« Et si
Molière, rejeté par l'Eglise de son temps , présenté de longue date par de nombreux metteurs en scène , de critiques et de comédiens comme un saltimbanque de gauche, libertin , athée voire anarchiste; était au fond plus marqué par le christianisme qu'on ne le pense? C'est la thèse originale et quelque peu iconoclaste que défend ici
Christophe Mory » (4eme de couverture)
Je ne suis pas du tout une spécialiste de
Molière mais cet essai m'a rendu perplexe. Il est évident que l'auteur connait son sujet sur le bout des doigts et a une grande culture à la fois en théologie et en histoire.
Toutefois il n'a pas réussi à m'emmener avec lui dans sa théorie, j'ai même été perdue plusieurs fois au fil de ma lecture.