour la viande de mouton (ok, le plat national est à base de mouton, mais cette viande est pour l'essentiel destinée à l'exportation...).
Ah oui, en plus, inutile de rappeler que dans ce bouquin, il fait un temps pourri sans arrêt dans l'île verte : on est toujours trempé et coiffé par le vent...

Reste l'histoire : OMG ! Une Française dépressive séduite par son acariâtre irlandais de voisin ! A la rigueur pourquoi pas, (même si en soi, ça sent déjà un peu trop l'eau de rose). Sauf que là, c'est d'un abracadabrant, que peut-être même les romans Harlequin ne font pas ça : Diane et Edward ne peuvent pas se sentir pendant des semaines, se sautent limite sur la gueule etc. Et puis, du jour au lendemain, paf ! l'Irlandais et la Française tombent amoureux. Naaan, is it possible ?
Mais je ne fus pas au bout de mes surprises quand, au moment M de l'instant I, tadam ! voilà que ça part en quenouille à cause de l'apparition (magique !) de Megan, la femme d'Edward ! Pétard, elle n'a pas de pot Diane ! Sauf que... ce n'est pas sa femme ! Re-tadam ! Franchement, j'ai failli mourir de rire... (c'est déjà ça, on se console comme on peut !).
Edward fait le girouette, ne sait plus où donner de la tête... Et quand il finit par choisir Diane, ben naannn, elle décide de s'en aller, elle ne peut pas l'aimer (mon dieu que c'est triste à pleurer de rire !).

La principale activité de Diane : fumer. On s'en prend plein les poumons à longueur de pages. Et boire. du café et de l'alcool. Mais elle ne tient pas l'alcool....

Et le titre là-dedans ? C'est le nom du café littéraire que tient Diane à Paris. Et le thème de la lecture annoncé par le titre là-dedans? Que nenni !
Une lecture qui n'apporte rien et qui énerve...
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